[QUATRE-VINGT-NEUF]

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𝐂𝐎𝐋𝐎𝐂𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍

Eva Lloris.

Paul : Okey. Olivier tu as la colo ? Il lève le tube en l'air. Antoine et Layvin la mousse à raser ? Il lève leur bombe. Eva les bandes de cire ? Je lui montre. Dim' le marqueur ? Il le montre et lance le deuxième à Paul. Le reste vous avez vos téléphones ? Ils hochent tous la tête.

Eva : les gars vous êtes sûr ?

Hugo : mais oui !

Eva : Il va faire une crise cardiaque !

Antoine : Mais non bébé, notre dédé national a déjà vécu tellement de choses avec nous que ça, ça ne va pas le tuer crois moi.

Eva : Je vous suit ! Paul ouvre doucement la porte de chambre de Didier.

On marche doucement pour ne pas faire de bruits, par chance il ne dort avec aucune couverture. Une fois tous autour du lit, Paul fait un décompte.

Paul : Trois...deux...un.

Paul et Dimitri commencent à dessiner sur son visage et son corps, dont une bite sur son front... Antoine et Layvin sont en train de mettre de la mousse a rasé dans ses mains puis ses oreiller. Olivier et Hugo sont en train d'appliquer de la coloration rose et bleu dans ses cheveux puis moi des bandes de cire sur ses jambes et cuisses. Une bonne partie des joueurs sont en train de filmer la scène. Je vois Lucas fermer la porte de sa salle de bain à clé de l'extérieur sûrement pour éviter qu'il y aille.

Ben : Demain il a une conférence de presse en plus. Il commence à rire et on lui dit tous de se taire. Ok.

Paul : Vous avez fini ? On lève tous les mains et on se taille de la chambre rapidement, je ferme la porte derrière.

Antoine : J'ai hâte de voir sa tête demain la vérité !

Dimitri : J'avoue ! Mais on devrait aller se coucher avant de se faire chopper par quelqu'un d'autre. On se tcheque tous et on regagne nos chambre.

Antoine mets son bras autour de mes hanches et il me tire dans sa chambre. Une fois à l'intérieur il m'embrasse.

Antoine : Tu sais que je t'aime ? je rigole contre ses lèvres.

Eva : je sais.

Antoine : Oui. Il me regarde avec un regard un peu différent de d'habitude.

Eva : je t'aime aussi. Il souris et il pose ses lèvres sur les miennes.

09 : 30.

J'ai quitté la chambre d'Antoine assez tôt ce matin, je ne pouvais plus supporter ses ronflement

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J'ai quitté la chambre d'Antoine assez tôt ce matin, je ne pouvais plus supporter ses ronflement.

Armée de mes bandes de cire je me dirige vers la chambre de ma première victime ; Paul Pogba.

ColocationWhere stories live. Discover now