Baby Doll Harry Styles ( Version française.)

Chapitre 46 - Morne.

Je serra le collier autour de mon cou , il brillant avec les mouvements. C'était tellement beau , contrastant avec le reste de mon apparence. Si seulement je pouvais le porter à chaque fois que je voulais. Je respiras profondément et sentis mes larmes se rassembler au fond de ma gorge. Je venais de passer la nuit avec Harry , mais il me manquait déjà. Terriblement. Un sentiment d'anxciété s'ajouta à la détresse que je ressentais. Je ne sais pas ce qu'il faisait en ce moment. Il pourrait être en compagnie de Kaylee. Ou quelqu'un comme elle. J'avais confiance en lui , mais je ne sais pas comment les choses fonctionnaient là-bas et j'ai eu peur. J'avais peur de ne pas le revoir. La dernière fois qu'on a été séparés , je ne l'ai pas revu pendant des semaines. C'était l'exprérieur ma plus difficile de ne pas savoir quand ou si je le reverrais. Je ne voulais pas que ça recommence à nouveau. Ce me faisait peur de savoir que les choses entre nous étaient si incertain. Combien de temps devrons-nous continuer comme cela ? Une voix dans ma tête me poussa d'arrêter de penser de trop à ça. C'était malsain. Je l'aimais , mais je devais occuper mon esprit à autre chose. Il n'y avait rien que je pouvais faire de la situation actuelle ou Harry et moi étions, il n'y a vraiment aucune raison de stresser comme ça. Rester dans l'apparement n'aida pas. C'était même déprimant. Je décida de reprendre le travail. J'étais fatigué oui , mais je ne pouvais pas dormir non plus. Je plaça mes cheveux sur mon épaule , les redressant avant de les attacher en queue de cheval. J'avais besoin de me faire plus présentable. Quelques chose attira mon attention.

Je remarqua un ecchymose presque incolore sur mon cou , juste à côté du bijou. Harry m'avait embrasser hier soir , mais il n'avais pas été particulièrement rude.. ou moins je n'avais pas réalisé. Mes yeux chuta et se ferma en sentant mes joues chauffer alors que le couru légèrement mes doigts sur la marque , des images du baiser inonda mon esprit. Ses lèvres serrées sur ma peau, sa langue traçant lentement sur elle , une sensation de picotement chaud au coucher ... je me retrouva à sourire au souvenir.

" Lia." la voix étouffé de ma mère m'appela.

Mon rythme cardiaque s'accèlera, comme si j'avais été prise." Oui ?" demandai-je , de mon ton fragile.

" Viens dîner." elle dit simplement.

" O-ok. Je me prépare pour le travail." je lui répondu en enlevant le collier.

" Travailler ? mais tu es en congé aujourd"hui." elle dit , sa voix se rapprocha de la porte.

" Nous pourrions avoir de l'argent supplémentaire." je lui dis en mettant à la hâte le collier dans la boite.

" Thalia , je ne veux pas que tu te sentes obligée."

Elle s'arrêta alors que j'ouvra la porte." C'est bon , maman." il m'a fallu beaucoup pour sourire , mais je réussi à le faire. Je passa devant elle pour aller à la table de la salle à manger , un peu énervé à penser ou je vivais avant.

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Mais sens ce sont alertés en sortant de l'immeuble. La nuit était venue
rapidement. Il y avait un souffle de vent froid, il frotta contre mes jours alors que que je serra le foulard autour de mon cou. Je suis heureuse que je portais le manteau de ma mère. Il était plus épais et avait un meilleure usage.

Je me retrouva dans la rue principale après une ou deux minutes. Elle était habituellement vie dans la lumière du jour mais la nuit , les femmes offriraient des services sordide sous les lumières de la rue faiblement éclairée. Elles n'étaient pas des Baby Dolls , ce qui signifiait qu'elles n'étaient pas la propriété de Richard. Elle appartenaient à quelqu'un d'autre qui était probablement aussi odieux. Ces femmes étaient plus âgées et avait des tonnes de maquillage agglomères sur leurs visages. J'en ai vu quelques une d'entre elles depuis que j'ai commencé à travailler au café mais ce soir elles ne semblaient pas être pas là.

Généralement Darren m'accompagnait quand je rentrais du café sur le chemin du retour , mais ce soir j'étais seul. C'était a peine cinq minutes mais je détestais l'atmosphère et je préférais quand il était là. Le manteau que je portais était un peu grand pour moi et rapidement j'arriva au le café. Les vitraux étaient embués et j'étais reconnaissante pour ça. Je ne voulais pas voir les femmes de l'extérieur , je ne voulais pas être rappelé ce que j'avais vécu.

