— Bienvenu sur... Roulement de tambour, the tonight show ! De nombreux applaudissements et cris se font entendre, avant cette petite page de pub, monsieur Harry Styles ici présent nous racontait...
— Louis coupe ça, t'as pas besoin de voir cette merde ! S'écrie Swann en gardant le contrôle de la voiture.
Le regard vide et triste, le mécheux garde son téléphone dans le creux de sa main alors que ses amis le fixent, pensant que Swann a totalement raison.
— ... Revenez ici et prenez le papier, le présentateur ne peut s'empêcher de rire entraînant le public avec lui.
— Mais je... Harry également, faisant tomber l'homme face à lui, riant aux éclats.
Sans une seconde de plus, Louis voit son cellulaire être tiré de ses mains alors que Nahuel à côté de lui le verrouille avant de le mettre dans sa poche. Mais le comptable ne réagit même pas, gardant ces images de son petit-ami qui rit à n'en plus pouvoir parler alors qu'il a toujours détesté les interviews télévisé où il reflétait son image froide et distant qu'il porte depuis des lustres. Et puis, pourquoi a-t-il le droit d'être heureux, de s'amuser alors qu'ils ne se sont pas parlés depuis son départ pour New York ?
En effet, lorsqu'il a quitté l'appartement très tôt dans la mâtiné, Louis n'a pas réussi à se rendormir, lui qui n'a habituellement aucun problème pour ça. Harry a bel et bien pris son avion et est arrivé une heure et demi plus tard en se demandant s'il devait au moins prévenir son compagnon ou si c'était mal placé. Pour autant, il l'a tout de même fait en laissant un post-scriptum pour lui dire qu'il l'aime et qu'il pense à lui. Louis n'y a pas répondu, c'est trop facile ainsi. Et puis la journée s'est passée, le mécheux a tout de même suivi les aventures de son homme via les réseaux sociaux, les sources fan de lui et des photos circulant, mais ils ne se sont pas parlés une seule fois et ce soir, les amis du comptable veulent lui remonter le moral : donc rien de mieux que leur fameux match de foot.
— Écoute moi, murmure Calvin à ses côtés dans la voiture, oublie ce qu'il s'est passé, montre lui que toi aussi tu peux t'amuser sans lui !
Louis fixe son ami droit dans les yeux, hochant la tête de bas en haut en lui promettant de faire son possible. Pour lui redonner le sourire, Swann qui conduit malgré le volant à gauche qui le perturbe, augmente au maximum le son de l'auto-radio et ils commencent tous à chanter tout et n'importe quoi.
Une heure plus tard, après avoir difficilement trouvé une place près du stade de Boston et d'avoir fait la queue pour arriver à leurs sièges, les sept amis crient avec toute la foule afin de supporter l'équipe du Massachusetts. Et Calvin avait raison, cet endroit, ce stade et cette passion qu'il retrouve encore ce soir, ça l'aide à oublier le temps d'une soirée que son petit-ami est à des kilomètres de lui et qu'ils sont actuellement en froid.
— Je vais me prendre une autre bière.
— Attends, je viens avec toi, reprend toujours Calvin.
Le match est terminé et pour célébrer la victoire, la bande d'amis a décidé de terminer la soirée dans un bar très populaire. Là où tous les autres supporters ont décidé d'aller également, ce qui rend l'endroit encore plus festif.
— Excusez-moi, une jeune fille les coupe dans leur élan, vous êtes bien Louis Tomlinson ?
Le concerné acquiesce. Ce n'est pas la première fois qu'une personne l'accoste depuis qu'Harry a avoué ouvertement leur relation et même si au début ça lui faisait bizarre, maintenant il s'en fiche un peu, tant que cela peut rendre les autres heureux. Alors en comprenant ce qu'elle veut, Calvin attrape l'appareil de la jeune fille et les prend tous les deux. Louis reste toujours un peu gêné, surtout que c'est son petit-ami la star, pas lui, mais il prend sur lui et accepte.
— Je n'ai pas envie de repartir dimanche, dit le jeune homme après qu'ils se soient retrouvés seuls.
— Et moi je n'ai pas envie que vous repartiez, il répond dans un murmure, deux bières s'il vous plaît, l'homme acquiesce et en attendant il revient à leur discussion, vous avoir pendant tout ce temps chez moi et me retrouver seul dans cet appartement vide sans vos conneries... Ça va être difficile.
Il hausse les épaules et avant que Calvin ne puisse rétorquer quoi que ce soit, le barman leur donne leurs boissons qu'ils se dépêchent de régler.
— Attends, intervient-il, avant de retourner avec les autres, j'aimerais te parler un peu.
— Je t'écoute.
Ils s'assoient sur les marches à l'extérieur du bâtiment.
— En fait... Il souffle, c'est juste que je voulais te dire à quel point ça me fait plaisir de te voir heureux, et surtout... Surtout d'avoir retrouvé mon meilleur pote d'enfance.
