Chapitre 30

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La vengeance est un plat qui se mange congelé enfoiré.

J'ai passer des jours à me morfondre au fond du lit , loin de son regard et de sa chambre à pleurer des sceau d'eau autours d'une couverture à regarder juste le soleil tourner de l'Ouest a l'est a juste le regarder.

Mila et Leandro avaient déjà tenter d'innombrable fois de me sortir de cette prison en me jetant de l'eau , rien à faire je me suis juste sécher avec la serviette dans ma chambre .

Je sors juste de mon lit le soir très tard , quand la lune est descendu de plus belle , pour me laver et manger les reste que Mila prépare toujours. Je descend , les marches froides grincent sous mes talons et le long t-shirt noir cache mon corps affaiblis par toutes émotions qui sont passés .

La colère , la tristesse , la rage et enfin la déception.

-On peut discuter ou tu compte te tuer à petit feux ?

Sa voix , elle résonne en travers moi et me frisonne chaque parcelle de mon corps jusqu'à voir ses yeux scintillant dans le balcon . Son corps se retourne pour faire face au miens et je recule , mon corps essaye de partir mais mon coeur est rester , il m'a figé en sorte que ses mains joignent les miennes et me ramène directement à un siège en face du siens

-M'approche pas sale traitre ! Je te laisse deux minutes pas une seconde de plus , essaye donc de te dédouaner mais je te pardonnerais jamais

-D'accord alors tu te tais pour me laisser tous mon temps , de base tous s'est déroulée comme au début , tu t'es faite lâcher et puis voilà .J'ai voulue te lâcher et tous en finir car au début tu ne m'intéressait guère mais finalement ton père a voulue me payer et bordel je suis tomber amoureux de toi

Ma gorge se noue , mon ventre se serre je perds tous moyens d'orientation et mes yeux divague entre ses yeux prêts à exploser en diverses larmes et ses mains tremblantes.

Je voulait disparaître de cette terre pour ne rien avouer de mon ressentis et juste de le tuer de mes propres mains pour étouffer ses mots.

-Tu n'es qu'un menteur.

-ARRÊTE DE CROIRE QUE JE MENS TOUS LE TEMPS !

Le timbre de sa voix prend une décibel de plus qui me fait sursauter et je le regarder , ses yeux crachent quelques larmes sûrement dû à la bouteille d'alcool qui venait de descendre en une journée, je l'avais jamais vue dans cette état en an presque...

Un an...

Que je vivait dans un mensonge énorme , ma vie n'était que mensonge.

-Si tu savais à quelle point je t'aime.. je me noie dans tes yeux , je veux tous le temps être à tes côtés , je veux te protéger de mon monde et de mes démons et des démons du tiens..Je veux avoir ton sourire rien que pour mon coeur Alehya...

-Je...pars.

Il écarquille les yeux à mes mots et se lève en passant juste derrière moi pour déposer un vif baiser sur le haut de mon crâne et juste laisser le bruit de ses pas feutré rayant le sol.

Mes sanglots cachent le bruit de la pièce pendant une heure et je finis par aller derrière sa porte et me mettre dos à elle. Le froid du sol frappe contre mes cuisses et mon corps se recroqueville sur lui même en laissant passer quelques paroles.

-Je ne te crois pas..j'ai toujours appris que l'amour est une rose , chacune de ses pétales sont l'illusion de l'amour mais chacune des épines sont une réalité.

J'entend le fracas d'une bouteille s'écraser contre un mur ou le sol, mon corps tremble et je reprends une grande inspiration avant de reprendre ce que je disais.

-Je compte partir chez Mila avec une de tes motos t'auras beau me dire ce que tu veux je pars loin de toi.

Je cours à travers le couloir pour prendre quelques affaires et les enfournées dans un sac et prendre une moto au hasard .

Le casque sur la tête et le vent qui se pose sur mon visage et mon corps , je veux plus penser.

Je veux partir loin et ne jamais me retourner , la sensation de liberté allège mon coeur et mes pommettes prennent une couleur rosé et brillante.

Boum...

Un voiture me frappe de plein fouet et mon corps se fait traîner dans le ravin d'à côté . Un bruit sourd et l'odeur de brûlé embaume mes narines avant de finir dans un trou noir.

Pendant ce temps ci, aucun bruit . 

Juste ce souvenir qui revient en boucle , ce souvenir qui me hante et me ronge juste petit à petit.

Enfin j'allais mourir , j'attendais que sa !

« Mes chaussures à mes pieds et le noeud blanc qui enveloppe mes cheveux brun pour être accorder avec ma robe blanche à dentelle , je pars cueillir quelques fleurs car c'est la fête des mère !

Maman est dans la cuisine , l'odeur de la bolognaise règne dans tous le jardin et les quelques roses qui rend le jardin coloré.

-Arrête de me frapper ! elle va arriver !

Maman crie.

Son crie serre mon ventre et j'accours directement à l'intérieur de la maison en la regardant sur le sol , le sang qui coule le long de son menton et papa qui est au dessus d'elle les poings immaculés de son sang.

-Dégage vermine je vas te saigner comme je viens de le faire à maman.

Sa voix me crispe et je cours dans sa direction, m'accroupissant a son corps sanglant en laissant mon doudou gonfler le liquide rouge. Papa me prend par le bras et me jette sur le mur en me giflant.

Les marques de ses mains sont encrés sur ma peau et y laisse du rouge avec du bleu. Je pouvais ressemblais à une peinture...

-Ne m'approche plus jamais tu n'es pas ma fille tu n'es rien juste un être insignifiant qui est née sans vouloir.

En dessous de mon lit , je regarde les oursons et les peluches que j'avais cacher pour qu'il soit tous près de moi quand sa se produisait. »

Alehya..!

                                                                Alehya !

                                 Alehya !!!

Mon nom résonne comme un couteau dans un plaque sur l'on peut pas retirer , sinon le sang gicle et on se vide pour finir par mourrir.

J'ouvre mes yeux en tombant sur son visage à lui , assis dans un siège en cuir beige avec des murs blanc comme dans un asile de fou.

-Enfin tu es réveillé...

Des larmes coulent et je le retourne dos en lui en chuchotant toujours la même phrase.

« Je voulais mourrir sa n'a pas marcher.... »

La mort et lui ne voulait pas de moi , ni même mon père.

AlehyaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant