Me voila, au milieu d'une place poussiéreuse, munie d'un bâton à la main, que je tapais sur le sol en gonflant les joues, avec un mal de tête qui me tapait dans la cervelle. Mes pieds crissèrent dans la poussière claire alors que je jetais un bref regard à Daniel qui était assis sur une barrière, à côté d'un homme aux cheveux bruns qui nous observait.
Me voici, me voilà, à avoir accepté un entrainement d'une jeune fille dont je ne connaissais que le nom et qu'elle avait retourné la baraque pour en foutre un coup à Daniel. C'était qui elle mise à part Meiko ? D'où viens-t-elle ? Et surtout, pourquoi elle avait attaqué Daniel !? Je lui jetai un regard discret, alors que ce dernier sourit à une jeune fille blonde qui passait par là s'arrêtant un bref instant pour nous observer. Je grinçai des dents, je me demandais dans quoi encore dans quoi je m'étais engagé ! Faire un combat alors que j'avais juste la gueule de bois... Mais Malgré tout, j'avais longuement réfléchis... Puis, j'avais répondu par un simple oui, qui avait fait illuminer le visage de Meiko d'un grand sourire radieux, alors que ses doigts froissèrent le morceau de papier qu'elle tenait entre ces derniers. Mais... J'avais seulement accepté avec la seule condition - Que nous combattions de la même façon, c'est-à-dire avec une espèce de long bâton en bois, dont je ne savais pas du tout combattre avec au contraire de Meiko... Je posai l'un des embouts de « l'arme » qu'on m'avait prêté, au sol, me dépassant de quelque centimètre. Mais je préférais largement ça... Le terme entraînement comme « combat amical » ne me rappelait pas de très bon souvenir, dont je préférais ne pas y penser. Mais malgré tout, mon esprit me l'imposait. Je glissai doucement mon regard en direction de Daniel, ils se croisèrent, le mien s'assombris. Le dernier entrainement que j'avais vécue, tout le monde s'en souviens... Lui et moi, vous comprit, chère fouines.
Ce fut vraiment ce jour-là que j'avais réalisé, une bonne fois pour toute, que mes cauchemars ne me quitteraient jamais. Comme ils ne cesseront jamais de hanter chaque instant de ma vie... Une folie que je déteste mais, que malgré tout, faisait partie de ma vie. Que je le veuille ou non, et cela n'a été que ce jour-là que j'avais vraiment réalisé. Elle me hantera jusqu'à qu'elle me tue d'elle-même si rien d'autre ne mettait fin à ma vie avant, cette douce folie, aussi effrayante que la mort, étant cette définition même, n'ayant que l'unique bute de bouffer le peu d'esprit propre de la personne qu'elle habite. Un unique but qu'elle arrive toujours à atteindre malgré moi. Je poussai un long soupir tout en détournant le regard vers Meiko, dont la plume glissai sur une feuille blanche, écrivant le règles du combat, je lui avais laissé l'honneur d'en décider, je ne savais pas qui elle était mise à part son prénom ! Je voulais savoir ce qu'elle avait dans le ventre celle là pour me proposer un duel et bien que sans mes pouvoirs, je devrais retenir mes coups et éviter d'utiliser son désavantage en tant qu'avantage pour moi. Je perdrais mon honneur de faire ça à cette petite rouquine... Et même je n'étais pas de ce genre, je me battais à la loyale. Quoi qu'il en soit, je me demandais toujours qu'est-ce que je foutais là et pourquoi j'avais dû dire oui... Mais comment j'aurais pû résister et dire non face aux regards gris et suppliant qu'avait Meiko. Surtout à un regard si expressif. C'était soit une idée que je me faisais soit la réalité. Bah... Je cause pour rien dire, il faut bien faire passer le temps quand je ne fais rien si ce n'est que comprendre comment je vais me battre avec ce bâton face à elle, qui avait l'air d'être trop doué malgré moi. Je ne sais pas pourquoi – Je savais que j'allais regretter ce choix dans quelque instant. Je me mis à baillé soudainement, me frottant le front, surtout que de me battre avec la gueule de bois, je n'avais pas non plus un grand avantage... Mais quelle idée j'ai eu, pourquoi je n'ai pas dit non pour ensuite retourner me coucher n'importe où, le temps de décuver ! Je poussai encore un soupir d'agacement, le vent soufflant dans mes cheveux, les agitant pendant le bref instant qu'il s'y faufilait, provoquant comme un étrange frisson de chaleur en moi.
