•Loup polaire•

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Qui eu décider que les invités étaient rois ?

Le cris qui sortis de sa gorge fut long et presque douloureux, un sanglot étouffée la stoppa. Une main couvrir sous son regard frigorifié une grande partie de sa mâchoire. Quelques larmes coulèrent. Elle sera violée puis brûler vive, on lui arracherai ses membre pour décorer un tombeau...
Ses larmes cessèrent de couler lorsque deux améthyste familières se posèrent sur elle.

Un grognement résonna d'entre les arbres. Les yeux crispés de son époux s'approchaient désormais d'une teinte charbonnée. Ses narines frémissaient. Il lui ordonnait silencieusement de se taire, avant de retirer sa main.

- Tu n'a pas intérêt à ouvrir la bouche. Ses doigts s'écartaient face à elle, libérant ses lèvres.

Elle ferma les yeux alors que de nouvelle larmes commenceraient à couler. Son cœur battait intensément dans des tempes, ses muscles tremblaient et ses dents grelottaient.
L'homme au regard de pierre la souleva de terre, maintenant son corps contre la seule source de chaleur disponible en ces lieux. Il grogna une seconde fois, serrant un peu plus fort ses cuisses.

- Tu es sotte, d'une sottise à faire pleurer un malin. Je t'avais interdit de quitter le manoir, comment as tu pu me désobéir ?!
Il cracha chaque paroles le regarde plonger devant lui, ses bottes s'écrasant dans la boue avec une force décuplée. Elle ne répondît pas, il monologuait. Elle ne devait pas intervenir.

-Sais tu seulement la peur qui m'a saisie lorsque ton odeur ne flottait plus a la maison ! Je devrais t'enfermer dans une tour, dans un cachots ou même mieux, t'enchaîner dans la chambre comme un vulgaire animal ! C'est ça que tu veux ? Que je te traite comme un animal ? Tu veux être une femme normal, tel une vipère remplie d'hypocrisie?!

La jeune femme ouvra la bouche, elle pleurai depuis une bonne dizaine de minutes, cachée dans l'épaule de son geôlier. Il ne remarqua aucunement à quel point son veston était trempée, ni comme la jeune femme tremblait de peur.

Oui. Elle tremblait d'une peur enfouie, d'un cauchemar qui la terrassait. Elle agrippa son veston, ce qui eu l'effet de stopper son mari, il leva un sourcil les mâchoires serrés au possible.

-Veuillez m'excuser...
Le duc ouvrit la bouche, puis la referma pour révéler un visage impassible. Il l'endormi d'un claquement de doigt puis respira bruyamment. Il devait rentrer. Tout de suite. Il commença a marcher, sans utiliser l'un de ses pouvoirs qui risquerai de réveiller sa promise.

Autour de lui les arbres se balançait, faisant virevolté un torrent de feuilles en direction du sud. Il crispa les yeux. Quelques bruits dans la forêt le dérangeait. Une dizaine de minutes passèrent, ils étaient une cible facile mais dangereuse. Son front était couvert de terre, ses vêtements - où le peu qu'il portait- s'assombrissaient à vue d'œil. Il fixa le pantalon en toile de sa femme, le coton avait commencer à vieillir près de ses chevilles. S'usant un millier de fois plus vite.

Il enjamba un tronc d'arbre tomber, et fit craquer une branche..
Il stops tout mouvement, l'oretille dresser. Les yeux virant à un violet surnaturel. Il siffla bruyamment avant de se jeter en arrière.

- Vampire.. Grogna la touffe de poil.
Il effectua un geste brusque dans sa direction. Un filet de sang coulait déjà de sa gueule entrouverte. Ses dents pointues déformaient les derniers traits humain de la bête. Un second filet de bave coula le long de son menton barbu.

Le duc sortie ses canines, elles luisaient dans le noir. Il siffla. Dépose son épouse près de lui sans quitter la bête des yeux.

-Lycanthrope. Cracha Raven.

-Mon territoire ! Grogna t'il en frappant son point à son torse.

-Je ne suis pas venu pour me battre, je m'en vais lycanthrope. Singla ce dernier en appuyant sur les derniers mots.

-Non ! Guerre. Il se releva, son torse poilu luisait désormais sous la lune. Il marchait les pâtes plier comme un chien que l'on met sur deux jambes. Il lécha ses babines, en montrant toujours les dents.

-Guerre vampire, Guerre contre ennemis grand ! Il fixait son épouse, avec un lueur d'appétit dans le regard.

-Ma femme. Claqua le duc, en proie à une rage profonde. Il ignora sa première phrase, le regard gourmand lui faisait crispé les muscles.
La déception se lu sur le regard du mi homme. Ils avaient un penchant pour les femmes en floraisons. Les filles vierge ou en pleine puberté. Ils étaient donc rejetés des villages et dés royaume.

- Sensue. Guerre. Aboya t'il après s'être reprit. Il hurla, dévoilant une vague de corbeau sortis de profondeur des forêts, puis s'en alla. Faisant claque ses pâtes sur le sol boueux.

-Sale cabot. Marmonna t'il.

Il s'abaissait, et récupéra sa bien-aimée endormi sur le sol. Un grognement sourd dépassa la barrière de ses lèvres à la vue des dizaines de blessure qu'elle portait.
Il gronda, et utilisa ses pouvoirs pour la première fois depuis son mariage. Il se retrouvèrent dans leur chambre nuptial.

-Mais qu'elle est jolie ! Tu as bon goût dit donc !

La Duchesse de CastelМесто, где живут истории. Откройте их для себя