Louis lui sourit très sincèrement, plutôt étonné d'entendre cela puisqu'ils ne sont pas du genre à parler ainsi entre eux, à part lorsque l'un à besoin des autres. Calvin et le comptable se connaissent depuis le berceau, c'est le cas de le dire. Ils sont les deux premiers à avoir formé ce petit groupe de sept mecs, et ce, grâce à leurs mamans respectives qui étaient elles aussi meilleures amies depuis leurs années du lycée.
— Quand tu as perdu ton père, j'ai tout essayé pour être là pour toi, et j'ai échoué, puis tu es parti, Louis allait le couper, mais il lui fait signe de se taire, j'ai longtemps pleuré quand j'étais gamin et que tu as déménagé à l'autre bout de la terre, j'ai eu l'impression de perdre mon meilleur ami pour toujours, il regarde devant lui, par le fait que tu n'étais plus là physiquement, mais surtout parce que, mentalement non plus, tu n'étais plus présent, et ça, malgré tout ce qu'on a pu te montrer ou te dire, ça nous a fait du mal.
— Je sais... Murmure doucement le comptable.
— Alors, quand je te vois aujourd'hui et que j'ai cette putain d'impression de retrouver mon meilleur pote, celui qui avait une mauvaise influence sur moi, ils rient alors que les sentiments les submergent, j'ai tout simplement envie de remercier Harry tu sais.
Calvin essuie rapidement l'une de ses larmes en souriant avant de passer son bras sur l'épaule de son ami.
— C'est là où je veux en venir Louis, il prend une pause, même s'il n'a pas fait les choses bien, même s'il n'a pas eu le bon comportement ces derniers temps, sache qu'il t'aime bien plus que tu ne l'imagines mon pote et ne restez pas fâchés, ce serait vraiment trop con.
Le comptable acquiesce. Il sait qu'il a raison, il sait parfaitement qu'Harry l'aime, qu'il a amélioré sa vie depuis deux ans, et surtout qu'il l'a sorti de cette tristesse qui lui pesait chaque jour depuis la mort de son père. Il lui doit tout, absolument tout.
— Harry et moi.. Il prend une grande inspiration, on aura toujours des désaccords, on s'engueulera, on se criera dessus, et on se fâchera, mais je sais très bien que ça ne durera pas éternellement, parce qu'on finit toujours par se retrouver lui et moi, il sourit, je ne sais pas, c'est comme ça. Mais pour qu'il ne recommence pas et pour qu'il comprenne qu'il m'a blessé, je dois mettre une certaine distance entre nous.
— Je comprends.
Et il l'admet, ce qu'a fait le bouclé n'est vraiment pas sympas. Toutefois, il espère que son meilleur ami ne lui en voudra pas éternellement.
— C'est à moi de le gérer, finit ce dernier.
— Je voulais quand même que tu saches ce que j'en pense.
Louis le remercie de son honnêteté et après avoir continué de parler pendant plusieurs minutes notamment sur la vie personnelle de Calvin, les deux hommes repartent à l'intérieur. La petite bande d'amis s'amuse comme il faut sans trop abuser de l'alcool, car ils savent qu'ils ont encore la route à faire jusqu'à Rosewood et ce n'est pas le moment de vomir dans la voiture.
Justement, lorsqu'ils repartent, après s'être réparti dans les deux véhicules, Louis rit avec son ami Oli en voyant les deux autres derrière en train de dormir profondément l'un sur l'autre, la bouche complètement ouverte en plus de Marwin qui bave. Quelques minutes plus tard, le mécheux se rappelle d'une photo de groupe qu'ils ont pris et s'empresse de la partager sur son compte instagram.
louist91 what a massive night, been too long !!
Par le fait qu'il sorte avec le célèbre Harry Styles, de très nombreuses personnes le suivent également, et même si au début cela le gênait, il s'y est vite habitué. Mais alors qu'il allait lui aussi fermer les yeux, faisant totalement confiance au rouquin pour la route, son téléphone vibre de nouveau et son cœur s'emballe en voyant que son petit-ami a aimé sa photo. Alors il est capable de faire ça, mais pas de lui envoyer un message ?
Louis a définitivement hâte qu'il rentre.
Le lendemain matin, le mécheux est contraint de repartir travailler, laissant ses amis une journée sans lui. Eric a bien été gentil de lui laisser quelques jours pour profiter d'eux, mais il ne doit pas abuser de sa gentillesse, même si son beau-père a insisté pour qu'il prenne un maximum de congé. Rien n'à faire, Louis ne changera pas d'avis. C'est donc plutôt morose qu'il entre dans les bureaux de Stylinski en partant directement à la machine à café pour se réveiller suite à la soirée de la veille. Très vite, il est rejoint par Pablo.
— Alors ce match ? Liam m'a dit que notre équipe avait tout déchiré !
