Colocation

[CENT-CINQ]

𝐂𝐎𝐋𝐎𝐂𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍

Eva Lloris.
15 : 57.

Paul : Eh, si il dit quelque chose de mal ou je sais pas, tu crie j'arrive.

Eva : Ouais ouais. Je frappe à la porte du bureau de Didier.

Didier : Oui Eva. Je rentre dans son bureau, je m'installe sur une chaise.

Eva : Vous voulez quoi ?

Didier : Je t'ai demander de venir pour te parler de ta démission. J'ai parler avec les membres de l'équipe, les garçons et j'ai vu que les garçons tenaient beaucoup à toi comme les membres du staff. Ils m'ont souligné que tu étais l'une des meilleures et que tu travaillé très bien, j'ai visiter le site que tu alimente sur les bleus... Il est vraiment pas mal. Et je ne peux pas laisser les garçons continuer comme ça avec leur grève, nous sommes à deux jours de notre premier match et je n'ai pas envie que ça se voit que nous sommes en pleine "guerre". Tu reprend ta place en tant que photographe mais avec deux match de suspension de travail. Je suis désolé d'avoir réfléchis à chaud.

Eva : Merci. Je sors de son bureau et je rejoins les garçons dans le grand salon.

Lucas : C'est quoi de ta tête là ?

Paul : Ne me dis pas que...

Eva : Je reprend ma place de photographe mais avec deux matchs de suspension. Tout les joueurs commencent à faire des cries d'animaux et je les regarde en mode « qu'est-ce que je fou là ?»

Antoine : Merci mon dieu de m'avoir écouter. Il me fais un bisou rapidement.

Paul : Paulux il est refait j'ai envie de faire un deuxième gosse à ma femme. On le regarde tous.

Eva : Euh Paul, tu vas peut-être un peu trop loin tu crois pas ?

Paul : Ouais, désolé. Non sérieux je suis trop content, notre grève a marcher les gars !

Hugo : Pour une fois que quelque chose fonctionne, on devrait même sortir le champagne.

Eva : Ça sera sans alcool pour moi. Je lève les mains et tout les joueurs nous regardent.

Olivier : Quoi ?! Attend...

Patrice : OH MON DIEU JE VAIS ÊTRE PAPY ! Il vient me prendre dans ses bras.

Eva : Papy ? Pat sérieux...

Patrice : Écoute...je t'ai toujours considéré comme une de mes enfants tu sais alors pour moi je vais devenir papy. Je souris, mon dieu que je l'aime ce mec.

Lucas : Wesh Anto tu préviens même pas toi. Ils se tcheque.

Kevin : Ma petite Evanounette, vient là que je te prennes dans mes bras avant que tu sois trop grosse pour le faire. Je tape son épaule en rigolant et on se prend dans les bras. Pleins de bonheur à vous et félicitations. Il embrasse mon front.

Eva : Merci Kevin. Je souris et quand je vois Lucas s'approcher de moi je commence à courir dans l'autre sens.

Lucas : Wesh Eva ! Il me cours après et je fais le tour du bas de l'hôtel. Eva !

Eva : Je sais même pas pourquoi je cours mais je le fais quand même. Je reviens au niveaux des joueurs et Olivier me prend dans ses bras. Merci de me sauver la peau.