"Je serais Hokage !"

Nouvel Hokage

Au bout d'une semaine Shikaku avait finit par accepter de la laisser sortir dehors, supervisé par Shikamaru. Il était plus dur à semer qu'elle ne le pensait, et pas une fois ne c'était-il plein de devoir rester avec elle. Ce n'est pas comme si elle risquait de mourrir à chaque instant: les docteures et infirmiers qui s'étaient occupés d'elle avaient enlevés les fils de la blessure, recousus plus soigneusement le temps de désinfecter la blessure et celles autour, ré-enlevés les fils et soignés la plaie qui n'a pas mit longtemps à cicatrisé. Bien qu'il restait maintenant une trace de son combat avec Orochimaru.

Elle se promettait secrètement de le tuer la prochaine fois qu'elle le verrait pour balayer l'affront qu'il lui avait fait.

Perdu dans ses pensées elle n'avait pas vu qu'elle avait marché tout le long de la rue commerçante et se trouvait maintenant à la fin du village, aux bains publics. Elle pensa une seconde à aller se baigner et profiter de l'eau chaude pour relaxer sa blessure mais elle changea vite d'avis quand elle vit un homme regarder à travers une fissure pour espionner les femmes à l'intérieur. Il avait un rire narquois dégoûtant, et il semblait extrêmement vieux.

Elle l'attrapa par le col, le regarda droit dans les yeux et récita la loi:

«Article 226-3-1 du code pénal:  "le fait d'user de tout moyen afin d'apercevoir les parties intimes d'une personne que celle-ci, du fait de son habillement ou de sa présence dans un lieu clos, a cachée à la vue des tours, lorsqu'il est commis à l'insu ou sans le consentement de la personne est puni d'un an d'emprisonnement de 1 500 euros d'amende. [...] Les peines s'élèvent toutefois portées à deux ans d'emprisonnement et à 30 000 euros d'amende en cas d'abus d'autorité, de commission sur un mineur ou sur une personne particulièrement vulnérable, de commission en réunion, de commission dans un véhicule affecté au transport collectif de voyageurs ou lorsque des images ont été fixées, enregistrées ou transmises.

-Pardon?

-Considérant le fait que des mineurs sont présents dans ces thermes et que moi-même, 14 ans, allait m'y baigner, je peux porter plaint pour voyeurisme sur mineur, la peine maximale serait de 2 ans d'emprisonnement sans sursis et 30 000 d'amende.

-2 ans?

-Je vous l'accorde, si peu pour si grand.

-Écoute gamine, c'est pour mon livre, alors c'est de la recherche pour mon travail.

-Est-ce que toutes les personnes présentes dans ces bains on donné leur accord pour ses recherches?

-Là n'est pas le sujet.

-Je peux toujours leur demander.

-Non, je n'ai pas leur accord, mais veux-tu bien me lâcher un peu?

-Écoute vieux, si vous voulez écrire un livre sur le corps de la femme, là n'est pas le problème, mais si vous tenez tant que ça à savoir des choses sur l'anatomie d'une fille majeure obtenez l'accord d'une, payez-là, faites ce que vous voulez mais il faut le consentement de la personne pour pouvoir la regarder ou écrire sur elle. Regardez des films, lisez des livres, documentez-vous tant que c'est légal mais là vous détruisez l'intimité et la vie privée d'un vingtaine de femmes.

-D'accord, d'accord maintenant tu peux partir.»

Akihana fit de son mieux pour ne pas s'énerver, malheureusement -où heureusement- elle n'y arriva pas et empoigna l'homme par ses habits et le regarda droit dans les yeux, il soutint son regard.

«Il semblerait que vous ne compreniez pas votre situation. C'est un crime extrêmement grave le voyeurisme, encore plus sur mineur, donc vous allez partir d'ici avant que les choses deviennent sérieuses.