Je pensais... Je pensais qu'il n'y à peine un mois que nous étions en pleine bataille, combattant chacun pour notre vie, la peur au ventre d'échouer. Mais malgré cette peur, que nous avons gardé, combattu durant deux ans, nous étions tous là encore aujourd'hui, comme si de rien ne s'était passé. Il n'avait qu'à observer le comportement des habitants de ce village, ils vivaient comme si la fin du monde n'avait jamais failli avoir lieu. J'eue un léger sourire, tout en fixant le sol, sûr, il était plus facile d'oublier une chose qui vous avait marqué. Je parlais au sens figuré et propre du terme. Il y avait toujours ces cicatrices le matin, lors que j'ouvrais les yeux d'un cauchemar, pour me rappeler que cela s'était passé. Je sursautais lorsque soudainement, une feuille se glissa sous mon regard, baissé au sol, Meiko me tendait la liste des règles qu'elle avait voulus imposer pour notre combat amical. Je regardais un moment ailleurs, m'emparant de ce que me tendait la rouquine. A quoi cela me servait de causé d'Anathos ? Tout était fini nan ?... Mais malgré tout, un profond agacement résonna en moi alors que je posais mes yeux sur les mots qui encraient la feuille blanche. Des mots parfaitement écrits à la plume d'une encre noire jais, à peine sécher. Son écriture était soignée et appliqué, seule quelque tache d'encres perlait par ci par là. M'enfin bref, sans m'attarder sur la propreté de son écris je lus les règles. Une seul et unique règle à vraie dire...
1. Tous les coups sont permis.
Hein ? Je dus cligner plusieurs fois des yeux, voyant cette unique phrase qu'était le règlement de notre combat. Je me vis afficher une expression d'incompréhension sur mon visage tacheté, elle avait vraiment mis tout ce temps pour juste écrire cette phrase ?! Je me creusai un bref instant la tête, avant de déclarer.
« Comment ça tous les coups sont per... »
Je lâchai soudainement la feuille, lorsque le bâton de Meiko s'abattit sur le dessus de ma tête, ne provoquant qu'un éclair de douleur qui me parcourut tout le corps, en même temps que mon visage se déforma d'une grimace, le sentiment de regret ne fus jamais aussi présent tout comme j'eue l'impression qu'on venait de me faire piétiner par un troupeau de culbutar apeuré. Juste... AÏ. Nan pas juste, mon mal de tête venait d'être multiplié par cent, suite au coup que la rouquine m'avait porté la rouquine. Tout en restant couché au sol, la douleur résonnant dans ma tête tel un long sifflement sans fin, Meiko se dressait de toute sa hauteur, fier de son coups sans doute à la vue de son sourire victorieux et de me voir K.O au sol. J'avais enfin compris le sens de sa phrase, tout était permis dans son combat, même de sauter sur son adversaire alors qu'il n'était pas prêt. Mais j'avais tellement déjà mal au crâne que je pus m'empêché d'hurlé sur elle, le visage rougis par la colère et la douleur du coup. Qu'elle ne m'entende ou non, je n'en avais rien à faire, c'était le dernier de mes problèmes.
« MAIS TES TOTALEMENT DEMEURER ! » Son visage pris un air blasé un cours instant, ce qui eue le don de m'énerver encore plus que je ne l'étais...
