[QUATRE-VINGT-DIX-NEUF]

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Eva : Ça me touche vraiment ce que tu me dis Antoine, je le veux réellement. Habiter avec toi, avoir notre bébé et se mariés. Je t'aime depuis le début, dès que j'ai vue le ballon heurter ta tête, nos sourire et regard échanger. Je passe mon doigt sur sa barbe naissante. Je ne pensais pas que tu étais encore aussi blesser par ça, même si c'est difficile à oublier. J'espère que je n'ai pas réouvert complètement la plaie, je suis désolé. Je t'assure que notre bébé sera le plus beau, le plus en forme de tout les bébés de la maternité. Tu n'as pas à t'inquiéter, tout ira bien.

Antoine : Ça me fait plaisir d'entendre ça. On fera tout pour être heureux et avoir ce bébé dans les meilleurs conditions.

Eva : Tu te sens prêt d'avoir un enfant ?

Antoine : Bien-sûr même si je garde quelque peur, je le veux avec toi ce bébé et avec personne d'autre. C'est fini maintenant les connerie, que ce soit moi ou toi. C'est nous deux et le reste. Je souris et je pose mes lèvres sur les siennes.

Eva : Promis. Nous deux et le reste. Je sens ses mains se poser sur mes fesses et il en claque une. Connard !

Antoine : Putain ton cul est musclé !

Eva : Bah qu'est-ce que tu crois ? Je sais que depuis quelques mon meilleur ami c'est la bouffe mais je fais beaucoup de sport.

Antoine : Ah bon ? Toi faire du sport ?il rigole et je le frappe.

Eva : bien-sûr que oui ! plus jeune j'ai fais du foot et de la boxe ! comme maintenant sauf que j'ai arrêter le foot.

Antoine : Ouais bah ça se voit.

Eva : Ta gueule, je suis peut-être plus muscler que toi déjà.

Antoine : Ouais c'est ça. Il pouffe de rire, mon portable vibre dans ma poche et il le prend avant moi. Tu as une admiratrice secrète, tu me cache des choses ? Il rigole et je prend mon téléphone.

Messages (1) :

+33 : j'espère que tu sera la prochaine sur la sélecte, seulement une semaine pour moi mais toi, à jamais.

Je verrouille mon téléphone et je lève les yeux au ciel.

Eva : Apparement, les gens n'arrivent pas à se passer de moi.

Antoine : Et moi le premier. Je rigole et je me lève du lit, Antoine tente de me retenir mais il tombe au sol.

Eva : Magnifique plongeons Antoine, on aurait dit un pingouin qui glisse sur la glace. Je rigole en le regardant.

Antoine : Eh ferme là déjà. Il attrape ma jambe ce qui m'empêche de partir maintenant.

Eva : Anto laisse moi partir. Je rigole en essayant de me dégager.

Antoine : Tu vas aller où ? Il attrape mes deux jambes et il me fait tomber sur lui mais ma tête claque contre la table de chevet.

Eva : Putain. Je pose ma main sur mon front et je m'assois au sol.

Antoine : Merde Eva, ça va ? attend fait voir ? tu as mal ? Je retire ma main et je vois du sang sur ma main et Antoine fais un peu une tête de dégoût.

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