Colocation

[TRENTE-HUIT]

𝐂𝐎𝐋𝐎𝐂𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍

Eva Lloris

[J'ai sauter un match sans faire exprès, dans le chapitre là nous sommes au 26 juin pour France - Irlande.]

Aujourd'hui les bleus jouent contre L'Irlande, je souffle doucement et je m'étire. Je passe ma main sur la place à côté de moi mais ne trouve personne, j'ouvre les yeux doucement en voyant effectivement personne dans le lit, je pousse la couette sur le côté et je me redresse dans mon lit avant de me lever.

J'ouvre l'un des rideaux de l'hôtel et je vois qu'il fait hyper beau aujourd'hui, comme les autres jours depuis le début de l'Euro de toute façon.

Je me dirige vers ma salle de bain mais quelqu'un frappe à ma porte, je fais demi tour et j'ouvre la porte. Antoine me pousse et entre dans ma chambre, il ferme la porte avant d'attraper ma main et de m'embrasser.

Antoine : Heureusement que c'est moi qui est venu et pas un des autres gars.

Eva : Pourquoi ?

Antoine : Tu es en sous vêtements. Ses mains glissent sur mes fesses et je me rapproche un peu plus de lui.

Eva : Je savais que c'était toi.

Antoine : Comment ? Je sens mon soutien-gorge se détacher, les mains chaude d'Antoine le retire.

Eva : Je le sentais. Il pose ses lèvres dans mon cou et ma tête bascule légèrement en arrière.

Ses lèvres remontent sur ma mâchoire et se posent à nouveau sur les miennes. Antoine me pousse doucement jusqu'au lit et il nous fait tomber tout les deux dessus.

Je retire son tee-shirt et il remonte un peu plus sur moi, ses mains se baladent sur mon ventre et elles descendent jusqu'à mes fesses.

Il retire ma culotte en dentelle avant de la pousser plus loin, il retire son survêtement et il revient sur moi en écartant doucement mes cuisses.

Une de ses mains glissent sur mon intimité et il la caresse doucement avant d'entrer deux doigts en moi. Je gémis et attrape les cheveux d'Antoine entre mes mains alors qu'il commence des vas et vient en moi.

Antoine : Tu es tellement sexy comme ça. Je lui mets une tape derrière la tête.

Il retire ses doigts et il commence à se frotter à moi, mon dos se cambre doucement.

Eva : Putain. J'entends Antoine gémir lui aussi dans mon cou, il abaisse ensuite son boxer avant d'entrer en moi.

Antoine : Je vais pas tenir longtemps. Il commence des vas et viens plutôt rapide.

Eva : Antoine ! Je n'arrive plus à contrôler mes gémissements, Antoine pose ses lèvres sur les miennes et m'embrasse tendrement.

Il me regarde droit dans les yeux en collant son front contre le miens, il vient en moi et son regard redevient celui d'avant.

Antoine : Je t'aime.

Eva : Je t'aime aussi. On souris tout les deux alors que nos souffles saccadé on remplacer nos gémissements.

Nous restons un petit moment comme ça avant que je me relève et que j'entre dans la salle de bain, Antoine me suit et je me mets à rire.