À bien y réfléchir, je devrais peut être arrêter de réfléchir. À quoi bon penser si c'est pour en revenir toujours à la même chose ? Surtout qu'il y a certaines choses auxquelles je préférais ne plus penser...
On m'a dit que pour être vraiment heureux il fallait arrêter de ce soucier du malheur des autres et de la tristesse qui nous entoure.
Mais je vois ça tous les jours, sans le vouloir j'y fais grandement attention... serait-ce ce qui joue parfois sur mon moral ?
Ou peut être qu'au fond je suis plus touchée que je ne veux bien l'admettre... et aujourd'hui ça me retombe dessus.
Mais quand le malheur touche des personnes qu'on apprécie, qui comptent... n'est ce pas normal d'être soi même affecté? Peut etre que j'en fais simplement trop pour pas grand chose.
Bon si je continue là dedans je vais finir par dire que de toute façon le monde est laid et qu'on ne peut rien y changer. Mais ce serait exagéré... le bonheur est là par petites touches, par petites gorgées dont il faut profiter pleinement. Je ne suis certainement pas la seule à vouloir que les choses soient différentes.
D'un côté si tout était rose et bleu on s'ennuierait.
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Ma vie en émotions
Щоденники та біографіїLa période de l'adolescence n'est pas souvent une période facile de la vie d'une personne. Changements, découvertes, sentiments. C'est un tout qui rythme le quotidien, et les risques de se perdre durant l'acheminement jusqu'à l'âge adulte ne sont pa...
