•Pegase ou Poney ?•

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Attrapant un homme qui lui fonçait dessus par la gorge, Napoléon l'envoya valser quelques mètres plus loin. Il chercha son frère du regard.
Celui ci était partit si vite que personne n'avait penser à regarder où.
Il serra les dents.

La guerre avait commencer.
Une guerre contre des hommes qui, depuis bien longtemps tapis dans l'ombre, attendaient pour passer à l'attaque, une guerre pourtant réglée depuis une vingtaine d'année.

Napoléon héla Porl. Celui ci volait majestueusement qu'on pouvait douter de ses origines démoniaque, il avait des aires d'angelots tien.
Le commandant piqua pour se retrouver à ses côtés. Ils continuèrent à se battre dos a dos.
Les humains avaient l'avantages des armes. Quoiqu'encore peu développé celle ci faisait de réel dégâts. La pluie avait cessée de tomber. Bien qu'aucun ne l'ai réellement sentit auparavant, la différence était évidente.
Ils voyaient mieux.

-Raven est partit dans une des maisons. Quelqu'un doit le suivre ! Cria il.
Un homme leva son épée épaisse, près à le découper. Ce fut Kenai qui para le coup avec une autre arme de la même sorte, volé à un mort. Ils se confrontèrent, la mine déterminée. Du sang serait versée. Partout.
Cetait une heure de chaos. Le soleil se levait seulement, chaque rayon s'abattait sur cette scène.

Tous était concentrée. Entendant les cris des hommes et ceux des vampires.
Quelqu'un cria, dans leur camps.

-Sorcier !
Le beuglement les prit au dépourvus, les dernières sorcières était sous la main du duc, il n'était pas sensé en rester.
Une bombe explosa au milieu du champs.
Alors la bataille se corsa.
S'il y avait bien un sorcier, ils pourraient être vaincu. Mais cela ne fit qu'accroître leur colère. Des potions furent jeter, plusieurs vampire tombèrent.
Le ciel était d'un rouge morne. Rempli d'une rancune fièrement exposée.
Alors le pégase rosé fendit la foule, écrasant un bon nombre d'homme. Il n'évita pas plus les vampires.
Il cracha des flammes tels que rien n'était épargnés. Le craquement du bois ne les étonna pas plus que l'hectare qui venait d'être carboniser.

-Bordel de-
Couper par d'autre homme, Kenai se battit.
Il avait pris plusieurs coup. Les hommes n'étaient pas très loyale pour l'avoir prit par derrière. Du fair-play cetait tout ce qu'on demandait...
Il toussa alors.
Mince ses plaies était peut être trop nombreuse. Il s'interrogea sur la créature venue de son pays. Dragon ? Cheval ? Mule ? Quiconque le savait. C'était Douceur.

Plusieurs heures passaient. Les hommes venaient comme des fourmis, faibles mais nombreuses. Il aura fallu attendre le coucher du soleil pour ne plus en voir revenir. De leur côtés, les vampires en voulait encore. Profitant de la faiblesse des hommes présent pour les achever d'un coup de dents.
Ils y étaient autorisée.
S'abreuvant tel une horde de drogués, les soldats vampiriques ravageaient les fourmis humaines.
Kenai dévisagea le spectacle, un peu heureux de ne pas attiser plus leur attentions à cause de son sang.

Il se jura de ne pas tomber amoureux, les ravages d'un amour devenue trop fort était effrayant. Il frissonna de dégoût.
L'amour semblait provoquer les mal... Ils y assistaient en direct.

Les flammes fendaient le ciel en deux. L'eau ne coulait plus que des yeux des pauvres hommes abandonnés à leur sort. Les larmes coulaient si fort et si vite qu'on aurait dit le sang de leur plaie.
Désormais la fumée entourait les fermes. Les teintes rougeâtre donnait a la scène une allure post apocalyptique.
Les maisons étaient écoulées sur elle même. Le bois arraché s'était écroulé sur lui même. Un brun cramé tombait toujours sur le sol. Certains arbres au alentours On pouvait apercevoir des corps tombée au début de l'affrontement. Des visages tuméfier et méconnaissable.

Et tout derrière, où un chemin de terre brûlée dirigeait chaque spectateur vers un combat qu'on estimait mortel.
Au dessus de la maisonnette, un homme ailé dévisageait le massacre, les sourcils froncés et un semblant d'agacement. Octavio Kenai volait désormais, il fixait une femme qui survolait l'étalon qui crachait des flammes de plusieurs mètres. Levant les yeux au ciel, il lui fit un signe de la main pour lui demander d'arrêter le massacre.

La Duchesse de CastelWhere stories live. Discover now