« C'est notre règle, la miss... Tous les coups sont permis ! » Je tournais mon regard vers Daniel, assis près de la même blonde tout à l'heure à qui il avait fait le pire des sourires idiots. Il haussait un sourcil. « C'est moi ou ça a sonné creux dans ta tête quand Meiko ta portée le coup ? »
« LA FERME ! » Les villageois, qui s'étaient arrêtés se mirent à rire, mes joues virèrent au rouge de gêne et de honte, merde j'étais en train de me faire ridiculiser pour de bon, m'enfin, je pense que je l'avais déjà bien fait hier soir en étant bourré.
Je me frottai la joue d'un revers de manche, mes joues tirant sur le rouge vif. Je me mis à fixer Meiko, si tous les coups étaient permis alors... Je me dressais soudainement sur un pied, ce dernier crissant sur le sol alors que je fis glisser l'autre au sol, au niveau des pieds de Meiko, qui sursauta lorsque ses pieds furent emportés par mon coup. La rouquine ouvrit la bouche comme pour laisser un bruit en sortir alors que je récupérais mon propre bâton au sol, le brandissant au-dessus de ma tête pour la frapper, où je n'en savais rien ? Mais ma propre arme en bois, trancha l'air en même temps que je portais mon attaque qu'elle évita de justesse en ne roulant seulement sur le côté, salissant la robe noire qu'elle portait. Aidé de ses bras elle se releva accroupis, tenant toujours son bâton dans les mains dont j'entendus le coup trop tard, dirigé vers mes jambes qui furent à leur tour entrainé par l'arme, me faisant tombé au sol. Mon bras gauche furent écrasé sous le poids de mon corps, je poussai un cri, surprise, Meiko se relevait à son tour alors que je m'empressais de faire de même, récupérant ma bâton, que je n'eue tout juste le temps de mettre entre moi et l'attaque qu'avait porté Meiko. Les deux bouts de bois s'entrechoquèrent dans un claquement sec qui résonna dans la rue où nous nous trouvions, faisant sursauter plus d'un spectateur, qui s'était joint au spectacle qu'ont leur offraient. Ils semblaient à peine surpris de nous voir combattre, j'eue la courte certitude que Meiko avait du déjà combattre Daniel de la même manière que j'étais en train de le faire. Sans se ridiculiser bien sûr. Un bruit étouffé s'échappa de ma bouche lorsque d'un geste vif, Meiko avait porté le coup de son bâton vers mon ventre pour me faire reculer et baisser mon arme, me laissant sans défense pour que son bâton ne s'abatte sur mon épaule. OUAH ! Je fis sans réfléchir, un mouvement de cercle avec mon bâton pour écarter Meiko de moi, tenant mon épaule douloureuse, grimaçante. Je frotta un instant, sentant la douleur me chauffer l'endroit où Meiko avait réussis à toucher. Ok tous les coups était permis... Donc puis-je tué cette rousse qui venait d'actuellement de réveiller la douleur de l'ancienne entorse que j'avais gagné lors de ma bataille contre Anathos ? Je ne sais pas si cela était l'énervement, la fatigue ou la douleur, mais tenant de mes deux mains le bâton, prenant appuie un bref instant sur la pointe de mes pieds, je puisai la force de mes jambes pour me propulser vers Meiko, dont les yeux gris brillait de détermination. Elle ne fit quelques pas arrière, pour éviter mon premier coup, le bout de mon bâton s'écrasant au sol, faisant élever un petit nuage de poussière. Puis elle évita, le deuxième, le troisième... OH PUIS MERDE ! Je m'élançai en avant vers la petite, pointant cette fois l'embout de mon arme vers elle, faisant un coup qu'elle évita facilement, mais je laissai le reste de mon corps se diriger vers elle, le poing serré pour lui donner un coup dans le creux de son ventre. Ce fut la première que je l'entendis sortir un son de sa bouche soit – un cracha de la douleur. WOUAH ! J'avais réussi à la toucher enfin ! J'allais seulement la mettre au sol et l'immobiliser rien de plus ! Comme ça finis ce stupide combat et je pourrais aller DORMIR ! Poussant un cri, je dirigeai mon cours vers ses jambes encore une fois, mon bâton tranchant l'air dans un sifflement de mon côté droit, j'allais l'avoir !
