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Rodolph du sortir de la salle de conférence nerveusement, lorsque son affidé s'était rapproché de lui et lui avait murmuré aussitôt les dernières nouvelles de sa jeune prisonnière. Annlyz était tombée enceinte pour la deuxième fois, et face à cette situation délicate, il n'avait pas eu d'autres choix de procéder à un avortement ; et se décida à prendre les mesures nécessaires pour que ce genre d'inconvénient n'arrive ! Ce soir, elle revenait de sa convalescence. Les infirmières qu'il avait fait venir de France depuis ses avions privés, avaient procuré à la jeune fille les soins nécessaires et en cette nuit de ving-neuf décembre, il allait finalement la rendre visite. Il se permit toute sortes d'extravagances dans son acceuil. Trente jolies robes, accompagnées de lingerie fines et de paires de sandales à talons parsemés. Oh oui, Rodolph aimait voir de jolies petits pieds historiés dans de magnifiques paires de sandales parsemées. Il arriva dans sa villa surnommée Le Manoir Rose où il l'a retenait en captivité, et trouva la jeune fille endormie tel un ange. À la voir si labile et innocente, sa respiration saccagée dû à son sommeil agité, il eut aussitôt le flageolet à la portière ! Il expira bruyamment et fit l'effort de se contrôler et ne pas se jeter sur le corps endormie de sa prisonnière ! Sous ses semelles usées de gosses de riches, le parquet craquait, mais silencieusement. Doucement, il s'accommoda sur le lit, et se mit à observer centimètres par centimètres, chaque courbes de son corps inactif. Il posa sa grosse main sur la poitrine de l'adolescente et remonta lestement jusqu'à son cou . Elle avait bien grandi depuis ces derniers mois ! L'arc de ses courbes se définissaient un peu plus, et ses mignons tétons avaient pris un peu de volume. Elle était belle et n'avait jamais été aussi submergé par aucune autre gamine qu'il avait chevauché auparavant, il aimait son corps, ses lèvres, ses yeux, son cou, ses mains, ses seins, ses cuisses, la rondeur de ses petites fesses mais aussi les tréfonds de son joyaux. Il adorait la voir pleurer, lorsqu'il rattachait ses mains à la tête du lit et qu'il contemplait avec concupiscence son corps orné d'une lingerie et s'offrant à lui en triangle isocèle. Il l'exigeait de rester "rideaux " écartés sinon il otait son ceinturon menaçant pour lui rougir la peau ! Il adorait l'entendre gémir dans ses sanglots lorsqu'elle le suppliait d'arrêter avec pitié et dégoût. Il aimait goûté à ses larmes, ensuite goûté à tout les recoins de sa langue perverse en y jouant toutes les notes de sa luxure, lui beliner le joyaux en des va-et-vient dont lui seul dirigeait, pour finalement s'écrouler au près d'elle en l'écoutant renifler les pleurs de sa pudeur perdue. Il adorait lui-même l'essuyer les cuisses à l'aide de kleenex afin de lui laver des dégâts de sa jouissance sur sa jolie peau aux allures satinées . Lorsqu'il le faisait, c'était comme s'il peignait un tableau. Il débutait depuis ses jolies orteils qu'il adorait voir luir de vernis à ongles rouge sang , remontait vers ses jambes lentement, ses cuisses , ses entre-cuisses, oh et son lieu favoris, il en devenait fou...Totalement possédé, obsédé; et souvent le désir reprenait, remontait et Annlyz pouvait lire dans son regard bestial ce qu'il avait l'intention de refaire et lui soufflait des non de supplication qu'il mettait en sourdine ; car sous son phallus aussi chaud qu'au Népal, il avait le flageolet à la portière !! Alors qu'il s'apprêtait à se pencher vers elle, elle ouvrit soudainement les yeux et il recula quelque peu...

- Bonsoir. Comment vas tu ?

Sa poitrine se révulsa à le revoir après ces brèves semaines. Quelle torture de recroiser les iris méphistophéliques de ce monstre encore une fois ! Combien de fois avait-elle essayé de s'ôter la vie, jusqu'à se priver volontairement de nourriture, d'eau, de ses besoins physiologiques mais toujours en ratant constamment son coup ? Combien de fois les draps avaient recueillis ses larmes ? Elle ne pouvait plus supporter ; elle ne se reconnaissait plus, elle en oubliait même de se peigner quand son boureau ne venait pas. Elle s'endort un cauchemar, elle les ouvre un autre. Si seulement existait un remède impedimenta...

- C'est presque le nouvel an . Lui dit Rodolph.

Elle le fixa intensément comme si elle apprenait à le détester un peu plus chaque jour, à envenimer ses pores, sa chaire, son être tout entier de toutes la haine qu'elle ressentait envers cette chose qui se croyait être un homme .

.𝐎𝐮𝐭𝐬𝐢𝐝𝐞𝐫.Where stories live. Discover now