— Ouais, c'était génial ! s'enthousiasme le plus petit, l'ambiance était dingue, mais le retour à la réalité est dur, il souffle, je dois rendre un dossier à Eric dans... Il regarde sa montre, moins d'une heure.
— Mais, tu n'es pas au courant ? L'espagnol fronce des sourcils.
— Non, quoi donc ?
— Bah, il est parti à New York avec Harry, il hausse les épaules, il ne te l'a pas dit ?
Pourquoi le PDG de Stylinski est-il parti avec son fils là-bas en sachant parfaitement qu'entre son agence mondialement connue et les interviews qu'Harry fait pour sa photographie, ça n'a rien à voir. Alors pourquoi l'avoir accompagné ? Surtout que Stylinski est débordé en ce moment, donc l'absence de son chef n'est absolument pas logique.
— Non, on est en froid, rétorque-t-il.
— Encore ? S'exclame Pablo, ça va s'arranger sous la couette ça... Mais en voyant l'expression de Louis, il arrête, sérieux, qu'est-ce qu'il s'est passé cette fois ?
— Tu lui demanderas.
Il le contourne en poussant son épaule contre la sienne, ne voulant pas avoir cette conversation avec lui. Même s'il adore l'espagnol, ce dernier a tout de même tendance à vouloir défendre Harry ou à apaiser les tensions, mais là, c'est à eux de régler cette histoire.
Son café à la main, le jeune comptable part travailler alors que dans sa tête, tout se bouscule en même temps. Personne n'a l'air de comprendre ce qu'il ressent depuis des jours. Son homme est absent, il l'ignore, il ne le touche même plus et il lui annonce qu'il s'envole pour deux jours à New York la veille au soir. Non, ça ne peut pas se passer comme ça.
La journée se passe tranquillement, Louis est plutôt fier de son travail, car il a bien avancé et n'a aucunement été dérangé. Il a décidé de mettre ses petits soucis de côté et d'éteindre son téléphone pour ne pas être tenté de regarder ses messages ou encore de localiser Harry via les réseaux. Avant de rentrer chez lui, il décide de passer à l'appartement de sa mère. Ça lui fait encore bizarre lorsqu'il entre car il y voit tous ses souvenirs avec son petit-ami, toutes les petites disputes qu'ils ont eu, toutes les fois où ils ont fait l'amour, où ils ont rit et fumer à n'en plus pouvoir... Et savoir sa famille ici le rassure dans le fait que ces images qu'il a ne partiront pas aussi facilement. Comme quoi, tout le relie au bouclé.
Cependant, en arrivant à son appartement, il est assez étonné de ne pas entendre tous ses amis rire ou faire des conneries. Même lorsqu'ils sont sur le toit dans la piscine, il les entend d'en bas. En enlevant la veste de son costume, il fronce les sourcils, trouvant cela vraiment étrange puis il la pend sur le porte manteau avant d'avancer vers le salon. C'est en voyant une valise en bas des escaliers qu'il comprend enfin ce qu'il se passe.
— Je t'attendais, la voix d'Harry derrière lui ne le surprend pas, les gars sont sortis.
Louis se retourne. Son cœur s'emballe en le voyant face à lui, habituellement, il serait déjà dans ses bras, mais ce soir, ça ne se passera pas ainsi. Il le fixe trois secondes avant de le contourner sans un mot pour se servir un verre de jus de pomme.
— Arrête de m'ignorer, tu sais que ça me fait du mal.
Sa voix rend le mécheux encore plus faible. Il ne doit pas se laisser avoir face à l'homme qu'il aime, celui avec cette petite bouille triste, ses yeux fatigués de ces deux jours, et le fond de sa voix qui lui fait comprendre à quel point il est mal.
— Que veux-tu que je te dise Harry ? Il se retourne enfin vers lui après avoir posé le verre, c'était bien New York ? Tu t'es éclaté ? Son sourire hypocrite retourne le cœur du concerné.
— Je t'en prie, arrête.
Harry souffle. La journée a été éprouvante pour lui en plus de l'avion, et il n'a pas du tout envie de se disputer avec son petit-ami. Il veut simplement que ça s'arrange et le prendre dans ses bras.
— Je suis désolé, il s'excuse, j'aurais dû te dire que je partais...
— C'était le minimum, oui.
Louis quitte la pièce, mais le jeune photographe ne veut pas lâcher l'affaire et le suit. Ils montent les escaliers pour arriver à l'étage.
— Qu'est-ce que je peux faire pour que tu arrêtes de m'en vouloir pour New York ? Il demande, toujours dans le couloir.
— Si seulement il n'y avait que ça Harry, dit plus doucement le plus jeune.
Ce dernier entre d'ailleurs dans la chambre de Timéo, n'ayant pas oublié que le petit garçon dort chez eux ce soir et que Nahuel a utilisé sa chambre depuis son arrivée. Il commence alors à enlever les draps.