Seuls deux tables étaient occupées. L'activité était lente aujourd'hui . Je souris à Gretchen, la gestionnaire qui travaillait au comptoir. Elle maintenait un visage impassible ce qui n'était pas hors de l'ordinaire. J'enlève mon manteau et me mis sur la pointe des pieds pour l'accrocher au portemanteau. Pendant tout ce temps je sentais les yeux sur moi. Je tourna la tête et croisa le regard d'un homme. Il était assis dans un coin et ne détourna pas le regard. Un peu intimidé par l'intensité de son regard , je me tourna et me dirigea avec la cuisine , prenant des mesures rapides .

La porte s'ouvrit quand J'entra , attirant l'attention de Darren. " Tu as décidé de travailler pendant ton anniversaire? " il demanda avec un sourire en retirant son tablier.

En ce moment je me souvenue d'avoir vomi ici et je me sentais malade une fois de plus , les jambes étaient légèrement engourdie de la promenade. Peut-être que j'aurais dû rester à la maison. " Ouais.J'aime me garder occupée. La célébration est finie de toute façon." Je lui répondu en regardant autour de moi pour trouver une chaise ou quelques chose ou je pouvais m'assoir. " Tu pars déjà ?" J'attrapa un tabouret et m'installa dessus .

" L'atelier de réparation m'a offert de l'argent supplémentaire pour le quart de la nuit , donc j'ai accepté. J'aurais annulé si j'avais su que tu travaillais ce soir."

" C'est bon." je lui dis. Je savais qu'il était , mais je n'allais pas lui faire face sur son téléphone que j'avais trouvé , ou l'appel suspect qui était venu. L'appel que Harry a répondu. Darren saurait évidemment que quelqu'un d'autre était ici la nuit ou j'avais disparu du café , et bien sur , il penserait que c'était Harry. Donc , il saurait que j'avais menti sur toute les chose avec Sarah.

" J'allais te le donner après le travail mais ... comme tu es ici. Donc .." Darren arriva jusqu'à larmoie , puis sorti une boîte cadeau. " Joyeux anniversaire." il me la tendit.

" Darren , tu n'as pas a le faire. Tu dois faire des économie ." je lui dis même si je savais qu'il avait de l'argent , beau ou plus que ma famille avait. J'étais entrain de mourir pour savoir ce que s'était. Je tira sur les extrémités du ruban pour le desserrer. J'espérais que ce n'étais pas quelques chose de trop fantaisiste ,j'ai eu le sentiment que ça l'était. Mais j'ai été prouvé du contraire quand je souleva le couvercle. C'était une tasse.

" Oh. Une tasse." je l'a tenue par la poignée et la tourna , observant l'image d'un chat et avait décrit " Love it." J'essayais de mettre plus d'émotion , mais j'échoua.

" Je sais que tu aime les chats. Tu te souviens de Snuffles?"

" Oui , nous l'avons garder dans une boîte a chaussure sous ton lit. Ton orphelinat devait fou a propos de ça." je ris.

" Le bon vieux temps." il se toucha légèrement le menton avec ses doigts , je le regarda en mettant la tasse sur le comptoir. En me pencha sur le comptoir , je me rappela d'Harry. Comment ça aurait été agréable de passer du temps avec lui pour mon anniversaire ? je me demandais de qu'il faisait en ce moment.

" Lia? hello ?" Darren agita une main devant mon visage.

" Hein ?"

" Tu as beaucoup changé." il commenta en glissant ses bras dans sa veste. " Je m'en vais. Je vais essayer de faire avancer les choses rapidement pour que je puisse te raccompagner."

" Très bien." je lui dit , me tournant pour lui faire face." Merci pour le cadeau et-" notre conversation se finie quand le chef arriva dans la cuisine. Ses joues flasques se souleva alors qu'il rayonnait devant moi. " Pas de perturbation." Pablo dit avec un accent espagnol prononcé alors qu'il agita un doigt en l'air. " Joyeux anniversaire!" il me souhaita en gloussant fort. " Je n'ai pas eu la chance de te faire un cadeau ,mais quelqu'un d'autre la fait!"

" Je sais , c'est une tasse." j'essaya de paraître heureuse.

" Quoi ? Non ! Les fleurs !" il me corrigea." De ton amie Sarah. Elle les a laisse à la porte cet après-midi."