Douceur Hivernale [𝐍𝐚𝐥𝐮 + 𝐌𝐮𝐥𝐭𝐢-𝐒𝐡𝐢𝐩𝐬]

❅ ცᨵׁׅꪀׁׅυׁׅ꯱ׁׅ֒ 3 ❅

LEVY

3 Janvier | 14h03 | Canada

[Six jours après les événements de l'histoire originale - (après le chapitre 65)]

— Salut Levy, entre je t'en prie.

Wendy se décale pour me laisser entrer dans le chalet qu'elle partage avec ses parents pour les vacances.

— Je te remercie d'être venue, je sais que tu es occupée.

À vrai dire depuis que Gildarts m'a mise de nuit, désormais la journée j'ai bien plus de temps libre. Donc quand Wendy m'a demandé de passer parce que son père avait des douleurs à la jambe, je n'ai pas hésité une seule seconde.

— Ne t'en fais pas, j'étais libre.  je lui souris.

— Ouf je suis rassurée !

— Où est ton père ?

— Dans la chambre, suis-moi.

Le père de Wendy s'est blessé lors du blizzard, il a été hospitalisé mais heureusement il n'avait eu qu'une simple foulure. Cependant s'il recommence à avoir des douleurs cela signifie que peut-être la blessure a mal guéri.

— Levy ce n'était pas la peine de venir ! Ma fille a abusé !  m'informe monsieur Marvel en me voyant arriver.

— Papa ! La tête que tu as fait quand tu as dit que tu avais mal à ta jambe ce n'était pas rien ! Mieux vaut ne prendre aucun risque !

— Tout de même...

— Wendy a raison monsieur Marvel, il vaut mieux vérifier que votre blessure ait bien cicatrisé.

— Tu vois !  gronda la copine de Rogue.

Son père se contenta de grogner, mécontent de s'être fait clouer le bec par sa propre fille.

Je commence alors à examiner sa jambe, lui faisant faire des petits exercices pour voir jusqu'où il peut aller. Bien que certains soient plus durs que d'autres vu son handicap, la jambe de monsieur Marvel semble être en parfaite guérison.

— Je ne vois rien d'anormal.

— Je l'avais bien dit !  s'exclama le blessé.

— Cependant il serait plus sûr de faire une radio quand vous rentrerez en Californie.

— C'est ce qu'on fera.  prévenue sa fille.

Même si son paternel ne semble pas vraiment ravi de devoir passer une radio lorsqu'il rentrera de vacances, il ne proteste pas mon avis médical. Il sait que j'ai parfaitement raison d'être si prudente.