VALENTINA (Sous contrat d'édition chez HUGO PUBLISHING)

CHAPITRE 10: Ojos verdes.

Coucou mes bébés! Ça-va?
Voila la suite de la capture de Valentina ;)!

C'est un chapitre que j'ai aimé travailler Ça fait vraiment plaisir de connaître vos retours sur mon histoire. Comme c'est la toute première fois que j'ose poster sur Wattpad savoir que vous aimez ce que vous lisez me booste!

Alors n'oubliez pas de voter et n'hésitez pas à commenter!

Xoxo - Iamkunafa

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Point de Vue: Valentina.

L'intensif mal de tête qui me possède me fît émerger de mon sommeil profond. Je suis allongée sur le dos sur une surface froide et humide. Ça pue... le fer? Et le renfermé.

Je refrène une envie de vomir. Puis cligne des yeux pour améliorer ma vision. Ma main valide se dirige vers ma mâchoire. Elle me fait mal. C'est sûrement la que Ruben à dû me frapper.

Le temps que je reprenne mes esprits je pense à ma grand-mère. Elle doit être morte d'inquiétude je ne sais pas depuis combien de temps je suis en « cavale ».

Et Paloma? Es-ce qu'elle s'en ai sortie?

En tout cas j'espère qu'elle n'as pas finis comme Monsieur Suarez et Sofia. Mon visage se crispe à l'évocation de leurs noms.

Le gargouillement bruyant de mon ventre me fait sortir de mes pensées.

-Valentina.

Je me redresse instantanément à l'évocation de mon prénom dans cette pièce sombre. Cela me provoque immédiatement un violent étourdissement qui me brouille totalement la vue.

Aveuglée par mon vertige, j'entends l'assourdissant bruit d'un métal qui crisse contre le sol et tout de suite après je sens tout d'un coup une vive pression sur ma gorge qui me pousse vers le haut.

Mes pieds ne touchent plus le sol. Je suffoque. Ma vision se rétablit très rapidement, sûrement grâce à l'adrénaline. Et une fois que mes yeux s'ouvrent. Je rencontre deux pupilles; extrêmement bleues.

Et alors que je pensais avoir vu pire regard dans les yeux de l'assassin de monsieur Suarez. Je tremble d'effrois devant les yeux vifs qui me fusillent.

Il n'y a pas une once d'émotions dans son regard et ses yeux me paralysent instantanément.

Il me lâche. Je sens l'entièreté de mon corps retomber lourdement au sol. J'essaye de m'éloigner du mieux que je peux de mon agresseur mais je suis très vite arrêtée par le mur derrière moi.

Je m'époumone pour reprendre mon souffle. Et je lève de nouveau mes yeux qui tombent magnétiquement dans les siens.

C'est lui. Je ne l'ai jamais vu. Mais rien qu'à l'aura qu'il dégage je sais d'emblée à qui j'ai à faire.

-Valentina. Répéta-t-il lacement.

Sa voix grave et rauque me procure un frisson glaciale longeant mon dos. Il s'approche de moi. Je glisse sur le côté. Il fait un deuxième pas de et continue de glisser sur le mur. Ma peur me dévore les entrailles. Je ne peux plus retenir mes larmes. Heureusement, ce sont des larmes silencieuses. Et alors qu'il s'approche carrément de moi. Je continue à longer le mur jusqu'à ce que mon dos ne rencontre le coin de la petite pièce des tortures.

Me voilà faite comme un rat.

Il se retourne doucement et recule. J'observe attentivement chacun de ses mouvements. Il s'empare de la chaise en métal rouillé qui trône au milieu de la pièce. Puis il revient vers moi. Je serre mes jambes crispées contre ma poitrine et place mes bras derrières mes cuisses.