CHAPITRE 30: Lamentable ambiance.

264K 13.4K 11.8K
                                    

Hey mes choux, ça-va? 🌹
Alors vous avez aimé ce semblant de rapprochement entre Valentina et Preto? 😏
Sachez que vos commentaires sont un plaisir à lire, et je suis morte de rire quand je vous réponds 😂! Vous êtes trop fortes les filles.

Voter et commenter mes boulettes 🌹, comme toujours; ça me booste et m'encourage à faire marcher mon cerveau pour écrire des suites, même si j'aime tellement écrire cette histoire; maintenant je le fais aussi pour vous ❤️!

Bon assez parlé, bonne lecture 📖 !

Xoxo - Iamkunafa

________


-Pourquoi elle a pas les menottes celle-là, mierda!?

-Preto les lui as enlevées.

-T'as dis quoi là?!

-Preto les lui as enlevées hier. T'es sourd ou quoi Ruben?!

-Ferme-ta-gueule Sebastian, j'avais très bien entendu. Putain! Aller lève toi, tonta! Crache t-il en s'adressant à moi et en me secouant.

-J't'ai déjà dis d'être plus tendre avec mi niña.

-Tu veux qu'on règle nos comptes tout-de-suite ou t'arrête de me casser les couilles avec t'es conneries Sebastian?!

Je me redresse. Inutile de faire semblant de dormir, parce-que la réalité c'est que je n'ai pas fermé l'œil de la nuit. Après l'intervention de Preto je n'avais plus aucune envie de sommeiller. Ils me regardèrent presque instantanément. Ruben, comme depuis que je connais sa face, à les sourcils à la fois froncés et arqués. Il à toujours cet air ahuri qui caractérise son visage et lui seul à le secret de cette expression. Il me saisit fermement par le bras et sa force m'extirpe du lit.

-Lâche moi! Ordonnais-je sèchement.

Ruben me regarde presque surpris. Il ignore totalement ma remarque, et me tire vers la sortie de cette cellule. Nous longeons un couloir plutôt sombre, faiblement éclairé par de ridicules ampoules qui menacent de s'éteindre à tout moment. J'ai froid aux pieds car je ne porte pas de chaussures et c'est d'ailleurs à cet instant là, que je remarque que je porte un ensemble de jogging bleu marine qui ne m'appartient absolument pas, et qui est beaucoup trop grand pour moi.

Nous sortons enfin de l'espace où sont aménagées les cellules. Je sens immédiatement le changement d'ambiance lorsque j'atterris dans la grande salle de séjour. En toute honnêteté; l'espace est élégant et moderne. Et l'alliance entre la pierre et le bois ne fait qu'augmenter la simplicité de cette pièce.
Ruben n'a pas lâché mon bras, et la première personne que je repère; c'est la jumelle folle: Bianca, assise religieusement sur le fauteuil en tissu. Je m'arrête et Ruben me lance un regard lourd de sens.

-C'est bon lâche moi je peux marcher toute seule! Protestais-je.

-La princesse à finit son cinéma?

Je regarde la fameuse Bianca. Si Ruben ne me tenait pas, je serais déjà entrain de lui arracher ses beaux cheveux brun. Elle m'assassine du regard, et je remarque que ce n'est pas la seule. Il doit y avoir une dizaine de gars. Certains sont tatoués d'autres non. Ils sont jeunes, ou pas. Mais ils ont bien deux points communs en tous cas; c'est de visiblement appartenir au cartel de Preto, et aucun d'entre eux ne semblent un temps soit peu m'apprécier.
Je redescends immédiatement sur terre quand je me rappelle, que je suis au cœur d'une putain d'affaire de cartel. Je déglutis lourdement. Il faut que je me calme. Mes palpitations se font de nouveau ressentir dans ma cage thoracique. Quand est-ce que je pourrais fuir ce cauchemar?

VALENTINA (Sous contrat d'édition chez  HUGO PUBLISHING)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant