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Chapitre 1 : It's my life

Bonjour à tous, petite présentation de mon personnage, donc considéré ce chapitre plus comme un prologue afin de bien visualiser mon personnage principale avant qu'elle n'intègre le groupe de Rick et des autres. 

J'essaye d'entrer au mieux dans les détails concernant sa vie d'avant, mais pas trop quand même afin de laisser un peu de suspens, ça viendra par la suite, ne vous en faites pas. 

(Pour le prénom je trouvais que Rilley ça allait bien avec le prénom de son frère Rick, qu'en pensez vous?)

Cette fanfiction est en cours d'écriture, j'essaierais de faire au mieux concernant les délais pour publier, mais j'aimerais d'abord avoir vos avis afin de savoir si ça vaut le coup que je continue, merci d'avance. 

Aller, bonne lecture à tous. 

PDV Rilley : 

Une journée de plus qui commençait déjà à se terminer, notez l'ironie. Je venais juste de pénétrer dans une petite maison. Deux rôdeurs avaient osés se mettre en travers de mon chemin, il ne me fallut que quelques secondes pour m'en défaire. Je remis mon arbalète dans mon dos avant de récupérer mes carreaux de flèches. Mes lunettes de soleil glissaient sur mon nez à cause de la transpiration. Ca faisait quoi, pas loin de deux semaines que toute cette merde avait commencé. Je regardais par la fenêtre. C'était un calvaire sans nom dehors. J'avais croisés quelques personnes, mais rien qui ne vaille la peine que je m'y attache. Je sais, ça parait horrible dit comme ça et même carrément égoïste, mais j'avais pas envie de m'attacher à des gens. J'étais déjà incapable de m'occuper correctement de moi, alors d'autres personnes? C'était pas envisageable. 

Un autre rôdeur vint perturber mes pensées. Je l'observais à travers la fenêtre. Il claquait des dents sur le carreau, à croire que de là où il était il pensait m'atteindre. J'esquissa un sourire à cette idée. La peau de son visage partait en lambeau tandis qu'une partie de sa mâchoire se décrochait en partie. 

Moi: "Toi t'es vraiment moche!" M'exclamais-je en collant une cigarette dans ma bouche. 

Je continuais de le fixer tandis que lui s'acharnait à vouloir me dévorer à travers la vitre. La fumée que j'expirais à chaque latte le cachait un court instant de mon champ de vision. Le poids de l'arbalète m'arracha une grimace de douleur. J'en pouvais plus de porter ce truc à longueur de journée. 

Moi: "Va falloir que je trouve plus léger comme arme." 

Je ne me fis pas prier pour la poser à terre et commencer à me masser l'épaule. Non mais sérieusement, je ressemblais plus à une femme mais à une machine de guerre. J'entrepris de déposer toutes mes armes à terre afin de prendre une petite pause bien mérité. 

Moi: "Ouais, j'ai peut-être abusé en dévalisant l'armurerie." Me dis-je à voix haute en faisant le point. 

Non mais sérieusement, une arbalète qui pesait une tonne, deux Glock, un M4, un Beretta 9 mm, plusieurs couteaux de chasse planqués un peu partout sur moi, et choses original des Shuriken. J'étais passé maître dans l'art du lancé, alors je m'étais équipés en fonction de mes atouts. D'ailleurs, ils avaient su faire leurs preuves depuis le début de l'apocalypse et même à plusieurs reprises. J'en avais quelques uns dans mes manches. J'avais réussis à me confectionner des revers à l'intérieur de mes manches afin de les loger dedans. Je me méfiais des rôdeurs, évidemment, ils étaient la principale cause de toute cette merde, mais les vivants... C'est de eux que je me méfiais le plus, et c'était pas nouveau.