— Comment ça ? Le bouclé ne comprend pas.
Louis ignore sa question, voulant qu'il devine tout seul. Une fois le lit vide, il reprend les draps propre qu'il avait prévu et commence par les oreillers alors qu'Harry répète une seconde fois sa question, puis une troisième fois en haussant la voix, perdant patience. Le mécheux lâche tout pour retourner son regard vers lui et s'écrit enfin tout ce qu'il pense.
— J'ai toujours été là et je t'ai toujours soutenu pour tes projets, jusque-là je n'ai rien dis, mais tu n'as même pas remarqué qu'on ne se voyait plus, tu passes tes journées à tes interviews, ce que je peux comprendre, il souffle, mais tu ne prends même pas une seule seconde pour moi, pour répondre à mes messages, et quand tu rentres à la maison, tu m'ignores complètement, tu passes ta vie enfermé dans ta salle de photo ou alors tu dors...
Il dit ceci tellement vite qu'il doit se reprendre plusieurs fois tandis que le bouclé le regarde avec de grands yeux.
— ... Et tu rentres un soir comme ça en m'apprenant que tu pars à New York ? Si je ne t'avais pas proposé de sortir au match avec nous, qui c'est si tu m'aurais prévenu ? Ses joues deviennent rouges face à l'énervement, et puis... Deux semaines que tu ne m'as pas touché Harry, deux semaines, il murmure ces derniers mots.
Louis termine enfin son explication, laissant son petit-ami sans voix, lui qui n'avait pas vu tout ceci arriver. Son cœur rate un bond, il ne s'y attendait pas et le voir en face de lui à lui reprocher cela lui fait mal. Il prend soudainement conscience de tout. Il sait que ces dernières semaines ont été chargées, il a eu un emploie du temps très compliqué, c'est vrai.
— Je... Il ne sait par où commencer, je suis désolé Louis, vraiment désolé. Je pensais que tu pouvais comprendre mon absence. Tout s'enchaîne pour moi aussi, c'est nouveau et pour la première fois de ma vie, ce que je fais me plaît.
— Je le sais Harry, je le comprenais, c'est pour ça que je n'ai rien dit, Louis reprend son activité, mais tu as abusé de ma compréhension.
Le bouclé baisse la tête. Il a tord sur toute la ligne et il le sait. Il a l'impression de vivre dans un rêve depuis quelques jours et il revient à la réalité très vite maintenant.
— Pour New York, je n'ai pas d'excuse, ça c'est fait si rapidement que je n'ai pas pris le temps de t'en parler.
Louis aimerait lui dire tant de choses, mais en même temps c'est si disproportionné. Depuis qu'ils se connaissent, Harry le fait toujours passer avant tout, et pour une fois qu'il pense vraiment à lui, à sa passion, il le lui reproche. Il s'en veut vraiment, mais il ne peut s'empêcher d'être déçu de comment il a amené toutes ces choses.
— Je t'attire toujours autant ? Le mécheux se pose sur le lit, son homme le rejoint.
— Mais bien sûr ! Il s'offusque.
— Alors pourquoi est-ce que tu ne me touches plus ? Qu'est-ce que j'ai fait ? Il craque finalement.
— Tu n'as rien fait, c'est moi, je... Sa tête entre ses mains, il se tire les cheveux nerveusement, ces dernières semaines étaient tellement folles que je n'ai pas su voir autre chose que ma petite personne, il se redresse en prenant les joues de son compagnon.
Louis baisse les yeux à son tour. Face à Harry, il n'est plus rien, il ne peut pas lui en vouloir, c'est beaucoup trop dur pour lui.
— Ton corps est le seul que j'aime, tu es magnifique, ne doutes pas de ça, il embrasse son front, mon homme..
Il fond définitivement. Le jeune comptable est fini. Harry a joué sa dernière carte et il a gagné. Il gagne toujours, parce qu'il est impossible de ne pas craquer face à ce photographe irrésistible. Ce dernier profite alors de son silence pour approcher ses lèvres des siennes et l'embrasser délicatement. Un tourbillon joue dans le ventre de chacun tellement ça fait longtemps qu'ils ne se sont pas montré leur amour par un simple baiser.
— Et si on sortait ce soir, rien que nous deux ? Propose-t-il entre leurs lèvres.
— Mais, et ton frère ?
— Les gars le garderont, Harry l'achève avec son sourire, enfin sauf Nahuel, j'ai peur de ce qu'il pourrait lui faire....
Le comptable rit en pensant à son ami. C'est dans un long baiser qu'il accepte l'invitation de son petit-copain qui est ravit de l'avoir pour lui tout seul. Cette soirée en amoureux ne peut que les rapprocher.
