CHAPITRE 24: Puebla.

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Hello mes bébés. Ça-va? 🌹

Je publie cette suite un peu tardivement.
On replonge a fond dans le monde de la drogue. 😏

Mes choux, abonnez-vous à mon profil, comme ça vous êtes informés quand j'ai de petits contres-temps!

Bonne lecture!

Xoxo - Iamkunafa

NOTE: 16 Novembre! C'est l'anniversaire de Preto! ☺️
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Point de Vue: Preto.

2 jours plus tard.

J'arrive à un feu rouge, je rétrograde puis je m'arrête. Me faire remarquer parce-que j'aurais grillé un stop n'est vraiment pas dans mes projets pour se soir.

Le feu passe au vert. J'appuie sur l'accélérateur et le véhicule avance.

Je suis à Puebla. Accompagné de Ruben et Sebastian. Ce n'est pas mon terrain et ici, je n'ai aucun pouvoir. Chaque secondes qui s'écoulent pendant que je suis dans cette ville est une seconde de plus ou j'ai échappé à la mort.
Enfin, je ne crains rien. Je suis calme, mais pour combien de temps?

Abel Coloma.

C'est le nom de celui qui « contrôle » Puebla.
Cette ville je ne l'ai pas choisit seulement pour sa proximité avec Tépito. Je l'ai choisit en première car Abel Coloma est un homme qui prend très peu de risque. Un homme prudent, est un homme qu'il est facile de prendre sous sa tutelle.

Je tourne sur l'angle de Calle 5 sur et Avenue 3 Poniente. Je me gare, près du restaura Fonda de Santa Clara. Ruben est le premier à sortir de la voiture. Je vérifie le chargeur de mon arme avant de sortir. Je coince mon glock dans la ceinture à l'arrière de mon jean puis j'arrange mon t-shirt ainsi que ma veste en cuir par dessus mon canon.

-Preto. Si tu me fais signe, je tire.

-Si tout ce passe bien. Je n'aurais pas à te demander de tirer Sebastian. Répondis-je.

Selon une de mes sources, Abel se trouverait dans ce restaurant lounge ce soir. Et vu le garde qui se trouve devant le lieu je pense effectivement qu'il est là.

J'avance, je sais que l'on sait qui je suis, alors je ne m'attends pas à ce qu'on me laisse passer aussi facilement.

- Vete, vete, vete,vete! Crache directement le garde lorsqu'il me voit.
(Dégage, dégage, dégage, dégage)

-Je viens voir Coloma. Répondis-je calmement en ignorant totalement sa remarque.

-J'ai dis, articule t-il en sortant son arme puis en la pointant directement sur mon front, vete.

-Je.viens.voir.Coloma. Et baisse moi ton putain de gadget Cabrón! Va me chercher celui qui mène les opérations et peut-être que je t'épargnerais d'une balle dans la gorge! M'énervais-je.

-Hm, lance-t-il en baissant son arme, je te trouve remplis d'audace pour quelqu'un dont le business s'est écroulé.

-No me jodas et va.me chercher.Coloma.
(Ne m'emmerde pas)

Ce chien arque un sourcil. Je sens déjà ma colère faire vibrer mes mains. Je ne le lâche pas des yeux car j'imprime son visage dans ma mémoire. Je me souviendrais de lui et son insolence.

Je dois absolument me calmer. Je ne penserais pas que la nouvelle de mon empire en miettes, aurait été aussi rapidement propagée. Je ne pourrais pas céder à la colère à chaque fois. Car ma route pourrais être très longue jusqu'à l'atteinte de mon objectif.

VALENTINA (Sous contrat d'édition chez  HUGO PUBLISHING)Where stories live. Discover now