•ظل الليل•

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الليلة هي التي يجب أن تبقى مستيقظا للصلاة

La nuit reignait depuis trop longtemps. La lumière de la lune était parfaitement visible, malgré le fait que celle ci soit caché derrière une foule de nuages. Les étoiles étaient introuvable. Même Cassiopé s'était caché. Cela devait faire trois bonne grosse heures que la troupe de guerrier qui travaillait pour son époux l'avait raccompagnée, trois bonnes heures. Et aucune nouvelle.
Tout c'était passé trop vite. Sa fatigue qui l'avait prit par surprise, elle s'était endormi sans raison apparente. Depuis, elle ne l'avait plus revu. Il s 'était volatilisé comme un mirage. Une aile qui se détache trop vite ou simplement comme la mort. Elle avait simplement ouvert les yeux, déjà installé sur un siege confortable. Accompagné par deux hommes à la peau étonnamment diaphane.

Désormais, il faisait nuit. Les ombres se projetait inlassablement dans la piece, la même que celle que' elle avait partagés avec son mari. Mais les draps avaient été changés, ils étaient de couleur noir maintenant, comme les longues plumes des corbeaux. Les bruits de pas des gardes en tour de rondes étaient près a la rendre folle. Elle détestait ça.

La vitre qui la séparait de l'extérieur était épaisse, entouré par un carreau du mur, qui donnait un sentiment d'insécurité a la chambre, ou le contraire. Lorsqu'elle était avec le duc, elle ne risquai rien. Mais savoir qu'elle ne pourrai pas sortir si quelqu'un venait à l'attaquer lui donnait des fourmis au doigt. Elle sera sa robe en soie, cette couleur faisait ressortir ses yeux, et allégeait son corps. Elle haïssait ça encore plus !
Le contrôle que son mari exerçait sur elle l'épuisait. Elle voulait retrouvés sa libertés, pas servir de potiche de la même couleur qu'un vase.
Un étrange bruit d'animal attira de nouveau son regard à la vitre. La forêt était sombre devant le manoir, les arbres dominait la terre et les hommes. Une montagne à une distance réalisable en une nuit était visible, les arbres recouvraient une grande partie de celle ci, l'autre était invisible.

Elle se recula brusquement, retira sa robe insupportablement confortable, et ouvrit le coffre disposer devant leur couches. Elle trouverai bien l'un des vêtements de son mari ? Où un ancien pantalon à elle. Elle en était sur.
Après avoir renversé une grande partie des multiple robe, elle trouva un pantalon qui lui appartenait, il était usé, et un peu trop grand pour elle. Elle avait perdu du poids depuis sa venu. Mais il était amplement suffisant.

Elle chercha encore quelques minutes, jusqu'à dénicher l'un des ensemble de son mari. Elle déchira les morceaux qui la gênerait lors de sa course, et enfila l'un des vestons imprégner de son odeur. Elle avait envie de se plonger dans ses bras une nouvelle fois, nicher son visage contre son tor... Que lui arrivait t'il ! Elle était sensée s'enfuir, pas s'attarder.

Elle ouvrit la porte, doucement pour vérifier que personne ne se trouvait dans le couloir. Avant de s'engager. Les hauts murs en pierre et les lustres en cristal brillait grace au quelques bougies implanter dedans. Quelques tableaux de visage royaux ornaient les murs, un tapis rouge qui respirait le pouvoir et le sang verser des batailles recouvrait le sol entièrement. Quelques meubles étaient disposé à certains endroit. Il y avait des portes partout, tout les 10 pieds environ. Lorsqu'elle atteignit les escaliers, elle se précipita en bas. Minimisant les bruits à celle de sa respiration, elle écouta méticuleusement se qui l'entourait.

- Merde. Jura t'elle lorsqu'un garde se retourna vers elle. Elle arrêta de respirer.

Ne pouvant plus faire aucun pas en arrière. La porte derrière elle s'était refermé, elle était dehors et enfermé. Ce fut à cette instant qu'un chat miaula bruyamment. Faisant sursauté le garde.

- Arikos, ressaisit toi. Ria l'un des compagnons de celui ci.

Houston ne voyait que son ombre, qui lui rappelai très précisément l'image d'un diable. On pouvait voir ses dents pointues et aiguisées déformés les trait de son visage, il riait presque grassement. Il était un étranger à ses yeux, comme ses camarades qui le suivirent.
Elle profita de cette instant d'inattention pour se faufiler derrière les arbres. De grand et majestueux sapin couvrait son corps du regard des hommes de son geôlier. Elle marcha pendant de nombreuse minutes. Le temps paraissait long lorsqu'on ne savait pas où l'on mettait les pieds.

Au bout d'un certains temps, elle se cru perdu. Avant d'apercevoir un mur en pierre. Il était cacher, presque invisible. Pourtant il mesurait deux bon mètres de haut, et avait l'air plus large encore que l'écorce des sapins. Apercevant un début d'escalier, elle se dirigeait pressement vers lui.

Son souffle qu'elle retenait depuis longtemps sortit de sa poitrine. L'espoir de s'en sortir venait de réapparaître, elle allait s'enfuir. Rejoindre le Sud et retrouver une vie simple.
La nuit était noir, sombre et rempli d'animaux monstrueux.

Elle sursauta lorsqu'un craquement sinistre résonna derrière elle, et poussa un cri perçant lorsqu'une masse sauta sur elle.

Ombre de nuit : La nuit est tel que vous devriez rester éveiller pour prier.

La Duchesse de CastelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant