[BONUS-DEUX]

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Antoine Griezmann.
Bonus numéro 2.
Tome 1, après l'accident de Eva.
Quelques jours plus tard.

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Je suis réveillée depuis une quinzaine de minutes, je suis assis au bord de mon lit la tête vers le sol

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Je suis réveillée depuis une quinzaine de minutes, je suis assis au bord de mon lit la tête vers le sol. Je regarde mes mains et je laisse couler quelques larmes, je sais même pas comment je fais pour réussir à pleurer encore. J'ai tellement pleurer pendant ces quatre derniers jours. Aujourd'hui nous sommes le 15 juillet, ça fait quatre jours que Eva est au soins intensifs et je n'ai pas pu la revoir depuis ce soir là. Dans trois jours c'est son anniversaire, je garde espoir qu'elle se réveille ce jour là mais  les médecins disent que son réveil ne sera pas avant plusieurs semaines.

Je suis vider de mes forces, je suis vide tout cours. Chaque nuits je refais ce même cauchemar, je vois sa main frôler la mienne et son corps voler après que la voiture lui a foncé dessus.

Je me lève et je vais dans la salle de bain, j'allume la lumière et je me regarde dans le miroir. Je me suis jamais vue dans cette état là, mes yeux sont éclater de sang en plus d'être rouge, j'ai des cernes énorme et violette. Je soupire.

Antoine : C'est un putain de cauchemar c'est pas possible...

J'appuie mes bras contre le rebord du lavabo, ma respiration s'accélère comme ma colère monte en moi. Je balance plusieurs choses au sol et je tape dans la porte avec mon pied.

Antoine : Je suis vraiment qu'un putain de connard. Je tape une nouvelle fois dans ma porte en évacuant mes larmes comme ma rage.

J'entends des choses se fracassé au sol et des cries. Je sors de ma chambre et je descend rapidement les escaliers et je découvre Shera en train de balancer tout sur son passage en criant et en pleurant. Paul essaye de la retenir mais il ne réussi pas, je le vois aussi en larmes.

Shera : Toi. Elle me pointe du doigt en s'approchant de moi. Je vais te faire regretter ton existence sur terre espèce de fils de pute. Sa main claque ma joue d'une violence que je suis carrément projeté sur le mur. Tu as tuer mon Eva, putain tu l'as tuer. Paul prend Shera dans ses bras. Pas Eva. Elle se laisse tomber au sol.

Paul : Tu devrais partir Antoine, vraiment. Il me regarde, mais son regard est sans émotion malgré les larmes qui menace de couler le long de ses joues.

Je sors de là maison et je ne sais pas comment je fais pour tenir encore debout à l'heure actuelle. La femme que j'aime vient de perdre la vie, elle est morte et elle ne reviendra jamais à cause de moi. Je monte au volant de ma voiture, je tape dans mon volant avant d'éclater en sanglots. J'attrape sa gourmette qui est accrocher au rétroviseur à l'intérieur de ma voiture et je caresse doucement la plaque.

"Eva Lloris  - 18 juillet 1994"

Mon téléphone arrête pas de vibrer contre ma cuisse, je le prend et un nombre incalculable de message s'affiche sur mon écran. Je le mets en mode avion et vire tout ces messages, je regarde mon fond d'écran de verrouillage. Cette photo de nous est tellement magnifique, son sourire est tellement beau et sincère. Je ne peux pas me rendre compte que je ne vais plus le voir.

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