CHAPITRE 14: Ton bras-droit.

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Coucou mes bébés, ça-va?

Voila la suite!!

N'oubliez pas de voter et commenter c'est ma seule manière de savoir que vous apprécier mon histoire mes choux!

Xoxo - Iamkunafa

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Point de Vue: Preto

J'écoute Ruben me faire le topos de ce qui se passe dans l'ensemble de mon quartier. Je ne retiens pas mes œillades haineuses envers lui. Comme je lui ai clairement fait comprendre, un autre coup comme il vient de me faire avec ces 2 putas, et je n'hésiterais pas à le dégager de mon business.

Ce monde est bien trop sombre. Trop noir pour pardonner. L'empire que mon père à bâti s'est écroulé avec lui lorsqu'il est mort et l'épave qu'il m'as laissé est ma seule priorité. Je dois la rebâtir. Et laisser l'incompétence de mes alliés pourrir mes chances ne fait que décupler la haine qui ne lâche pas mes entrailles.

« ... que à toi... »

Le grésillement de mon talkie-walkie coincé dans mon jean me fait sortir de mes pensés. Comme à son habitude Sebastian ne sais pas utiliser ce putain de talkie-walkie!

« Putain Cabrón! Combien de fois je dois te dire que tu dois rester appuyé sur le bouton! »

« Ouais... Et Patrón? La prisonnière t'as demandé ex-pres-sément. Me somme-t-il d'un air gaie »

« De quoi tu parles, merde!? »

« Señorita Ojos verdes (Mademoiselle yeux verts), elle ne veut parler qu'à toi! »

Je rive mon regard dans celui de Ruben. Et je sais qu'il comprend que cette fois-ci je ne parviendrais pas à me contrôler.

Je me lève brusquement de ma chaise. Cette petite prisonnière de merde commence à faire bouillir mon sang dans mes veines beaucoup trop fortement.

Ma patience à des limites, et ses exigences viennent de les dépasser. Putain je vais la baiser!

Je sors en trombe de mon bureau. Je sens que je ne contient plus ma colère. Je déboule les escaliers et je me retrouve rapidement devant la porte qui mène au sous-bassement de la maison. La porte claque derrière moi, face à la force que j'ai mis pour l'ouvrir. Dès que j'arrive devant la cellule de cette connasse. Le gardien ouvre directement la porte.

Je la vois tout de suite, elle est adossée, debout contre le mur, les bras derrière le dos. Je ne sais pas à quoi ressemble mon visage sur le moment mais je sais qu'à ma vue elle se crispe directement.

Je me précipite vers elle. Elle n'as pas le temps de faire quelconques mouvements que je l'ai déjà saisie par le bras l'instant qui suis, il suffit d'un violent crochet du pied pour que ses fesses s'aplatissent violemment sur le sol. Un hoquet de surprise mêlée à de la douleur s'échappe de son gorge qui me tarde de faire taire.

Ses yeux s'embrouillent déjà de larmes mais sur le coup, sa faiblesse j'en ai plus que rien à foutre. Elle se protège en plaçant ses bras devant son visage mais il m'en faudra beaucoup plus pour m'arrêter.

Je me saisit rageusement de nouveaux de sa gorge et je la plaque contre le sol. Ses yeux se crispent de douleur.

-Regarde-moi, putain! Où elle est?! Criais-je hargneusement.

Ses joues rougissent face au manque d'air. Et je ne peux m'empêcher de sentir que cela ne fait que dupliquer la colère que j'éprouve pour cette petite imbécile qui pense pouvoir baiser mon business!

VALENTINA (Sous contrat d'édition chez  HUGO PUBLISHING)Where stories live. Discover now