Mais un autre claquement typique comme lorsque j'avais paré son coup il y a quelque temps, ne s'était pas vrai...Elle avait... Sans que je comprenne, d'un coup rapide, son propre coup porté dans mon bout de bois me l'arracha des mains. Il passa au-dessus de ma tête, tournoyant avant de tomber au sol derrière moi, me laissant cette fois, vraiment sans défense. Et... Je n'eue à peine le temps de le penser qu'elle sauta au dessus de ma tête dans un simple salto, passant ses deux bras autour de ma tête, mon menton bloquant le bâton qu'elle tenait de ses deux mains et m'entrainant donc avec elle. Je me retrouvai en quelque instant au sol sans avoir trop compris ce qui venait de m'arriver, que ?... Je ne pris même pas la peine de me relever, épuisé par ce petit combat qui m'avait semblé de loin amical. Mon mal au crâne et épaule me prouvait le contraire... Je ne pris que le courage de redresser la tête lorsque le pied de Meiko se posa en toute légèreté sur mon ventre. Elle me regardait d'un air victorieux, ce qu'elle put faire, je déclarais forfait. Qu'elle me laisse dormir même au sol, elle me ferait le plus grand des bonheurs ! J'étais morte, crever, fatigué, tout ce que vous voulez ! Prenez n'importe quel terme qui fait référence à dormir et ajoutez-les à ma liste ! Je n'en pouvais plus ! Mais malgré tout, un large sourire sincère illuminait son visage clair, elle retira son pied de mon corps pour me tendre sa main pour m'aidé à me relever, je la fixai un moment en silence avant de gonflés les joues.
Daniel
Je ne bougeai pas, croisant lentement les bras contre mon corps, un léger sourire étira mes lèvres. J'observais Kayla, faisant mine de sourire, malgré ses joues rougies d'une certaine colère qu'elle n'exprimait pas tout haut (pour une fois) tout en s'emparant de la main que Meiko lui tendait. Elle l'aida seulement en faisant quelques pas en arrière, tirant sur son bras. Meiko... Cette dernière ne faisait que sourire à Kayla alors qu'elle se frottait la tête avec le même air négative qui défigurait sans cesse son visage tacheté. Si vous l'avez déjà vue sourire fallait me le dire... Vous êtes chanceux je pense. Mais... Meiko. Je la regardais un long moment dans le silence, allé ramasser le bâton de son adversaire pour le lui tendre avec un large sourire.
Cette petite était vraiment merveilleuse. Je me demandais souvent –trop souvent- qu'est-ce que je serais sans ce sourire sincère et son regard gris, pétillant de joie. L'une des rares à m'en accordée tout en sachant qui j'étais mais, surtout, ce que j'étais. Je ne regrettais pas ce jour là, il y a 1 an, où je l'avais trouvé dans une rue sale et abandonné, lors d'une soirée pluvieuse. Je l'avais trouvé là, recroquevillé dans un coin, tremblante de froid, trempé jusqu'au os, seul... Cela n'était qu'au final qu'une enfant, qui avait refusé mon aide au départ, ne pouvant que froncer les sourcils pour exprimer son mécontentement à mon égard ainsi que sa méfiance. Cela aurait été difficile à l'époque qu'aujourd'hui que je sois son mentor. J'étais fier comme heureux de l'avoir pris sous mon aile... Cette enfant qui ne voulait que prouver qu'elle était capable de plus ce qu'elle l'était.
