Colocation

[VINGT]

𝐂𝐎𝐋𝐎𝐂𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍

[Elea en média]

Eva Lloris

Je me réveille dans la chambre d'Antoine, je pousse doucement ses bras et je prend mon téléphone avant de quitter doucement sa chambre.

Je baille en traversant les couloirs sombre et calme du château. Je vais descend les escaliers en essayant de ne pas faire de bruit, je me dirige vers les cuisine du château quand j'entends dans rire. Je m'arrête et j'essaye d'écouter la conversation.

Hugo : C'est vraiment cool de te revoir ici. Wut ?

Eléa : Moi aussi, je suis vraiment contente de te revoir Hugo. Je laisse discrètement passer ma tête pour regarder dans la pièce.

Je vois mon frère avec cette blonde de Eléa, je vois qu'elle a sa main posé sur sa cuisse mais mon frère ne fait rien. Il se regarde prêt à s'embrasser.

Putain mais je ne comprends plus rien ! Pourquoi elle envoie des messages à Antoine et maintenant elle flirt si je peux dire ça avec mon frère alors qu'il est en couple ?

Je me recule doucement mais je cogne contre un torse, je me tourne et je vois Blaise. Merde.

Blaise : Tu fais quoi ici wesh ? Il chuchote.

Eva : Je devrais te demander la même chose. Je le pousse pour que l'on s'éloignent.

Blaise : J'ai faim.

Eva : On est deux. On se dirigent vers les cuisines.

Blaise : Tu as pas vue Paul ? J'ouvre un des frigos avant de me tourner vers Blaise.

Eva : Bah non je dormais pourquoi ?

Blaise : Il a disparu et il rép plus à mes messages. Je prend de la salade fruit puis deux fourchette j'en donne une à Blaise.

Eva : Pauvre tiot. Je rigole et il me fais une grimace.

Blaise : Alors avec Antoine ça avance ?

Eva : On est juste des amies proches. Il lève le regard vers moi puis il rigole. Bah quoi ?

Blaise : Vue comment Antoine mate ton boule j'pense pas qu'il y a que de l'amitié. Je roule des yeux.

Eva : Tu connais Eléa toi ? Il souffle.

Blaise : Je l'aime pas cette go.

Eva : Pourtant tout à l'heure tu bilais absolument qu'elle te masse.

Blaise : Oui, mais elle a fait trop d'histoire entre certains garçons. Il lève le visage vers moi et je pose ma fourchette sur le plan de travail.

Eva : Des histoires ?

Blaise : Ouais.