Oublié • Fiction les Légendaires [Correction 24/83 ♪]

Do or die, and the story goes || 2 ans !

J'avais attrapé les épaules de Daniel avec un large sourire, des étoiles dansantes dans mes yeux. Je vis le garçon avoir un mouvement de tête en arrière, toute en grimaçant, ses joues se teintant légèrement de rouge à ce contacte inhabituel entre nous. Il était vrai que j'étais plus habituée à lui en foutre une, d'ailleurs au début de ce petit écrit même j'avais faillis lui écraser mon poing dans son magnifique petit nez. Daniel me fixa les yeux ronds, avant qu'il ne redevienne sérieux lorsqu'il me regarda, mon sourire lui, demeurait sur mon visage illuminé par ce dernier et l'étincelle d'espoir dans mes yeux bruns sombre.

« Toi tu veux qu'elle nous tues. »

« Mais nan ! Elle ne nous chopera pas ! » Je lâchai ses épaules tapotant son épaule un grand coup.

« Elle a raison... » Songea Mackenzie, tapotant son menton avec ses doigts avant de lever le doigt et de l'agiter « La perche est à une réunion pour le prochain cycle on a le temps »

« TROUVER ! »

Je sortis d'un tiroir, une grande pile de feuille agrafer ensemble avec écrit en gros dessus « Confidentiel », cela ne pouvait qu'être que ça ! Surtout le tas de feuille que cela c'était ! Il était énorme ! Et vu combien de fois l'autre limace se plaignait de la longueur de notre histoire, cela ne pouvait que cordonner ! J'AVAIS NOTRE DESTIN DANS LES MAINS ! C'EST TOTALEMENT FOU ! Mon cœur bâtie à la chamade alors que je fixais la pile entre mes mains, Mackenzie et Daniel s'approchant à mes côtés, leurs regardes brillant d'une certaine curiosité. Comment ne pas l'être ?! Nous avions notre destin entre mes mains là ! Et cela allait-être avantageux pour vous aussi, vu que vous êtes là ! Je vous le dis – C'est enfin le destin qui nous souris enfin, nous montrant la lumière face à cette sadique sans nom qui nous torturait depuis des jours et des jours allant jusqu'à des mois ! Jamais une de pause ! Et surtout... Je n'avais toujours pas eux de gâteau dans l'histoire ! Quelle torture horrible pour moi de me faire, moi, pauvre au point de ne pas pouvoir acheté ne serais-ce qu'un macaron... Aujourd'hui, cela était le temps de la vengeance ! J'allais me venger pour cette faute, cette torture, le fait que je sois pauvre à l'heure actuelle ! C'était le moment pour lui faire regretter de-

« Kayla, tu baves. »

« TU GACHE UN MAGNIFIQUE MOMENT MACKENZIE ! »

Je claquai le tas de feuille sur sa tronche mes yeux lançant des éclairs presque aussitôt, Mackenzie se tint la tête, le regard tout aussi meurtrier alors qu'elle se jeta sur moi, prête à en découdre, me faisant échapper l'objet précieux que nous recherchions tant mais, que nous avions totalement oublié au final, trop occupé à se bastonner sur le regard blasé des deux seuls mecs importants de la fic, qui soupirèrent en cœur tandis que le blond reprit un cookie pour le croquer alors qu'on bataillaient au sol. Je crois que c'est votre faute que les chapitres partent aussi souvent en couille... Vous avez une mauvaise influence. Je suis sûr... Car de base Mackenzie était une personne très calme, vous avez déteint sur elle, bande de monstre ! Oui je vous insultais alors que vous n'avez sans doute rien demandé d'être ici avec nous, mais, vous allez avoir l'habitude depuis le premier chapitre non !

Nous nous arrêtions, nos deux joues tirés lorsque Daniel se mit à pouffé de rire, tentant de l'étouffer par la suite avec sa main devant la bouche. Moi et Mackenzie nous nous arrêtions sur le champ, nous relevant, découvrant les deux garçons penché sur le fameux livret que je convoitais tant et que j'avais tant cherché mettant au moins pendant toute la journée. Ah oui, vous êtes vraiment qu'arrivé à la fin vous, bande de fainéant à toujours sauter les partis les plus ennuyeuse et à me laisser seule ne pouvant me défouler sur personne ! Bande de lâcheur ! Enfin.

Nous nous levions, nous approchant des deux garçons qui continuaient de rire, devant le livret d'ouvert. Qu'est-ce qu'il y avait donc ? Le châtain se tourna vers moi, un grand sourire moqueur sur le visage, ses épaules s'agitant toujours d'un rire et il dut se reprendre à dix fois pour dire le mot à laquelle on ne comprit rien au départ.