[SOIXANTE-DIX-HUIT]

Depuis le début
                                    

Antoine : Tu n'as quand même pas os...

Eva : Oh que si Antoine, me colle pas trop, tu risque de bander et d'utiliser ta main mon cœur. J'embrasse le bout de ses lèvres et je me dépêche d'entrer dans la salle de bain et je ferme la porte à clé.

Antoine : Tu es quel genre de saloperie ?

Eva : celle de première classe.

Antoine : Eva putain. Il essaye d'ouvrir la porte.

Eva : Antoine tu te rend compte que l'on se parle à travers une porte tout les deux à poil quand même ? Je l'entend rire, je fais pareil.

Antoine : Tu vas me rendre fou c'est pas possible. Je souris.

Eva : Si tu savais comment tu me rend folle. Je chuchote en mettant une serviette autour de moi.

Antoine : Tu as dit quelque chose ?

Eva : Non pourquoi ?

Antoine : Non, j'ai cru entendre quelque chose. Bon dépêche toi Eva s'il te plaît.

Eva : Tu sais quoi ? Je vais prendre tout mon temps chéri.

10 : 20.

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Je sors de la salle de bain une fois prête, je vois Antoine rentré dans la chambre et il ferme la baie vitrée. Il est doucher et prêt, comment il a fait ?

Antoine : Je suis aller prendre ma douche dans une chambre libre pour te répondre.

Eva : Euh pourquoi tu dis ça ?

Antoine : Tu as sûrement encore pensée tout haut. Je prend mon téléphone et je vois un message sur mon écran.

Je fronce les sourcils, je connais pas le numéro et encore moins la personne. Olysia ça me dit vraiment rien, c'est peut-être une erreur. Je devrais le dire à mon frère même si c'est probablement une erreur car nous n'avons jamais eu de sœur.

Je verrouille mon téléphone et je sursaute en voyant Antoine en face de moi, il claque sa main contre ma fesse avant de se barrer en courant, c'est vraiment un gamin.

Eva : T'es vraiment un gamin Graisseman.

Antoine : Arrête de m'appeler comme ça merde ! Je souris, j'aime bien quand il s'énerve comme ça, c'est sexy.

Eva : Moi aussi je t'aime. Je descend la dernière marche, je regarde autour de moi, il y a personnes dans la maison c'est bizarre.

Antoine : Tu es sûre ? Moi j'y crois pas trop depuis quelques jours. Il attrape des clés de voiture.

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