Une heure après qu'ils aient tout mis à plat entre eux, le petit Timéo arrive avec sa maman qui ne tarde pas à le quitter pour rentrer chez elle passer un moment tranquille avec son mari elle aussi. Les amis de Louis, et maintenant, ceux d'Harry également, ne tarde pas à faire de même et sont plutôt ravis de voir que les deux tourtereaux se sont rabibochés. Le comptable est d'une meilleure humeur à ses côtés, quant au photographe, c'est pareil.
Après s'être correctement habillé sous le regard brûlant d'Harry, le mécheux ressort de la chambre en se faisant siffler par la petite bande tellement il est séduisant. C'était sans compter son compagnon qui attire encore plus les regards, notamment dans la rue lorsqu'il est arrêté par de charmantes personnes à qui il répond simplement mais poliment. Tout le contraire d'avant. Lorsqu'ils arrivent à la table réservée par le plus grand, Louis est émerveillé par l'endroit. Ils ont une vue splendide de la mer en étant placés sur la terrasse alors que des bougies sont positionnées tout autour d'eux. L'endroit parfait pour une réconciliation.
— Ça va bientôt faire deux ans que je t'ai embrassé après un énième rendez-vous, glisse le bouclé dans un murmure tout en tenant sa main sur la table.
— Tu en avais mis du temps, rit l'autre, le nombre de fois où tu m'as raccompagné sans jamais m'embrasser... Ça me frustrait énormément.
— J'aime faire les choses bien et être désiré, rétorque-t-il.
Même après autant de temps de relation, Louis est toujours aussi fasciné par les paroles de son amant. Il est comme envoûtant, non seulement par ce qu'il dit, mais aussi par sa présence, sa façon d'être, d'agir et son éloquence. Il est fantastique avec lui, il le traite comme un roi et veut tout simplement qu'il soit l'homme le plus heureux du monde. Même si parfois, certaines querelles apparaissent, ils ne doutent jamais de l'amour de l'un envers l'autre, ils savent qu'ils s'aiment, c'est une vérité impossible à remettre en cause.
— Je n'ai pas envie que les garçons repartent dimanche... Le mécheux est triste rien que d'y penser.
— On va faire une superbe soirée demain soir pour leur départ, il sourit, on ira les voir très vite mon ange.
— Mais, ce sont mes meilleurs amis, je voudrais tellement les avoir près de moi plus facilement.
— Comme tu l'as dit, ce sont tes amis les plus proches, que tu sois à deux ou cinq mille kilomètres d'eux, ils seront là pour toi, Harry tente de le rassurer, et puis, pense au bon côté des choses, on pourra enfin dormir tranquillement sans être réveillé par leurs cris et leurs conneries.
Louis pouffe. Il n'a pas tord. Même s'il est attristé de les voir partir, il faut avouer que son intimité avec son compagnon lui manque beaucoup.
En sortant du restaurant, deux heures plus tard, les deux hommes sont conquis. C'était merveilleux. Ils se sont retrouvés, ont parlé de tout et de rien et ça leur a fait un véritable bien. Lorsqu'ils arrivent sur le parking au niveau de la voiture, Harry plaque son petit-ami contre cette dernière alors qu'il allait entrer à l'intérieur. Il l'embrasse sous la lumière du restaurant et pousse son bassin contre le sien, aimant par-dessus toute la sensation que lui offre son corps.
— Je n'ai pas envie de rentrer, glisse le photographe, et si... Il descend sa main sous sa chemise, touchant sa peau, on se prenait une chambre, à l'hôtel.
Louis n'est absolument pas en position de refuser, bien au contraire, alors pour toute réponse, il l'embrasse et se cambre en le sentant toucher l'un de ses tétons. Harry le tuera un jour, c'est évident. Alors ils partent au Green Palace, un hôtel absolument magnifique avec des chambres hors de prix. Mais le comptable ne riposte pas, pour lui, le plus important, c'est de redécouvrir le corps de son homme et rien d'autre. Le bouclé s'empresse de demander l'une des plus belle suite qu'ils ont à proposer et les deux amants entrent à l'intérieur. A peine la porte refermée derrière eux, ils se fichent et ne font pas attention une seule seconde au décor autour d'eux et s'embrassent avec fougue. Louis saute pour entourer ses jambes autour des hanches du bouclé qui continue de donner de léger coup de bassin pour augmenter leur plaisir.
— Je veux te faire l'amour, là, tout de suite, il embrasse son cou, je ne peux plus attendre.
— Alors dépêche toi, rit son compagnon.
Deux semaines qu'ils ne se sont pas touchés. Eux qui, en général, ne pouvaient s'empêcher de coucher ensemble au moins une fois par jour, c'est phénoménal. L'une des rares fois où c'est arrivé, c'était lors de leur rupture, mais dans cette situation, ils sont bel et bien ensembles.
