Oublié • Fiction les Légendaires [Correction 24/83 ♪]

• Chapitre 28

Je plissais les yeux tandis que le vent agitait mes cheveux tandis que mes doigts tapotaient ma hanche, nerveuse et remplit de vengeance. De ce qu'ont m'avaient dit, des derniers lieux où il s'était trouvé, des dernières attaques, des derniers morts, provoqués par lui. Je devais le trouvé en ce lieu, ou tout du moins croisé sa route, à lui, cette assassin. Je clignai des yeux nerveusement, levant la tête vers le ciel couverts de nuages, comme si ces derniers, menaçant, cachant les rayons chauds du soleil, prévoyant quelque chose de sombre... Et en effet... Aujourd'hui, j'allais me venger de lui. J'allais mettre FIN à tout.

Au même moment le sol vibra sous mes bottes marrons, me faisant perdre l'équilibre en même temps que cela interrompus mes pensées. Je tombai assise au sol. Mes yeux s'arrondirent tandis que mon cœur eu un sursaut dans ma poitrine, un sursaut nerveux et impatient. J'avais assez entendus, il avait assez attendus, il avait assez fait de morts pour qu'il continue. Lui et son armée, la honte vivant en elle-même. J'avais cessé de me poser la question du comment un être comme lui avait put exister sur Alysia si cela n'était que pour tuer. J'avais tout simplement cessé, n'ayant que le seule objectif, qu'un seul et unique objectif m'habitait à cet instant se nommant la vengeance, se nommant la mort. Je me levai, mon regard froid en bas d'une très large crevasse peu profonde que je pouvais voir cette sombre chose, l'une de ses nombreuses et honteuses créations. Je fermai les yeux, le vent soufflant une unique fois, tandis que je levai doucement la main vers mon ruban rouge, m'emparant du nœud qui maintenait ce dernier parfaitement mes cheveux en queue de cheval, l'enlevant. Mon regard resta en contrebas, fixant cette chose, son repère, mes cheveux tombant sur mes épaules, le même sentiment m'habitant depuis tout à l'heure, depuis des jours... Depuis ce jour.
La vengeance.

Un bruit sourd me fit sursauter en même qu'ouvrir les yeux. Un cri s'échappa de ma bouche dans le silence de la nuit. Je regardais nerveusement autour de moi, les yeux ronds prise de panique, le long couloir de l'hôpital du monde Elfique, un lourd silence pesant sur mes épaules, tremblantes du souvenir qui venait de m'habité. Apercevant l'un des livres d'Artémus del Conquisador sur mes jambes, je soupirai de soulagement, me rendant compte que je m'étais simplement assoupit quelque instant sur le bord de la fenêtre sur laquelle je m'étais installé.

Après l'accident de la journée avec Daniel, à l'heure d'allé nous couchés, je m'étais sentit encore moins capable de trouvé le sommeil ou même d'affronté mes propres cauchemars. Mais il semblerait que comme toujours j'avais eu tord. Foutus souvenirs, vous n'en avait pas déjà assez fait aujourd'hui ?! Mon regard se dirigea vers la porte de la chambre de Daniel, mes dents crissèrent entres elles, je m'étais tout simplement installé là prenant le relais de Mackenzie –bien que cette dernière était parfaitement contre- pour surveillé l'état de Daniel ou si ce dernier avait besoin de quelque chose, rien de plus... Je lui devais bien ça après l'accident de la veille. Un grondement sourd me fit de nouveau sursauté, me crispant sur place, me mains accrochés sur le rebord de la fenêtre. J'eu les yeux arrondis comme deux billes par la peur. Je tournai tout du moins mon regard vers la fenêtre là où un nouveau flash blanc éclaira un moment le couloir, suivit d'un autre grognement qui m'effraya autant. Je plaquai ma face contre la fenêtre pour observer la pluie battante s'abattre, je pouvais entendre le vent sifflant à travers la fenêtre. Un autre grondement de sourd me fit cette fois poussé un cri, me faisant reculé de la fenêtre et tombé par terre dans le couloir. Ouiii, chères lecteurs... Vous l'aurez comprit. J'ai aussi peur de l'orage. Pas autant que le noir je dirais où là je peux mourir sur place mais j'ai cette pensée, que mes peurs sont vraiment les peurs qu'ont les gamins petits... Les vrais, pas ce qui ont rétrécis après le lavage de Jovénia les débiles ! Quoiqu'il en soit, ce foutu orage m'avait fait échapper à cette horrible souvenir, pas la peine que j'en vois d'avantage je le connaissais par cœur. Comme cela ne valait pas la peine que vous en voyez d'avantage à la profonde idiotie qui m'avait habitez à cet instant. Je soupirai tout en me levant, m'emparant de la couverture à carreau qui était tombé avec moi, laissé par Regen alors que je lui avais dit que je restais ici. Mon regard courait le long du couloir vide et censé être silencieux, seulement un coup de tonnerre y résonna me faisant frémir de tout mon corps. BRRR ! Je n'aimais vraiment pas ça ! Mais il semblait avoir aucun signe de Mackenzie, je me demandais où cette furie pouvait bien être à l'heure qu'il est ? Dans la chambre de son frère ? Je tournai la tête vers la porte blanche de cette dernière, mes yeux lancèrent en un clin d'œil des éclairs malgré l'inquiétude et la honte m'envahirent.