Petit enfant, j'aurais adoré prendre mon élan pour sauter sur les hanches d'un grand frère qui serait venu me chercher à la sortie de l'école. C'est cuisses serrées sur ses hanches, bras passés autour de son coup que volontiers je lui aurais fais un gros câlin. Petit bonheur simple que beaucoup d'enfants ont eu le plaisir de connaître, sauf moi. Étant fils unique, je n'avais pas eu ce grand frère, ce repaire pour avancer. Mes parents, malgré tout leur amour pour moi, restaient trop occupés professionnellement pour se soucier de mon manque affectif. Sauf que là, en ce lieu, je suis confronté à la plus terrible des punitions jamais subi, car elle est publique!
Je suis anéanti par cette position peu glorieuse. Je ressens leurs coups de bassin sur mon anus et paquet servant de butoirs. Dans mon malheur, le fait qu'ils soient en shorty et slip, me rend moins pénible le choc causé par ces coups francs et virils à travers mon survêt en lycra. Sans qu'il en ait conscience, en me portant ainsi, chaque mec me dévoile la masse de son anatomie. Par chance, mes petits attributs bénéficient, seconde après seconde voire en fonction de la cadence trop ou galop imposée par ces jeunes loups, de coussins plus ou moins confortable, constitués par la souplesse et la densité de leurs paquets respectifs.
Vu la vigueur qu'ils mettent à taper ma rondelle, je me sens comme une victime au milieu d'une tournante! et tout cela sous le regard amusé de Kev. S'il n'avait pas été à l'origine de cette épreuve, j'aurais tendu mes bras vers lui et il serait venu me délivrer. Pour ne pas craquer, je devais leur faire face, assumer, ne rien laisser paraître. Me dire qu'après tout ils agissaient toujours ainsi avec moi à l'occasion de mes victoires. C'était la manière qu'utilisaient les sportifs pour fêter l'exploit d'un gagnant. J'y était habitué, sauf que là il s'agissait de ma plus grande défaite. Je ferme les yeux, pour ne plus croiser le regard de Kev et passe inexorablement de bassin en bassin. Je suis de nouveau positionné en croupe sur une nouvelle monture. Ce mec me maintient contre lui différemment. Mon torse plaquant le sien, je devine des pecs bien plus musclés. Le paquet de son entrejambe m'offre une bien meilleure assise. Le parfum naturel que dégage son buste me porte directement au cœur de cette superbe expérience que j'avais connu la veille sous forme de songe dans les bras de Kev. Intrigué, puis curieux de savoir quel mec détenait ce pouvoir, j'ouvrais les yeux. Je vis ce bleu du ciel, celui même de mon premier réveil dans les bras de Kev. L'intensité de se bleu je l'avais reconnu, pour m'y être déjà noyé! Il s'agissait sans nul doute des yeux de Kev!