La Duchesse de Castel

•Backside•

Bonjour bonjour, bon j'avoue que ça fait un bout de temps que j'ai pas posté, presque 5 mois ! Vous pouvez m'en vouloir c'est inadmissible (҂◡_◡)
J'espère que vous avez passer un bon confinement et un bon deconfinement. Et que malgré mon retard vous allez aimer ce chapitre.
J'écris une nouvelle histoire à côté que je compte ne pas poster avant être sur de mon travail.
(bon j'arrête de parler )

BONNE LECTURE !

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upstream and downstream of the danger, remain cautious

-Mais qu'elle est jolie ! Tu as bon goût dit donc !

-Sors de la ! Ange de pacotille. Siffla le duc. Le dit ange était posté devant la porte, ses longues ailes déployés couvertes de sang.

-Bon dieu qu'a tu encore fais ! Il l'avait vue plus tôt, comment a t'il pu se blesser les ailes en si peu de temps.

-Je n'ai rien fais ! Mon petit corbeau, c'est la propriétaire du cheval infâme. Et ça fait un mal de chien si tu savais. Il grogna dans sa barbe, avant de s'approcher. Elle est toutes mignonne. Et minuscule.

-Enlève t'as sale tête d'au dessus de ma femme. Grogna t'il.

-J'étais venue te faire un rapport. Nous avons découvert un corps près des sentiers, un homme qui approchait de l'âge. Il portait des cicatrices sur 20% de son corps. Tes hommes pensent que c'était un vagabond ou un esclave perdu.

-Des vagabond ? Il y'en a peu dans cette région.

-C'est ce qui m'a inquiété. Mais le village le plus près n'a déclarer aucun homme de son âge mort ou disparu.

Raven hocha la tête, il devrait identifier le corps de l'homme, ou au moins identifier la cause de ses blessures. Ses capacités à lui seul le lui permettait.
Mais il avait mieux à faire, comme s'occuper de son épouse transpirante sur son lit. Elle poussa un gémissement étouffer. Le duc souffla.

-Je m'occuperai de lui après, je te rejoins dans la soirée. Oui, car l'aube avait montré le bout de son nez depuis quelques minutes déjà. La nuit passer avait été longue.

-Tres bien. Préviens moi en cas de besoin. Il inclina la tête. Puis referma la porte.
Le bois claqua contre le mur, créant un courant d'air qui éteignait la bougie près du lit. Désormais, seule les premières lueurs de l'aube éclairait la chambre.

-Tu es une idiote.. Chuchota t'il. Il se pencha au dessus de son visage, écartant une mèche de ses cheveux. Une idiote de ne pas me parler de tes souhait lorsque tu en as, de tes désirs lorsque tu en récent et de cette soif de liberté qui te caractérise tant.
Un souffle s'échappa de ses lèvres charnues, elle crispa les yeux.

-Tu es sublime. Murmura t'il. A peine eu t'elle le temps d'inspirer par le nez qu'il disparue. Bon Dieu !

Elle fit un tour sur elle même. La chambre n'avait pas changer, outres les draps  et les bougies éteinte, il n'y avait aucune différence. Résignée elle s'écroula sur le lit. Ses yeux dévisageaient le mur, le lorgnant d'un œil mauvais. Il aurai pu l'empêcher de s'adonner si facilement ! Elle paraissait aussi naïve qu'indécise maintenant.

Elle clamait haut et fort qu'elle le détestait, ses regard remplie de rage et de retenue mêlé ne laissait pas place à l'imagination. Elle ne l'aimait pas.
Mais la veille... À peine le soleil couchée qu'il prenait soin d'elle. Qu'elle rougissait comme une enfant prise en faute.

-Aargh ! Les mains sur des yeux, elle secoua la tête. Il ne fallait pas pensées à tout ça.... Sinon les souvenirs de leur corps chaud se mouvant avec harmonie, ainsi que ses lèvres qui parsemait la moindre parcelle de peau lui reviendrait en tête. Ces yeux violets lui revenait sans cesse en tête, il avait été doux, il avait prix soin d'elle et n'avait cesser de la regarder. Comment pouvait elle le détester ce rustre ! D'ailleurs elle manquait de sommeil... Il faut dire que la nuit a été très courte pour eux. Face à cette pensée, Houston devint rouge comme une pivoine. Argh !
Malgré tout elle lui était reconnaissante. Très reconnaissante..

Elle demeura immobile quelques secondes, l'esprit à demi endormi, la bouche souriante, l'œil fixé sur cette douce réverbération dorée qui diaprait le plafond.
Tien ? Les quelques cristaux reflétait un objet brillant au sol.

Houston se releva, d'après ce qu'elle avait vue, l'objet devrait être.... Ah ! Il était là. C'était une boîte en marbre composé d'une pierre blanche au centre.
Son père ! Pensa t'elle. Il lui avait donné une boîte avant qu'elle ne fasse ses adieux à sa famille.
Qu'y avait t'il dedans ?

Elle tourna la poignée miniature...
- Duchesse ? Je suis le majordome.
Elle reposa la boîte et la couvrir d'un tissus qui passait.
- Ou..oui, entrée. Elle essuya ses mains moites sur sa robe, le duc lui avait parler dans le passé d'une rencontre avec le personnel.

La porte s'ouvrît sur un homme plus vieux que le duc, il avait les joues roses et joufflues ainsi que de minces lèvres que sa moustaches grisâtre prenait plaisir à caché.
Il s'inclina, le buste parallèle au sol. Une main sur le dos, il déclara :
- Le duc m'a chargé de vous guidez jusqu'à la salle des bains.

Elle balbutia un instant avant de se reprendre. Son regard parcourait la pile de livre que son amant avait sûrement lu un jour.

- Très bien, je vous suis