•Retour •

142 11 2
                                    

Je viens de me rendre compte que la rentrée était dans un peu plus de 15 jours...

Je suis abasourdie. Les mots me manquent...
Je comptais finir Raven avant la rentrée afin d'en être « débarrassé » mais ça va être plus compliqué que ça.
J'essayerai d'accélérer mon rythme d'écriture afin de publier jusqu'à 2 chapitre par semaine.

Je vous en reparlerai la semaine prochaine.
Bonne vacances à vous !

Flocon Neige



Que celui qui découvre la colère s'abstienne de la partager.

L'heure où l'amour dépasse toutes obstacles est révolue depuis l'Antiquité. Avant les armes et les guerres, lorsqu'un conflit était résumé à une confrontation, l'amour résolvait les mal ou les provoquait...

Cette simple force propre à l'humain laisse les scientifiques patois. Nous connaissons ses conséquences, quoique pas toutes. Nous ne sommes pas au courant de la cause d'un amour. De pourquoi celui ci devient l'amant de celle la alors qu'ils sont si différents.
C'est un exemple. Un exemple qui reflète bien.

Alors si les causes sont encore bien sombre, les conséquences le sont moins.
Car désormais nous savons depuis quelques minutes, les ravages d'un amour devenue trop fort.

      Les flammes fendaient le ciel en deux. Il ne pleuvait plus, sauf des yeux des pauvres hommes abandonnés à leur sort. Les larmes coulaient si fort et si vite qu'on aurait dit le sang de leur plaie.
La fumée entourait les fermes. Les teintes rougeâtre donnait a la scène une allure post apocalyptique.
La maison était écroulée sur elle même. Le bois arraché s'était écroulé sur lui même. Un brun cramé tombait toujours sur le sol. Certains arbres au alentours On pouvait apercevoir des corps tombée au début de l'affrontement. Des visages tuméfier et méconnaissable.

Et tout derrière, où un chemin de terre brûlée dirigeait chaque spectateur vers un combat qu'on estimait mortel.
Au dessus de la maisonnette, un homme ailé dévisageait le massacre, les sourcils froncés et un semblant d'agacement. Il fixait une femme qui survolait un étalon et crachait des flammes de plusieurs mètres.
Qu'était ce ?

La Duchesse elle était agitée, forcée à l'immobilisation par plusieurs hommes. Son corps saignait de tellement d'endroit qu'elle peinait a se débattre. Plusieurs perles de sueur témoignait l'effort pour elle à se lever. Elle levait la main mais celle si retombait sans cesse.

Elle héla douloureusement le nom de son mari, elle le criait, les lèvres sèches. Son corps alourdi par la fatigue et la douleur. Elle vit du coin de l'œil Laos en train de perdre du sang. Mais il allait survire, n'est ce pas ?

Presque deux jours plus tôt.

Après avoir longuement réfléchis à une solution, Raven choisis de partir définitivement à sa recherche. Il envoya d'abord un homme. Quelqu'un qui irai le retrouver chez lui et l'informer.
Puis sans nouvelle de sa part après quelques heures, le duc s'impatienta. Il envoya un télégramme, qui ressemblait drôlement à une menace.

« Présence requise. Titre et vie en jeu »

Il avait tourné en rond pendant tellement longtemps et préparer leur attaque avec une telle précision qu'il était impatient d'agir. Il tendait puis serrait le poing. Ses doigts s'articulant nerveusement. Il fit craquer sa nuque et s'assit bruyamment.

-Détend toi, tout est en place. Il ne lui arrivera rien.
Napoleon s'approcha et s'installa sur le bureau au centre de la pièce.
Ils avaient changés d'habitation, le manoir avait été légué à son jeune frère, désormais ils vivaient dans un petit château sur la face d'une montagne. Le paysage y était superbe, il espérait qu'elle aime. Il serra de nouveau les poing.

-Sauf qu'on ne retrouve pas le commandant de l'armée. Cet idiot de Porl Eliott , Octavio ou Kenai ! Quelques soit son nom. D'ailleurs pourquoi autant merde !

Il s'approcha de la baie vitrée. Le ciel était dégagé cette nuit. Ses manches étaient retroussées, laissant entrevoir une cicatrice. Raven souffla bruyamment, à l'heure qu'il était son ami devrai avoir reçu sa lettre et les quelques informations qui s'y trouvait. Leur communication était faible lorsqu'il s'agissait de chose futile, aussi comptait t'il sur le fait que c'était inhabituel. Qu'il comprenne l'état d'urgence dans lequel ils étaient.

-Tout ira bien.
Napoléon dévisagea son frère, inquiet.
Ses cheveux noirs avaient poussés. Il ne les avait pas coupés depuis son mariage. Son visage était fatiguée, il ne semblait pas non plus avoir manger.

-Comment était son sang ?
L'intervention de Napoléon fit naître un rictus de colère sur le visage du duc. À cette pensée il grinça des dents. Son sang était innommable. Si bien qu'il avait du mal en plus de son absence à se nourrir d'autre chose.

Elle lui manquait au point où cela devenait insupportable pour lui.
A cette heure elle devrait être à une après midi de chez ses parents.
Raven grogna encore. Oui, de chez ses parents car chez elle était ici. Près de lui.

Il se passa une main dans les cheveux et secoua la tête. Il soupira un grand coup et releva la tête rapidement.
Son regard croisa celui de Napoléon. Tout deux tiquèrent a l'odeur inconnue qui venait d'entrée dans leur territoire.

En moins d'un claquement de doigts. Ils se retrouvèrent à l'entrée. Aristide tenant la porte au deux invité. Ou plutôt trois mais il ne le vit que plus tard

Raven oublia sa colère et haussa les sourcils. Surpris et sceptique devant ses nouveaux invités.
Lorsqu'Aristide annonça leur présence, le dernier nom le fit frémir de colère.

-Madame Savage De Rocan ainsi que son... pégase. Tenta Aristide. Ainsi que son pégase Douceur. Et le commandant et Lord Porl Elliot.

-Kenai ! Cria le duc.
S'en suivit deux coup, l'un dans la mâchoire et l'autre dans l'estomac.
Cela suffit à le faire plier et à faire tomber son parapluie d'un noir sombre.

-Salut...mon petit...oiseau.

La Duchesse de CastelWhere stories live. Discover now