Mais malgré l'image chaleureuse de mon apprentie, je fixai le sol, tout en ignorant Kayla qui poussa un cri lorsque Meiko tenta de lui porter un encore encore, je ne l'entendis à peine hurler... Plongé dans mes pensées, ces dernières m'imposaient ma sœur, Mackenzie. Cela allait faires 2 semaines qu'elle était partie sans laisser de trace, en pleine nuit, sans que je ne sache pourquoi. Ni signe de vie depuis ce temps, comme même pas une lettre d'adieux pour ma part, elle avait disparu, sans que je n'en comprenne le pourquoi. Sans que je ne sache rien, comme toujours. QU'est-ce que je savais d'elle si cela n'était que ma sœur ? Rien du tout... Elle avait semblé m'oublier dans sa propre fugue que je ne comprenais pas... Je dus serrer les dents pour ne pas crier ce que je souhaitais lui dire. J'étais là, merde ! Pourquoi... Pourquoi était-elle partie ainsi ? Pourquoi elle avait disparu du jour au lendemain sans rien me dire... Je levai les yeux vers le ciel, où était tu passer Kenzie ?... Pourquoi tu es partie sans rien me dire ? Un autre crie de Kayla me ramena dans le présent, poursuivit par Meiko, la blonde à grande gueule tentait d'échapper au coup de la rouquine, hurlant d'arrêter. Une profonde colère comme tristesse me pinçait le cœur si je pouvais bien en vouloir pour une chose à Kenzie... C'était elle. J'étais de loin idiot, j'avais vue son mal être le soir où Kayla est venue me questionné sur ma famille, elle savait. Si elle ne savait rien, elle ne m'aurait jamais adressé la parole surtout pour poser des questions sur ma famille... A la vue de notre relation, j'étais surement la dernière personne sur sa liste à qui elle avait envie de parler. Mais pourquoi lui dire à elle et rien à moi ?! N'étais-je pas son frère ?... Qu'est-ce qui l'empêchait de dire la vérité sur le démon qui la hantait ?...
Je sursautais soudainement, en entendant des bruits de pas derrière moi, s'approchés lentement avant de se stopper. Sans me retourner, j'avais très bien deviné de qui il s'agissait, cela ne pouvait être que lui. Je soupirai d'agacement tout en observant Meiko continuant à courir après Kayla avec un large sourire, ne l'ayant pas remarqué... Il aurait pût attendre avant de se pointer... Je ne pris même pas la peine de tourné le regard dans sa direction, de mon point de vue il n'en valait même pas la peine !... Pourquoi je m'occuperais d'une telle personne ? Mais sa présence ne valait rien de bon et prouvait que Meiko n'avait pas été discrète avant de partir me rejoindre.
« Toujours avec ma sœur, toi ... Ta pas retenue la leçon ? »
L'air mauvais, je sautai de là où j'étais assis, faisant mine au début de l'ignorer et de ne pas l'avoir entendue. J'observais encore un bref instant Kayla hurlé sur Meiko qui lui balançait son bâton dans la face, avant de me tourner dans la direction d'un jeune homme assez grands malgré Jovénia, dont les cheveux roux fauve était ébouriffé et mal peigné, ses yeux orangées me regardait d'un air mauvais, la haine que j'avais l'habitude de voir quand une personne savait pour ma lignée maudite à laquelle j'appartenais. Il en faisait partie. Mais au moins cette haine était... Réciproque. Je savais si je continuais à l'ignorer ou ne pas répondre, cela allait encore aggraver la situation dans laquelle déjà Meiko et Moi ont étaient. Sans sourire, lui lançant à mon tour un regard noir, je lançai d'une voix sombre.
« Salut Chekov. »
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MWAHAHAHA ! /PAN/ Désoler pour le léger retard x) J'ai eu la flemme on va dire de l'écrire et un léger coup de stress sur un sujet x) ! En tout cas voila tout beau, tout frais, avec un nouveau personnage qui je pense vous allez avoir une bonne raison de détester :P ! En tout cas, j'epsère que vous avez passé une très bonne lecture et à bientôt :3 !
Fiction © Précy
Les Légendaires © Patrick Sobral
Gif © Précy