[SOIXANTE-DIX-NEUF]

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Hugo : Je suis vraiment fier de toi Eva, je pense que je ne peux pas être plus fier de ma petite sœur. Déjà pour ce que tu entreprends, tu as su partir loin de nous pour tes études, tu as réussi puis toi aussi tu as briller en équipe de France, tellement que l'on te demande encore une fois. Je vais croire que tu ne vas jamais me laisser tranquille. Il rigole, je peux voir ses yeux briller et c'est sûrement pareil pour moi. J'ai déjà eu du mal à te laisser, te partager avec Antoine et maintenant tu es fiancée avec lui et après la prochaine étape c'est que tu vas complètement m'abandonner et partir loin. Mais je sais que jamais Antoine pourra prendre ma place car j'étais là avant lui et que personne ne peut t'aimer comme un frère peut aimer sa petite sœur. Je t'aime Eva, je suis vraiment fier et j'ai toujours cru en toi. Il embrasse mon front et je le prend dans mes bras.

Eva : Je t'aime aussi Hugo, j'ai toujours été fière de toi et encore aujourd'hui. Je défais ses cheveux et il me fou un coup de pied dans les fesses, je le pousse et il attrape mes mains, il me porte sur son épaule et j'essaie de me débattre, je retire ma bague je jette à Paul, il arrive à sortir dehors, il essaye de me faire tomber dans l'eau mais je m'accroche à lui.

Hugo : lâche moi Eva ! Je vois que Antoine et Paul nous filmes, ils veulent quoi eux ?

Eva : Non ! HUGO POSE MOI PUTAIN TU SAIS QUE...on tombe tout les deux dans l'eau car Marine nous à pousser. Hugo m'aide à remonter à la surface.

Hugo : Je te croyais pas comme ça Marine.

Marine : Remercie moi de t'avoir aider mon amour.

Hugo : Tss. J'essaie de remonter sur le bord et Shera m'aide en me tirant, on explose de rire.

Shera : Putain on est vraiment des gros sac la vie de ma mère.

Eva : Je dois ressembler à une escalope de poulet périmé.

Paul : Poulet ?

Blaise : CE SOIR ON SORT BANDE D'HUÎTRES ALORS FAITES VOUS BONNES ET BAISABLE MERCI.

Antoine : Il s'est trop pris pour une poissonnière lui.

Eva : Matuidiette la poissonnière. Je rigole et je reçois un ballon dans la tête. HEY MAIS C'E--

Blaise : me parle pas sur ce ton.

Paul : pourquoi ? tu es un thon donc elle te parler sur le ton qu'elle veut.

Shera : Putain ta gueule. Élise lui donne un coup de poing dans sa jambe.

Élise : Ta bouche toi. On la regarde toute et je commence à rire.

Eva : Ma filleule a complètement raison.

Paul : Je t'ai pas sonné Lloris !

Hugo : Tu as quoi contre les Lloris toi ?

Élise : Vava mouillé ! Elle claque ses mains contre sa tête et elle se lève pour marcher, elle prend une serviette et me la donne.

Eva : Merci mon ange. Je lui fais un bisous sur la joue.

Hugo : Et papa ? Elle le regarde et ouvre sa bouche.

Élise : Oops. Elle prend ma serviette et elle lui donne, elle fais un bisous sur la bouche d'Hugo.

Paul : Elle m'a tromper !

Élise : Papa amoureux moi ! Elle rigole en accrochant ses bras autour du cou de mon frère en rigolant, Hugo a un grand sourire sur le visage.

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