Harry reporte son attention vers lui sans jamais oublier son premier objectif : le faire sentir bien. Il l'amène jusqu'à la chambre qu'il devine rapidement et le pousse dans le lit, les faisant rire tous les deux avant qu'il ne lui monte dessus tout en le dominant. La chemise du comptable finit par être totalement ouverte, la bouche du mécheux traînant sur son torse alors qu'il lui caresse les cheveux sous le plaisir. Rapidement, le plus âgé se relève en se mettant à genoux et enlève son haut, faisant beuguer son homme qui le fixe amoureusement, le trouvant encore plus beau qu'il ne l'est déjà. Sa façon de le regarder excite encore plus le concerné qui déboutonne le slim de son petit-ami tant bien que mal. Ils rient en voyant la matière lui coller aux jambes, car même s'il faut l'avouer, ce n'est pas pratique s'il veut faire l'amour, mais c'est affreusement sexy et Harry adore lorsqu'il porte cela. C'est bien pour ça qu'il l'a enfilé ce soir.
C'est le jeune comptable qui change la donne en le repoussant pour que ce soit lui au-dessus et non l'inverse. Une chose qu'il aime également lorsqu'il le voit dominer ainsi. Tous deux en caleçon, Louis rend fou son amant en se frottant contre lui, sentant ensemble l'excitation de l'autre. Harry abaisse le tissu couvrant le corps de son homme et masse ses fesses, le faisant gémir discrètement alors qu'il ne tarde pas à le préparer, doublant le plaisir du plus petit qui, comme à chaque fois que le bouclé le fait, ne tarde pas à se laisser porter.
— Lâche toi mon amour, ne te retiens jamais, souffle-t-il à son oreille alors qu'il lui offre un second doigt.
Plus ses mouvements sont rapides, plus Louis oublie sa gêne et se laisse aller dans les bras de celui dont il est tombé éperdument amoureux 2 années plus tôt. Quelques minutes plus tard, c'est au tour du jeune mécheux de donner du plaisir à son partenaire en s'occupant de son entre-jambe alors que ce dernier perd la tête totalement face à son touché, mais également face à la vue qui s'offre à lui.
Louis revient sur son torse, l'embrasse, laisse de légers baisers chaleureux avant d'arriver à ses lèvres et d'y déposer les siennes délicatement. Totalement nus, les deux hommes se complètent, se regardent et se jalousent du corps de l'autre. Le comptable, toujours au-dessus de son petit-ami, décide d'y rester et délicatement, le sexe de ce dernier entre en lui dans un long souffle de soulagement. Ils s'étaient manqués, énormément. Harry se demande sérieusement comment il a pu passer à côté de cette merveilleuse créature, à côté du corps de son petit-ami qui lui procure autant de sentiments. Ils se laissent bercer par leurs gémissements, leurs mouvements s'intensifient, ralentissent puis recommencent sans jamais s'arrêter. Ils deviennent de plus en plus sauvages, le bouclé se laisse complètement à la merci de Louis qui fait ce qu'il veut de son homme, totalement perdu sous son emprise.
La nuit fût courte, mais elle rattrapa toutes les précédentes qui fût rapidement oubliés.
Le lendemain, lorsque le mécheux ouvre les yeux, il sourit en se trouvant dans les bras d'Harry, sa tête contre son torse. Ces deux dernières semaines, lorsqu'il se réveillait, le bouclé était déjà parti et la place froide depuis un moment.
— Pourquoi tu ris ? S'exclame le bouclé.
— C'est Pablo, il sourit, quand il a su qu'on était en froid, il m'a assuré que ça se terminerait au lit...
Les deux hommes pouffent. Ce n'est même pas la peine d'être devin, mais juste de les connaître un minimum.
— Bien dormi sinon ? Harry lui caresse la joue de son index.
Louis ferme les yeux à ce geste.
— Merveilleusement bien, il repense à leur nuit magique, et toi ?
Comme réponse, le photographe l'embrasse et il sourit entre leurs deux baisers. Bien sûr qu'il a bien dormi. Il n'y a rien de mieux que d'être avec celui qu'il aime. Ils reviennent cependant vite à la réalité et repartent à l'appartement sans réellement avoir pu profité de la sublime suite qu'Harry avait prise, du moins à part avoir essayé toutes les pièces pendant leurs ébats, ils n'ont pas pris le temps de vraiment la regarder.
Deux jours plus tard, c'est avec beaucoup de tristesse que Louis doit dire au revoir à ses amis. Il sent déjà un gros vide en lui. Toute son enfance, il l'a passé avec ces 6 garçons aussi idiots les uns que les autres, et pendant leur voyage à Rosewood, il a tellement eu l'impression de revivre certains moments comme avant. Ne plus les avoir va lui faire bizarre. De plus, la fatigue est présente en sachant qu'ils se sont couchés vers 5 heures du matin suite à leur folle nuit en compagnie des amis d'Harry également qui étaient là, et leur avion décolle à 9 heures 15. Sachant qu'ils doivent se présenter à l'aéroport avant, c'est donc vers 6 heures 30 que tout le monde se réveillent pour partir. Le temps des au revoir est certainement le pire de tous. Même Harry est attristé de voir partir Nahuel alors que ce dernier s'est fortement amusé avec son petit-frère pendant qu'il faisait tendrement l'amour à Louis dans cet hôtel.
