Chapitre 11

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Je me sentais tout à coup encore plus ridicule. En prenant ma bouche, ce mec avait dû imaginer baiser sa meuf, ou l'une d'entre elles car, lui, en avait plusieurs. Son engin me casser la gueule de l'intérieur. Je ne pouvais pas imaginer, et pour cause, que ce truc était une véritable arme sexuelle chez les hommes fauves. Je ne pouvais visualiser sa grandeur, par contre la circonférence de sa teub était surprenante et celle de son gland encore plus délirante. J'avais honte de me trouver dans cette situation, mais je n'oubliais pas un instant que je l'avais provoquée. Bref, je n'avais que ma gueule à fermer! La peur me submergea lorsqu'il rappela à mon bon souvenir toutes les fois où je lui avais fait un doigt d'honneur en franchissant, quelques dixièmes de seconde avant lui, la ligne d'arrivée. Qu'ensuite je criait bien fort, devant toute la tribune de potes, que je l'avais encore dominait et baisé comme une femelle qui se couche, et qu'il pouvait aller se faire mettre par de vrais mecs pour tenter de récupérer toute la puissances des mâles, celle qui lui manquait. En y réfléchissant, j'avais honte de moi. Comment, avec mes trois grain de riz dans le slip, j'avais pût m'attaquer à ce vrai mec et l'humilier de la sorte. Pour autant, jamais il avait voulu me casser la gueule. Il aurait été aisé pour lui de me tendre un traquenard avec sa meute, et de défoncer ma petite gueule, de fiote. Oui de fiote, voilà comment je me considère en cet instant précis, alors que ce mec me dompte. Même si j'aime les filles plus que tout, je n'ai encore jamais baisé. Mais Kev venait de me démontrer la domination du vrai mâle en me dépucelant de la bouche. Que me réservait il comme châtiment pour l'avoir traiter d'enculé ?

Je n'avais pas eu le temps de mettre un point d'interrogation à ma phrase, qu'il tire son membre de ma gorge et s'en sert pour m'assener des coups au visage, comme s'il utilisait un gourdin lourd et robuste. Il faisait une bonne vingtaine de centimètres. C'est rapidement et sans effort, dans un geste parfaitement maitriser de rotation, qu'il me positionne sur le dos. Je me retrouve comme un pantin inerte, offrant jambes écartées par des mains vigoureuses, anus et petit paquet à sa vu . L'humiliation est grande.

Kev mon rival🍋Where stories live. Discover now