Colocation

[VINGT-HUIT]

𝐂𝐎𝐋𝐎𝐂𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍

Eva Lloris

Paul : Ma petite Eva ! J'ouvre un œil et je vois Paul dans ma chambre.

Eva : Quoi ?

Paul : Nous sommes le 9 juin et nous devons partir à l'hôtel pour demain. Je soupire.

Eva : Il est quel heure ?

Paul : sept heures onze.

Eva : On doit partir a quel heure ?

Paul : Neuf heures.

Eva : Oh bah ça va ! J'ai encore le temps de dormir un peu.

Paul : Nope lève toi ! Il tire ma couette et je soupire.

Antoine : Tu veux la violer aussi ? Aller bouge ton cul de là. Antoine a pris une voix extrêmement sérieuse, ça m'a limite choquée là.

Paul : J'ai rien fait. Il lève les mains et quitte la chambre en fermant la porte.

Je ferme les yeux et je sens le matelas s'abaisser un peu sur mon côté gauche, puis une main se pose sur le bas de mon dos et effectue des petit cercle. Je souris et ouvre à nouveau les yeux pour regarder Antoine. Il me souris aussi, il remonte doucement sa main dans mon dos et je frissonne légèrement.

Antoine : Tu vas bien ? Une légèrement odeur de menthe me tape dans les narines. Je le regarde un peu plus et je vois qu'il est déjà prêt.

Eva : Oui et toi ? Il redescend sa main dans le bas de mon dos et recommence ses petit cercles qui me procure des frissons. 

Antoine : Oui, mais maintenant tu bouge ton gros cul ! Il se mets sur ses genoux et il me pousse au sol, je crie et je sens le sol claquer contre ma tête.

Eva : Aïe putain. Je pose ma main sur mon nez car j'ai mal. Dégage enfoiré ! Je me remets sur mon dos.

Antoine : Eva arrête tes connerie ! Je l'entend rire et je retire ma main de mon nez, je vois du sang urgh.

Eva : Ah ouais et ça c'est des connerie ? Je me redresse et lui montre mon nez, il arrête de rire et s'approche de moi.

Antoine : Oh merde je suis désolé Eva. Il m'aide a me relever pour m'asseoir sur le bord de mon lit.

Il va dans ma salle de bain et il prend un gant qu'il humidifie un peu avant de me le ramener, je le prend et je le pose sur mon nez.

Eva : Jvais te tuer. Je le regarde et lui il rigole.

Antoine : Oh ça va Eva ! Il recommence à rire et il s'asseoit à côté de moi, je le pousse au sol.

Eva : La roue tourne. Je rigole en le regardant s'étaler au sol, je retire le gant et je constate que je ne saigne plus du nez.