- Chapitre 55 -

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PDV PLK

Je me réveil en voyant l'heure qu'il est, si elle ne se lève pas immédiatement elle ne va jamais être à l'heure. Je décide donc de me lever et de partir dans sa chambre comme la veille elle est allongée. Je m'accroupis à ses côtés et elle plante son regard sur moi ce qui me fait sursauter et elle rigole. Je commence à la chatouiller, puis je monte sur le lit pour avoir un meilleur angle d'attaque. Elle rigole comme jamais sous mes assauts, je finis par la lâcher ça serait dommage qu'elle meurt maintenant. Je finis par ouvrir la fenêtre et les volets, en laissant la fenêtre entre-ouverte. Elle grogne et finit par se lever pour aller dans la salle de bain. Je l'entends prendre sa douche, au lieu de la rejoindre je décide de préparer le petit-déjeuner. Numb s'attaque à mon pied quand je commence à le faire chier, mais le truc c'est qu'il commence à avoir de bonnes dents. Du coup je me fais niquer les pieds, il se calme quand je lui donne de quoi boire. Il se précipite sur sa gamelle quand sa maîtresse arrive, un vieux jean coupé au genou bleu délavé, un pull Nike et ses Air Max 95. Je la regarde de la tête au pied elle m'a habituée à mieux niveau sapes.

V.R.N: J'ai pas envie d'aller en cours, j'ai une idée je vais rester ici et m'occuper de mon bébé d'amour. Elle gratte la tête de Numb qui lui saute dessus.

Moi: Non faut que tu ailles en cours, en plus t'as pas de taf donc tu vas en cours. Elle s'accroupit et son chien vient dans ses bras.

V.R.N: Mais j'ai pas envie en plus j'ai pas été là pour mon petit amour pendant deux jours. Je lève les yeux au ciel.

Moi: Je sais que c'est pas facile pour toi mais il faut que t'y ailles sinon comment tu vas faire. En plus t'as même pas de travail et entre nous c'est mieux pour les raisons qu'on connaît tous les deux.

V.R.N: J'vais abandonner m'en fou de finir caissière ou éboueuse ou je ne sais pas quoi il n'y a pas de sous métier de toute manière. Elle croise ses bras sur sa poitrine alors que son chien est assis entre ses jambes.

Moi: Me regardez pas comme ça tous les deux, tu vas en cours en plus il faut que tu amènes Java. Elle souffle est finie par se lever en me rejoignant dans la cuisine.

V.R.N: J'ai pas envie d'aller en cours et pourquoi je t'écoute d'ailleurs. Je lève les yeux au ciel qu'elle aplomb.

Moi: Parce que tu sais que j'ai raison. Elle tourne son visage vers moi avec un sourire, elle s'approche de moi de manière beaucoup trop prédatrice.

V.R.N: On pourrait s'occuper tous les deux. Je la prends par les hanches et l'assoie sur le plan de travail, elle m'attire entre ses jambes et les noues autour de mes hanches, piège à con.

Moi: V faut pas déconner avec les études, il faut que tu ailles en cours. Elle grogne en se penchant en avant.

V.R.N: Mais quand je te dis que c'est une vrai horreur c'est pas pour rire. Je viens à la rencontre de son front elle passe ses mains dans mes cheveux.

Moi: J'me doute que ça doit pas être le plaisir qui te pousse à aller là-bas mais il le faut alors tu vas te lever prendre tes affaires et partir.

V.R.N: C'est moi ou tu me vires de mon propre appartement? Je rigole et elle me suit dans mes éclats de rires.

Moi: Dégage vite. Elle tape avec son index sur ma joue puis elle saute du comptoir et prend ses affaires avant de se diriger vers la porte.

Je me laisse tomber dans le canapé quand la porte s'ouvre, je la regarde elle m'embrasse sur la joue et quitte l'appartement pour de bon. Je rigole en prenant mon téléphone, il faudrait peut-être que je pense à retrouver mon appartement. Mais en même temps j'adore vivre avec elle, je sais plus quoi faire. Je pense qu'une bonne grosse discussion avec ma grand-mère devrait m'aider. Je passe sous la douche et je laisse Numb pour une fois, je me dirige en scooter chez ma grand-mère. Je monte les escaliers et elle vient m'ouvrir dès que j'ai sonné chez elle.

Le Polak et la CroateOù les histoires vivent. Découvrez maintenant