CHAPITRE 21: Le monstre est là.

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Hello mes bébés! Ça-va?

Merci beaucoup pour vos commentaires, vous semblez vraiment apprécier cette histoire! 🌹
La suite arrive, ce n'est que le début, mais j'espère qu'elle vous plaira!

Sachez que j'ai commencée cette histoire sur un coup de tête, avec comme seule exigence: que mon personnage principal (Bella Valentina) ai les yeux verts. 😂

Je suis en plein processus d'écriture j'essaye de m'approcher le plus de la réalité, tout en gardant une ligne directrice centrale: Le monde de la drogue, ses revers etc...

Enfin voilà, comme presque à chaque chapitre je ne peux pas m'empêcher de vous remercier pour vos commentaires adorables/constructifs et même pour ceux qui corrigent mes fautes d'orthographes.

Bon j'arrête de raconter ma vie mes biches, et je vous laisse avec la suite! 🌹

Bonne lecture. Voter et commenter.

Xoxo - Iamkunafa

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Point de Vue: Sebastian.

México. 3h15.


-Merde!

-Tu dégueulasse ta caisse comme un porc Sebastian! Et t'es mastications m'empêchent de me concentrer.

-Oh la la. Répondis-je en rigolant, puis en posant mes tacos derrière le tableau de bord de mon véhicule. Mais c'est que t'as grandit toi! Depuis quand on parle à son grand-frère de la sorte!

-Ferme-la! Grogne t-il en fixant son téléphone portable.

Un rire s'échappe d'entre mes lèvres. C'est toujours aussi facile de le faire chier celui la. Je me réajuste sur mon siège avant de demander à Esteban:

-Bueno, tu en ai ou dans ta localisation Este?

-Je capte un signale. Il est beaucoup trop faible. Tout ce que je sais c'est qu'il est toujours au Mexique. Mais tant qu'on ne l'appelle pas je ne peux pas trianguler. Pour le moment on doit attendre. M'explique Esteban.

-Bien, moi ça le dérange pas. Rétorquais-je en admirant la vue. C'est à dire; les magnifiques fesses des chicas qui passaient devant mes lunettes noires. Sûrement pour se rendre ou rentrer de soirée vu l'heure qu'il est.

-T'es lunettes sont vraiment ridicules Sebastian.

-C'est pour ça, que j'ai absolument le même exemplaire pour toi! Rigolais-je en fouillant dans ma boîte à gants. Voila mi hermanito.

-Tu peux d'ors et déjà les brûler.

-Mais es-ce que tu es sûre que des chicas te baise toi? Non parce-que si on analyse bien ton comportement on se rend bien vite compte qu'enfaite-

-Ta-gueule! S'insurge t-il.



Esteban réajuste son casque sur ses oreilles. Il se redresse sur son dossier et manipule rapidement son ordinateur. Il tape je ne sais quelles formules mathématique, tout ce que constate c'est qu'à l'écran s'affiche la carte du monde. Esteban continue ses manœuvres, à gauche de son écran une fenêtre de codage apparaît. Les lignes se succèdent, et petit à petit une carte virtuelle se rapproche d'un endroit toujours plus précis d'une seconde à l'autre. Je vois le Mexique, puis Quintana Roo, Playa Del Carmen, et enfin, la rue de Calle los Caracoles.
Esteban tape une dernière donnée rapidement puis enlève tout aussi précipitamment ses mains du clavier, avant de retirer son casque.

VALENTINA (Sous contrat d'édition chez  HUGO PUBLISHING)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant