[BONUS-QUATRE]

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Hugo Lloris.
Bonus numéro 5.
Tome 1, la naissance de Élise.

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Depuis deux trois jours Marine a quelque contraction, on se prépare à partir n'importe quand

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Depuis deux trois jours Marine a quelque contraction, on se prépare à partir n'importe quand. J'ai tellement hâte de rencontrer ma fille, je l'attends avec impatience. J'ai tellement hâte aussi de la voir pour la première fois, de l'entendre pour la première fois.

Je suis prêt à devenir papa mais malgré ça je n'arrive pas à être heureux complètement. Ma sœur va manquer la naissance de ma fille, elle me manque tellement vous pouvez pas savoir.

Mon deuil est fait à moitié, je n'arrive pas à accepté qu'elle est morte. Je suis nul, putain. Je suis sûre qu'elle serais là à m'insulter et me foutre des coups de pieds au fesse, à me résonner et me dire que je vais vivre l'un des plus beau moment de ma vie.

Une nouvelle page s'écrit, je dois me remettre de ça. Je suis sûr que Eva est heureuse là où elle est, je sais qu'elle est là quelque part. C'est certain.

Ma sœur est morte, ma fille va naître.

Marine : Hugo...je crois que...elle tiens mes bras et elle me regarde la bouche entre ouverte, je vois du liquide couler le long de ses jambes.

Hugo : Oh purée...mh bouge pas je vais chercher la voiture mon ange. Je la fais asseoir dans le canapé et je cours jusqu'à dehors, je rentre dans le garage.

Une fois la voiture sortie et les barrières ouverte, j'ouvre la portière du côté passager. Je rentre dans la maison et je vais chercher Marine, je marche derrière en la tenant par les hanches. Elle fais des exercices de respiration avant de monter dans la voiture.

Hugo : Ça va ? Je l'aide à lui mettre sa ceinture et elle hoche doucement la tête en touchant son ventre.

Ça fait maintenant un peu plus de six heures que nous sommes là, Marine me tient la main et je lui caresse doucement les cheveux alors que les sages femmes se mettent en place pour commencer l'accouchement.

Marine : Ça y est. Elle souris, je souris aussi. Ça faisait un long moment que je n'avais pas souris sincèrement.

Hugo : Je vais enfin voir notre princesse. J'embrasse ses lèvres et elle ferme les yeux en soufflant, je passe mon pouce sur le dessus de sa main.

Sage-femme : Dès que la contraction est passé, vous prenez une grande inspiration, vous bloquez et pousser vers le bas. Votre bébé est presque déjà là madame.

Je regarde Marine prendre une grande inspiration avant de pousser, elle tiens fortement ma main et je pose ma main dans sa nuque.

Hugo : Vas-y mon amour. Elle arrête de pousser pour reprendre sa respiration.

Après quelques secondes elle recommence, après presque 15 minutes je vois ma fille naître. Marine fond en larmes en la voyant. Elle lâche doucement ma main et je coupe de cordon avant de regarder ma fille, je passe mon pouce sous les yeux de Marine et elle fais pareil avec moi.

Marine : Elle est magnifique. Elle me regarde, ses yeux sont brillant et elle a un grand sourire sur le visage.

Je passe ma main sur son front en souriant et j'embrasse ses lèvre. On observe tout les deux notre fille. C'est un sentiment tellement étrange de devenir papa, jusqu'à maintenant je n'arrivais pas à me dire que j'allais être papa mais maintenant que je la vois je réalise.

Elle n'a même pas encore dix minutes de vie que je suis déjà fière d'elle, d'être son père. La sage femme prend doucement Élise et me demande de la suivre, j'embrasse Marine et je rejoint la sage femme dans la pièce à côté.

Infirmière : Alors comment s'appelle cette petite princesse ?

Hugo : Élise. Je m'approche de ma fille qui est allonger sur une table, je touche sa main et elle sers mon doigt dans sa main.

Infirmière : Un deuxième prénom ?

Hugo : Oui, Eva. Je la regarde bouger et je souris quand elle ouvre doucement les yeux.

Infirmière : Donc, c'est Élise Eva Lloris c'est bien ça ?

Hugo : Oui c'est ça. L'infirmière vient mettre le bracelet autour de son poignet.

La sage femme entre dans la pièce, elle prend Élise et elle vérifie ses réflexe avant d'aller la pesée.

Sage-femme : 2 kg 900, une petite crevette cette demoiselle. Elle la mets debout. Tu fais tes premiers pas pour papa ? Je la regarde marcher en frottant le dessous de mes yeux.

Infirmière : Vous voulez faire dû peau contre peau le temps que votre femme récupère ? Elle est d'accord. Je la regarde lui mettre une couche ainsi qu'un bonnet.

Hugo : Oui je veux bien. Je retourne dans la salle ou Marine est allonger normalement, je vais m'asseoir sur le fauteuil poser à côté du lit.

Je retire mon tee-shirt et l'infirmière me pose doucement Élise dans mes bras, contre mon torse. Elle mets ensuite un drap sur elle, j'attrape la main de Marine pour la tenir dans la mienne.

Je regarde ma fille qui ouvre quelque fois ses yeux, je souris. Elle est tellement petite et légère que j'ai peur de la faire tomber ou lui casser quelque chose.

Marine : Merci Hugo. Je relève le visage vers elle.

Hugo : Pourquoi ?

Marine : De m'avoir offert cette vie, je suis tellement heureuse avec toi. Maintenant que nous sommes fiancés tu m'as offert le cadeau d'être maman, et je suis encore plus heureuse d'avoir eu un enfant avec l'homme que j'aime. Je te remercierais jamais assez, je t'aime tellement Hugo.

Hugo : C'est plutôt moi qui devrais te remercier mon amour, tu as toujours été là pour moi et encore plus depuis ces derniers mois. Je te remercie de faire partie de ma vie, je te remercie aussi de m'avoir offert le cadeau que tout homme rêverait d'avoir. Je suis encore plus heureux d'avoir ce bébé avec la femme que j'aime, tu peux pas savoir comment je suis heureux là. On se souris tout les deux.

Maintenant que la page est tourner, il est temps d'écrire une nouvelle histoire. Je dois maintenant construire un avenir autour de ma famille, ma femme et ma fille. Les premiers mois ont été douloureux mais on fini toujours par si faire et oublier en quelques sortes les mauvaises choses pour en garder que les bons souvenirs.

Eva Joy Lloris, je t'aime et ça pour l'éternité.

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