CHAPITRE 45: Valmara-69.

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Hello mes choupettes, ça-va? ❤️

Je tiens à être honnête avec vous, ce chapitre n'est pas celui dont je suis le plus fière 😔...

J'espère néanmoins que vous allez apprécier. 🥺

Bonne lecture 📖 !

Xoxo - Iamkunafa.

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Point de Vue: Preto.

Quelques jours plus-tard.

Le roi de Guadalajara, Gustavo Felip, est mort de mon cran d'arrêt* planté dans sa putain de gorge. Encore un territoire qui tombe dans mes mains. Et ce n'est pas le dernier. Pas avant que chaque parcelle du Mexique ne soit mienne. J'ai eu le droit à la visite de mon oncle hier; Ricardo. J'aurais bien voulu me passer de ses remarques surtout devant mes gars. Mais il joue le role du père que j'aurais du avoir. Je crois qu'il n'apprécie pas le rythme auquel je ne fais que prendre du terrain. Mais je sens que mon ascension c'est maintenant. Et si je n'agis pas maintenant, jamais plus je n'aurais d'occasions.

Il est trois heures du matin. Ruben est assis sur mon lit il nettoie son arme. Sebastian est rentré depuis hier maintenant, et il s'est allongé sur mon lit également. Il semble apaisé. Je crois qu'être allé voir sa fille lui a remis des piles dans ses batteries.
Quelqu'un toque à la porte. J'enfile ma veste en cuire et je prend mon AK-47*, avant d'ouvrir la porte sur Esteban.

-Preto, on est prêt. Me dit-il.

J'hoche la tête, Ruben et Sebastian me suivent et je tend l'oreille pour écouter ce que Esteban a à me dire:

-D'après ce qu'on a constaté hier. Ils sont six à garder cette maison. Elle est à vingt kilomètres de Durango. Cachée dans la petite forêt tout droit à l'est.

-Bien. Répondis-je en hochant la tête.

Je descends les escaliers. Suivît de quelqu'un de mes gars. Ruben est déjà parti faire chauffer le moteur du véhicule.

-On entre. On trouve la fille. On sort. Vous tuez tout ce qui bouge, même les chiens, aucun survivant, je m'en bat les couilles. Et ne vous faites pas buter bêtement. Prononçais en réajustant mon AK dans ma poigne.

Je m'installe côté passager avec Sebastian et Esteban à l'arrière.

-C'est parti pour retrouver mi quérida niña. Est-ce que je suis assez beau mi hermano. Prononce Sebastian en s'adressant à Esteban.

-Est-ce que t'as déjà été beau dans ta vie pour commencer? Ferme-ta-gueule Sebastian ne commence pas. Répond-t-il en même temps que Ruben ne démarre ce véhicule.

-Ah! Rétorque-t-il en claquant des mains, faussement outré. En flagrant délit les gars vous avez vu! Mais quel sombre ridicule petit imposteur! Moi ma question c'est comment tu ne peux pas admirer ton grand frère qui est quatre fois plus sexy que toi et puis d'abord c'est quoi cet chemise Esteban, je ne t'ai jamais ensei-

-Ferme-la Sebastian, le coupe Ruben dans un rire qu'il tente de cacher.

-Le rouquin s'y met! S'exclame le concerné en applaudissant.

-C'est ça, sale petit cabrón de mes deux! Putain! T'as vu tes cheveux de gonzesse toi! S'énerve directement Ruben, je crois que c'est le plus facile à faire perdre patience.

VALENTINA (Sous contrat d'édition chez  HUGO PUBLISHING)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant