Hello, ça-va? 🌹
Franchement, je vous laisse lire aujourd'hui. Je n'ai même pas le coeur à publier pour la première fois c'est vraiment à contre coeur.
Mais je vous ai promis un chapitre le voilà, je vous explique tout à la fin.
Bonne Lecture...
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ＣＨＡＰＩＴＲＥ １０２： Ｔｏｉ ｅｔ Ｍｏｉ．
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Point de Vue: Caleb.
Le volant m'obéit. Et ce véhicule également.
Cette voiture reste devant cette propriété.
Je descends sous les cinq kilomètres par heure. Alors le véhicule a décéléré depuis bien longtemps. Et mon pied sur le frein met fin à l'avancée. Je prends ces clés, je coupe donc le moteur. Le frein à main se lève et sécurise définitivement l'objet.
Silence.
Silence Preto.
Silence.
Pas maintenant. Silence, Noir.
On reste là. Bercé par le chœur nocturne. Mon regard se fige, en haut. Vers la voûte étoilée.
La lune est pleine et le ciel est dégagé. Il nous donne le droit de baigner nos yeux des constellations.
On reste là. Bercé n'est pas le mort. Humilié par les ténèbres. Là, c'est le mot.
Silence.
Est-ce qu'elle pense à moi?
Silence, Caleb.
Est-ce qu'elle m'aime toujours comme avant?
Silence. Silence. Silence.
Peu importe. Avant de penser à ça. Je veux sa paix. Je veux qu'elle soit en paix. Car sa douleur est en train de me faire une chose. Que personne ne m'a appris à gérer. Alors je ne sais pas comment contrôler le flot de mes maux. Parce-que personne ne m'a jamais dit, comment refermer le trou, quand c'est d'amour que l'on meurt.
Alors fait donc silence. Silence. Tu n'as le droit qu'au silence. Caleb? Preto?
Il faut qu'on descende. Je n'aurais peut-être pas dû la laisser quitter cet hôpital. Mais je sais aussi que la place de Valentina n'est pas là-bas.
Il faut qu'on descende de la Duster.
Il faut qu'on descende.
Il faut que tu descendes Caleb.
Descends.
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VALENTINA (Sous contrat d'édition chez HUGO PUBLISHING)
RomanceIl a suffit d'un regard, un soir d'été à Tepito pour que Valentina, se retrouve mêlée au cœur des affaires du cartel le plus sanglant du Mexique. Et alors qu'elle tente tant bien que mal de s'ériger vers la lumière, elle s'engouffre dans la noirceu...