— Bon, c'est le moment, souffle Bilal en voyant le panneau affiche leur entrée.
Les 7 garçons se regardent tour à tour. Louis, qui a toujours été sensible, se retient énormément, car il ne sait absolument pas quand est-ce qu'il les reverra. L'Angleterre et les États-Unis, c'est loin d'être à côté. Avant ces derniers jours, il ne les avait pas vus depuis 4 mois. C'est difficile pour lui de les savoir si loin. Et pourtant il y a eu un grand changement par rapport à avant. Mais avant quoi ? Tout simplement avant qu'il ne rencontre Harry. En 9 ans, il n'était retourné au Yorkshire que 4 fois, aujourd'hui, ils essaient de se voir plusieurs fois par an. C'est énorme, et il en est conscient.
Mais ce n'est malheureusement toujours pas assez.
— Ne pleure pas Loulou, sourit Marwin en l'embêtant avec le surnom de sa mère.
— Je ne pleure pas, sa voix le trahit, ce n'est pas juste, vous pouvez tous vous voir quand vous voulez, et moi...
Ils compatissent. C'est vrai. Ils habitent tous prêt des uns des autres depuis qu'ils sont gamins. Louis est le seul à des milliers de kilomètres. Toutefois, Calvin s'approche de son meilleur ami et pose sa main derrière sa tête pour l'approcher à lui.
— On prend tous des chemins différents Louis, ta vie est ici, avec Harry, il donne un coup de tête dans le vide vers ce dernier, regarde, dans deux mois Nahuel part à Birmingham, Oli à York l'année prochaine, moi à Londres, et qui c'est où seront les autres abrutis sans avenir.
— Ta gueule connard, rétorque Swann qui continuera de travailler dans la petite boulangerie de Doncaster.
Il rit. Et rien que pour cela, ses amis sourient. Ils ne veulent pas partir en le sentant si mal. Pour eux aussi c'est difficile, notamment pour Calvin, mais c'est une autre histoire.
— On doit vraiment y aller maintenant, reprend Nahuel.
Le comptable prend ce dernier dans ses bras avant d'enlacer chacun pendant de longues secondes. Ils saluent également Harry en le remerciant pour tout ce qu'il a fait (sans mentionner ce qu'il n'a pas fait justement ces derniers jours), puis tout doucement, les deux amants les voient disparaître de leur champ de vision. Le cœur du bouclé se sert en voyant Louis verser une petite larme qu'il s'empresse de retirer. C'est normal, tout à fait normal même. Alors il le prend dans ses bras et le sert fort dans ses bras.
— Mon amour, écoute moi, le concerné relève les yeux vers lui, si tu me dis à n'importe quel moment que tu veux les revoir, peut importe quand, je nous prends des billets et on y va, compris ? Le mécheux sourit faiblement en hochant la tête.
Harry est incroyable, et il ne cessera de le dire.
Et puis, le fameux jour arrive. Le 2 août. Jusqu'ici, le photographe a réussi à cacher à tout le monde le projet sur lequel il travaille depuis des mois en plus de son exposition. Seul son père est en courant, et heureusement, parce qu'il lui a été d'une grande aide. Pas seulement au niveau matériel et contenu, mais surtout moralement. C'était assez dur pour Harry, surtout certains points.
Ce matin-là, lorsque Louis se réveille, c'est d'une incroyable humeur. Aujourd'hui, cela fait deux ans qu'il se coltine cet idiot de bouclé qui n'est d'ailleurs plus très bouclé maintenant. Mais son sourire s'efface en ne le sentant pas à ses côtés près de lui. Il enfile un bas de jogging, prend son cellulaire dans sa main puis descend doucement les escaliers. Au milieu de ces derniers, son cœur s'affole.
Harry est bien là, mais pas seul. Un tas de nourriture l'entoure, et que des choses que le mécheux aime, même s'il ne mange pas beaucoup. Le jeune photographe le regarde avec un grand sourire, attablé contre le bar alors qu'il voit ses yeux s'émerveiller face à la table du petit-déjeuner dressé et rempli face à lui. Il y a même deux petites bougies allumés sur l'un des pancakes.
— T'es un grand malade ! Louis lui saute dans les bras avant de reposer à nouveau son regard sur le côté, je n'arriverais jamais à manger tout ça en plus !
— Ce n'est pas un souci, je t'aiderais facilement, ricane-t-il.
