CHAPITRE 89: Défaillance.

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Bordel que mon acidité m'a brûlé les os. Mais Hermosa n'a absolument aucun secret pour moi, alors j'ai soufflé. J'ai eu tous mes muscles qui se sont détendus d'un coup. Putain qu'elle m'avait fait voir rouge. J'ai eu ce que ce cœur fait quand elle est là. Il pompe comme un putain de moteur. Et je le sentais s'exciter jusque dans mes tempes. Putain, ouais, elle m'a fait flipper. Je me suis levé en urgence, reculant vivement ce siège de bureau à roulette qui finit par se cogner sur le mur derrière. Il fallait que je la vois. Alors j'ai ouvert la porte de ce bureau. Elle n'est pas partie loin. Et putain que son pyjama m'a remis cette dose quotidienne de colère qu'elle ne peut pas s'empêcher de me faire subir chaque jours! J'ai empoigné son bras à la vitesse grand V. Et je l'ai mené, l'a où je savais qu'elle dormais. Elle n'a rien dis. Elle a suivit ma cadence accélérée. Et c'était tant mieux. Et la porte s'ouvre, son corps et le mien s'engouffrent, et vivement, je l'ai plaqué contre cette entrée.

J'ai vu son visage. Et j'ai décoléré immédiatement. Et j'avais... Je... Il fallait, il faut. Qu'elle sache. Ce que m'appartenir englobe et signifie. Et j'ai enserré sa gorge. Doucement, mais avec toute l'obsession et la possessivité que j'éprouve pour elle. Et elle à pincé chaudement ses lèvres. Et putain, que mon pénis à brûlé tel un envoûté. Son regard est devenu un nuage rose enjôleur. J'allais lui montrer. Ce qu'elle me faisait. Rien qu'avec ses putain de yeux verts!

-Je t'ai déjà dis dis d'arrêter d'afficher ton corps, n'est-ce-pas Valentina? Lançais-je avec une pointe d'excitation face à ce que mes iris voient.

-Mais c'est un t-shirt qui va jusqu'au milieu des cuisses! S'insurge-t-elle rouge de pudeur.

-Alors explique-moi comment je sais que tes tétons pointent, et que ta culotte est rouge?


Et... hmm, oui...

Ouais...


J'ai tout senti dans ce corps déjà chaud. Chaque frissons foudroyants. Et j'en veux bien plus! Ma main à légèrement glissé jusque sa mâchoire. Mon torse sent ses tétons m'effleurer, et narguer ma peau. Et ça me contracte tout ce que j'ai. J'ai plongé mes yeux dans les siens. Il faut que je m'y noie, très profondément, car je veux qu'elle succombe. Qu'elle ne voit que moi. Qu'elle ne sente que moi. Qu'elle ne touche que ma peau. Et que chacune de mes caresses, la fasse hurler. Mon nom. Uniquement mon nom.

Et quand son souffle est devenu tellement profond, que je l'ai senti s'écraser sur ma gorge. Me provoquant une belle fièvre. Ses yeux m'ont parlés d'amour et de tendresse. Ses yeux m'ont confiés ce qu'elle se garde précieusement de me donner. Ce qu'elle n'a pas eu l'occasion de me partager. Qui se cache entre ses jambes. Et je suis, atrocement, impatient, de lui faire goûter au plaisir sucré. Interdit. Foudroyant. Brûlant. Que le sexe est.

Et je lui ai souris. Tellement sincèrement que moi-même, ça m'a surprit. Mais je n'ai pas pu m'empêcher de le faire, parce-que mon cœur n'avait plus de douleur. Quand mes yeux se plongent dans les siens. Et je me suis laissé immerger par sa beauté. J'ai regardé ce visage colombien, à moi. Et je sais qu'elle m'a comprise, elle à vue, cette promesse; j'allais lui prendre son hymen. Et je voulais le faire... Parce-que... J'avais envie, de lui partager... Ce que mon cœur, faisait, pour elle.





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Point de Vue: Valentina.





Mouillée. Sa langue, ses lèvres, sont tellement mouillées. Que moi aussi, je le suis maintenant. Mouillée. Et corps laisse ces effluves d'eau glisser le long de mes courbes. Car il m'a rien fallut pour qu'il me fasse transpirer. Juste ses yeux dans les miens. Juste ses lèvres sur les miennes. Sa langue, qui tourne et dévore la mienne délicieusement. Et mon corps s'est décollé de cette porte. Car mes jambes ont entourées sa taille sans même que je n'en ai vraiment conscience. Et jamais avant, il ne m'avait touché comme il le fait. Non, aujourd'hui il est en train de me marquer, et m'adjurer toute sa possessivité. Alors je ne peux pas m'empêcher de laisser m'échapper, d'entre mes lèvres, de ma gorge, les sons de mon plaisir intense. J'ai toutes les bouffées les plus torrides sur ce corps. Et c'est d'un sensationnelle atrocement bon. Ses mains caressent mes fesses. Et je n'aurais jamais pu penser que c'est ça que l'on ressent quand l'homme qu'on aime touche une de nos parties intimes. C'est juste une folie dévastatrice. Surexcitante. Brûlante. Et j'aimerais qu'il n'arrête jamais de me toucher cet endroit. Et je me suis tellement collée à lui. Qu'il à frémit. Je sentais toutes les contractions de ses abdominaux. Je sentais ses bras forts me supporter, ses mains qui glissent sur mes fesses et mes cuisses. Je sentais sa langue faire de moi, sienne. Et l'instant d'après on s'est écrasés sur le lit. Ses jambes sont légèrement hors de ce grand lit, alors, ses mains se sont posées sur ma taille et il m'a fait glisser correctement au milieu de ces draps frais.

VALENTINA (Sous contrat d'édition chez  HUGO PUBLISHING)Where stories live. Discover now