COLOCATION

[VINGT-SIX]

Je lève les yeux au ciel et je mets mon téléphone dans ma poche, je sors de ma chambre et je croise Paul avec Blaise dans les couloirs. Paul crie et se recule, on dirait il a vu un fantôme là.

Blaise : Tu as quoi encore ?

Paul : T'es qui toi ? [Nehuda ptdddr] il me regarde de haut en bas.

Blaise : Wesh mais t'es con ou c'est de naissance ?

Paul : Oh merde ! Désolé c'est toi Eva, je t'ai pas reconnu t'sais d'habitude tu fais la beurrette.

Eva : Mais nique ta...

Patrice : Pas de gros mots jeune fille ! Il passe sa tête de la porte et je sursaute.

Eva : Mais c'est lui qui m'a agresser là, jsuis pas une beurrette.

Paul : J'dec bébé. Il passe son bras autour de mes épaules mais je le pousse.

Eva : Tu as trop cru toi. Je descend les escaliers et je fini par rire, il est vraiment con lui la vérité.

Hugo : Eva ?

Eva : Hugo ?

Hugo : Tu sais que Je t'aime ? Il me prend dans ses bras.

Eva : Tu as quoi à me demander Hugo ? Il me regarde et je rigole. J'te connais comme si que tu étais mon gosse.

Hugo : Je me suis disputé avec Marine et je sais pas comment faire pour m'excuser.

Eva : C'est une grosse dispute ? On entre dans la grande salle pour déjeuner.

Hugo : Ouais assez, j'ai pas beaucoup dormi cette nuit puis je ne voulais as te déranger pour ça.

Eva : Tu sais que je suis là pour toi à n'importe quel heure, il hoche la tête. Bon je ne sais pas la raison de la dispute mais je pense que tu devrais juste lui dire ce que tu ressens pour elle et que tu t'excuse. On s'installe l'un à côté de l'autre.

Hugo : Ouais mais si on est tout les deux en tord pour la dispute ?

Eva : Excuse toi en premier Hugo, une fille ne va jamais s'excuser en premier. Je souris.

Hugo : Ouais d'accord, merci petite sœur.

Eva : de rien. Je souris. Reste concentrer sur l'Euro aussi.

Hugo : Ouais c'est vrai, notre dispute est tomber au mauvais moment.

Antoine : Bonsooooooir ! Je tourne la tête et je vois Antoine tout souriant.

Paul : Ah ! Antoine a était au toilette les gars. Paul et Antoine se tchèque.

Mike : Salut bébé. Il pose sa main sur mon épaule et il embrasse ma joue.

Je fais une tête de dégoût et je tourne la tête vers Antoine, il le regarde du genre "tu veux mourir maintenant ou maintenant ?"