Le mécheux le reprend de nouveau dans ses bras en l'embrassant tout en lui murmurant des dizaines de merci. Le bouclé, voulant faire les choses bien tout en gardant une petite touche d'humour, entraîne son petit-ami vers la chaise et la pousse vers son corps comme dans les grands restaurants, faisant pouffer le jeune homme. Il ne tarde pas à le rejoindre en face de lui.
— Joyeux anniversaire mon cœur, il lui tend un petit paquet qu'il avait caché sur le siège à côté.
— Oh mon dieu, Paris ! J'ai toujours rêvé d'y aller, ses yeux brillent en l'embrassant.
C'était un rêve de gosse. Lorsqu'il était jeune, à l'école, il étudiait les capitales européennes sans jamais être sorti de son pays, et sans savoir pourquoi, la France l'a toujours attiré. Peut-être aussi parce que c'est son père qui a choisis son prénom, typique français.
Se souvenant que son cadeau est resté dans sa veste, il repart à l'entrée, toujours torse nu et pieds nus puis revient en se posant sur ses genoux. Ça ne sera jamais aussi gros que ceux qu'Harry lui offre, mais ce dernier a toujours des idées incroyables aussi.
— Elle est.. Elle est super belle Louis, genre.. Vraiment.
Le concerné sourit de toutes ses dents. Il était certain que ça lui plairait.
— Laisse-moi te la mettre.
Il se relève, se met derrière lui et prend la magnifique chaîne en argent pour l'accrocher autour de son cou. Elle est splendide, et sur Harry, elle l'est encore plus.
— Regardes ce que j'ai mis il y a une heure, murmure ce dernier en lui montrant son cédulaire.
Le sourire jusqu'aux oreilles, Louis se dépêche de déverrouiller le sien où il voit en effet de nombreuses notifications et il fond totalement en comprenant pourquoi.
harrystyles 2 years of love. You're the best thing that ever happened to me. Love you my love @louist91 xx
Sans s'y attendre, le bouclé reçoit pleins de baisers sur son visage avant qu'il ne touche enfin ses lèvres. Il doit le remercier à sa manière, celle qu'il sait le mieux faire. C'est pourquoi, très rapidement, les deux hommes finissent nus comme des vers sur leur canapé. Au moins, après, ils ont tout dégusté pour le petit-déjeuner parce qu'ils étaient vidés d'énergies.
Vers midi, les deux amants encore plus amoureux que jamais, se rejoignent chez les parents du plus âgé où la famille de Louis les rejoint également. Amélia et Katie sont devenus presque inséparables ce qui effraie dangereusement le couple. En arrivant, Louis voit son copain échanger un regard complice avec son père et il ne comprend absolument pas pourquoi. C'est vrai que depuis quelques jours, Harry cache quelque chose malgré ses efforts pour être discret. Et à table, sous les encouragements d'Eric, le bouclé décide de prendre la parole.
— J'ai quelque chose à vous annoncer, il commence, faisant tourner tous les regards vers lui. Je travaille sur quelques choses depuis des mois, et, Louis, il se retourne vers ce dernier, si je suis parti à New York au dernier moment avec mon père, c'était pour ça, je ne pouvais pas te le dire plus tôt.
— Je n'aime pas ça.. Le mécheux, peureux, fait rire les autres.
— Ok, je reviens.
Il s'échappe, mais revient dans la seconde avant un petit sac beige en carton. Après avoir regardé tout le monde une dernière fois et surtout après avoir fait face aux yeux de Louis qui semble dans l'incompréhension total, il sort la finalité de son projet, celui dont il est particulièrement fier, celui qui a donné un sens à sa vie depuis son commencement, celui qui l'a fait sentir beaucoup plus léger. C'est un travail qui lui est propre, dont il a mis des heures et des heures pour arriver à la perfection. Il en est terriblement fier.
Rapidement, et sans plus attendre, il le tend à son petit-ami. Son cœur bat à 100 à l'heure. Ça passe, ou ça casse. Définitivement.
— Oh mon dieu, Harry.
🌙🌙
Nda : bien le bonjour à toutes et à tous ! Toujours autant de sadisme en moi, vraiment désolée.. En fait non, je ne le suis pas, j'adore !
La fin approche les amis, la fin approche.
— Quel est votre personnage préféré dans le début du chapitre : Harry ou Louis ?🌙
— Louis a-t-il eu raison dans la dispute ? 🌙
— Comment expliquez-vous ce projet en question ? De quoi s'agit-il ?
Je vous souhaite à tous de merveilleuses fêtes, et un super noël avec vos proches. Je ne pense pas poster avant le nouvel an, ni même pendant les vacances pour une raison simple : révision pour le bac blanc à la rentrée. La joie !
Sur ceux, n'oubliez pas que vous êtes super(bes), et que j'apprécie chacun de vos commentaires. Ca me redonne un énorme sourire, sachez-le.
Encore Joyeux Noël !
Larryzo qui veut des vacances (des vrai, sans révisions).