Tome 2 : Chapitre 29

Depuis le début
                                    

Charles ne lâche pas ma main alors que certains journalistes lui posent des questions concernant la fin de saison. Le monégasque affirme qu'il va tout donner pour que Ferrari soit au moins deuxième au championnat constructeur. Je crois en eux.

J'ai toujours cru en Charles.

Buvant un jus de pomme, je menace de m'étouffer avec cette boisson lorsque Charles me mime de l'aider à sortir d'une conversation avec un homme que je ne connais pas

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Buvant un jus de pomme, je menace de m'étouffer avec cette boisson lorsque Charles me mime de l'aider à sortir d'une conversation avec un homme que je ne connais pas. Je secoue la tête et éclate de rire en voyant sa tête dépitée.

« Regarde la tête de Carlos. » Murmure Rebecca.

Nous pouffons de rire quand l'espagnol hoche la tête, complètement perdu par ce que lui raconte le jeune homme qui est à ses côtés. Si les pilotes de Ferrari pouvaient se barrer, je crois qu'ils n'hésiteraient pas une seule seconde.

« Comment va mon attachée de presse préférée ? » Me demande Fred, une coupe de champagne à la main.

Je souris et bois une gorgée de mon jus de pomme. J'ai appris récemment que Ferrari avait trouvé une autre attachée de presse pour me remplacer. Parait-il que ses compétences laissent à désirer.

« C'est une plaie, elle ne comprend rien. Vivement que tu reviennes.

- Je veux bien te croire... Mais Monsieur Leclerc veut impérativement que je me repose.

- Et il a bien raison ! D'ailleurs, je vais le chercher. Je crois qu'il aimerait bien sortir de cette conversation interminable. » Dit Fred.

Je rigole tandis qu'il va voir Charles. Je fronce les sourcils quand il lui chuchote quelque chose à l'oreille et que mon chéri hoche la tête, les mains tremblantes. Bizarre...

Le pilote s'avance vers moi, sa coupe de champagne à la main et dépose ses lèvres sur les miennes, caressant ma joue de sa main libre.

« Rebecca, je me permets de t'emprunter Sofia.

- Ah mais vas-y ! »

Charles me prend la main et je lance un regard interrogatif à Rebecca qui me répond d'un haussement d'épaule, avant de m'éloigner de mon amie. Nous parcourons les locaux et prenons un ascenseur. Je fronce les sourcils lorsque Charles appuie au 15ème étage, soit le dernier.

« Tu veux me tuer ?

- Ouais, comment tu as su ?

- Imbécile. Non, sérieux ?

- Mais non, je ne vais pas te tuer ! J'ai entendu dire que la vue est belle d'en haut. Je voulais juste vérifier. »

J'acquiesce d'un hochement de la tête et une boule au ventre vient prendre place quand l'ascenseur arrive au dernier étage. Nous sortons de celui-ci et Charles ne lâche pas une seule seconde ma main. Nous traversons un long couloir et mon cœur tambourine dans ma poitrine quand nous nous dirigeons vers un assez grand balcon.

Mes yeux s'illuminent en voyant toutes les lumières de New York éclairer la ville. Charles ne m'avait pas menti. C'est magnifique. Je m'accroche à la rambarde ornée d'or et je souris quand Charles me elle contre lui.

« Alors, la vue est belle, n'est-ce pas ?

- C'est magnifique. »

Je sursaute quand un feu d'artifice éclate dans le ciel, mélangeant des nombreuses couleurs. Ça ne s'arrête pas alors je profite du spectacle. J'ai toujours admiré les feux d'artifices. Je trouve ça tellement agréable à regarder... Toutes ces couleurs... Mes yeux et mon cœur en demandent encore et encore.

Pourtant, il faut bien une fin à ce spectacle. Mes yeux se posent enfin sur Charles et une larme roule sur ma joue en le voyant abaissé, un genou au sol.

« 14 juillet 2013. C'est là que j'ai compris que j'étais amoureux de toi. Je t'ai tenu la main pendant le feu d'artifice. J'avais besoin de ce contact. Jules l'a compris ce soir-là. Que j'étais fou de toi. Je crois même qu'il l'a compris avant moi. Je suis dingue de toi, Sofia Bianchi. Tu ne sais pas à quel point je t'aime. Quand tu n'es pas là, tout s'effondre autour de moi... J'ai besoin de toi, de ta présence à mes côtés. Je souffre dès que tu es loin de moi. Je l'ai compris quand j'ai failli te perdre... Te voir avec Henri, c'était la pire des souffrances. Quand tu étais dans ce putain de lit d'hôpital j'avais si peur... Je ne pouvais pas imaginer ma vie sans toi mon cœur. Parfois, je me comporte comme un connard mais s'il te plait, ne doute jamais de l'amour que je te porte, parce qu'il est sincère. »

Mon corps tremble quand Charles sort de sa veste une boite en velours. Mon cœur explose dans ma poitrine quand il l'ouvre. Des diamants scintillent mais pas autant que mes yeux en ce moment même.

« Je ne veux pas seulement que tu sois la mère de mes enfants... Ni que tu sois ma meilleure amie, ma confidente, ma copine... Sofia Bianchi, acceptes-tu de porter le nom de Leclerc pour le restant de ta vie ? »

 Sofia Bianchi, acceptes-tu de porter le nom de Leclerc pour le restant de ta vie ? »

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Coucou à tous et à toutes !

Voici l'avant-dernier chapitre qui j'espère vous a plu ! Qu'en avez-vous pensé ?

Charles a enfin fait sa demande !!! À votre avis, Sofia va-t-elle accepter ?

Juste pour vous informer que nous approchons de la fin... Il ne reste plus qu'un chapitre ainsi qu'un épilogue !

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À très vite pour un prochain chapitre !

Et si c'était écrit ? || Charles Leclerc Où les histoires vivent. Découvrez maintenant