COLOCATION

[SOIXANTE-SIX]

Antoine : Un camion t'es passer dessus Eva ? Il rigole alors que je lui tape l'arrière de la tête quand il passe à côté de moi.

Eva : Commence pas Antoine. Il me fait un faux sourire avant d'entrer dans la cuisine. Dit moi, tu sais pas elle est à qui la capote sur le mur ?

Antoine : Hier soir avec les gars on s'est amuser avec des capotes. On se les lancer dessus et tout, on a même fini par les remplir d'eau pour les jeter. Il rigole en se faisant un café.

Eva : Wah les gamins.

Antoine : Je savais pas que tu étais une bonne danseuse Eva, hier soir tu nous as impressionner.

Eva : Quoi ? J'ai danser ?

Antoine : Ouais ! Tu as même twerker mais ma partie préférer c'est quand tu as commencer à danser sur la table de dehors.

Eva : Tu me fais marcher là ? Il a un sourire au coin des lèvres.

Antoine : Pas vraiment, je t'ai fait descendre de la table après trente secondes parce que tu as faillit tomber plusieurs fois.

Eva : Je me souviens de rien. Je soupire et je m'assois sur le tabouret en face d'Antoine, il me tend mon téléphone.

Antoine : C'est à toi ça. Je fronce les sourcils.

Eva : Pourquoi c'est toi qui l'a ?

Antoine : Je l'ai attraper avant que tu saute une deuxième fois dans la piscine et j'ai peut-être aussi régler mes comptes avec quelqu'un. Il fini son café et il se lève, je le regarde partir.

Eva : Comment tu connais mon code ?! Il monte les premières marche des escaliers avant de tourner la tête vers moi.

Antoine : Un code ça se retiens toujours. Il me fait un clin d'œil en montant les escaliers et effectivement mon code est la date de naissance d'Antoine.

Je repense à ce qu'il m'a dit et je déverrouille mon téléphone pour aller dans mes messages. La première conversation est avec un numéro inconnu, je remonte toute la conversation avant d'enfin commencer à lire.

Messages :

+33 : Je serais bientôt sortie, ne crois pas que j'en ai fini avec toi. Tu ne sera pas la seule à prendre cette fois-ci ;)

Moi : C'est qui ?

+33 : Oh Eva voyons ;)

Moi : Arrête de faire le grand Thomas.

+33 : Eva je te préviens juste de quelque chose, c'est pas sympa ça ?

Moi : Tu vas nous laisser tranquille ? Puis tu vas faire quoi hein ? Tu es derrière les barreaux mec, franchement te laisse pas pousser des ailes.

+33 : Je serais bientôt sorti ! On sera bientôt ensemble mon ange, enfin avant ça je vais devoir me débarrasser d'un grand nombre de personnes pour notre bonheur ! Comme Hugo ou encore Antoine ? En passant par notre Shera et Marine aussi ! En finissant par la petite Élise. Les larmes me montent au yeux, c'est même pas des larmes de tristesse mais de rage.