•Ames soeurs•

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Quand ta main frôle mes lèvres et que tes mots frôlent mon coeur : Âme sœur.

 

Un bruissement de drap résonna dans l'habitacle, avant qu'une main glacée ne prennent d'otage son visage. Un murmure au souffle chaud la fit frémir dans son sommeil puis l'une des ces mains attrapa sa hanche. Plusieurs mots atteignaient son oreille, mais son sommeil de plomb s'affirmait avec conviction qui l'empêchait d'écouter. Lorsque la main glacée atteignait sa cuisse, un fin tissu la recouvrit. Son corps fut soulever alors qu'un courant d'air frais sûrement du aux oiseaux qui chantaient la fis frissonner. En quelques secondes, elle fut ramener avec possessivité  sur le torse brûlant de Raven. C'était déconcertant. Tout chez cette personne était contradictoire pour elle, sans le savoir elle découvrait les aspects du duc que seul un narrateur pouvait observer même lors d'une sieste de la duchesse. Ses mains glacée pourtant réchauffée autour de son corps et son torse brûlant. Même son cœur avait l'air d'apprécier le contact, la chaleur de quelqu'un serre étroitement.
-Maitre.
-Moins fort Aristide, elle dort encore. L'homme hocha la tête, et indica au Duc le chemin jusqu'au appartement de celui ci.
-Des mouvement au Nord du pays on été aperçu, Le général Eliott est allé calmer la foule et s'assurer de l'état des habitants.
-Vérifié les frontière de l'est, s'ils n'ont pas fait beaucoup de dégâts, ça m'a tout l'air d'une distraction. Faites venir les renforts de la capital et préparer les sorcières. -Elles ne sont que 6 maître, ça n'est pas prudent.
-Oui, prenez en deux. L'homme d'une taille moyenne inclina la tête et ouvrit la porte en marbre.
-Un déjeuner sera apporter dans quelques heures au réveil de madame. Le Duc remercia son chevalet et referma la porte derrière lui d'un mouvement lent. Autant laisser dormir sa fiancée avant qu'elle ne se pose des question. Il l'imaginait déjà jacasser au comment c'était t'elle endormi soudainement alors qu'il venait de dépasser un couloir, de comment avait ils puent finir un trajet de 3 jour en seulement 2 et d'autre choses.  Il déposa son corps dans leur couche et s'agenouilla près d'elle. Ses cheveux brun était éparpillé autour d'elle comme les plumes d'un paon adulte. Ramenant sa main au lèvres de sa promise, celle ci expira bruyamment tout en plissant des yeux. Un cauchemar. En déduisait il. Il posa son front sur le ventre de sa femme, cherchant de la chaleur comme un chat auprès de son maître. Il ferme les yeux et grogna. Il n'arrivait pas à se séparer d'elle, son corps, son visage, ses yeux, et l'échantillon de personnalité qu'il l'avait vue dégagé l'attirai éperdument. Les mains sur ses hanches, il la recouvrir d'un drap marrons, et se releva.
En quelques secondes il arriva dans le sous sol de son spacieux châteaux. Il attrapa un verre poser sur son bureau et bus d'une traite le liquide rougeâtre.
-Tu ma l'air fébrile mon amour. Un grognement répondit pour lui. Une main caressa son épaule alors qu'elle descendait à son torse. Il l'a retira rapidement en grognant une nouvelle fois.
-Tu n'as aucun humour mon frère, je trouve ça extrêmement triste.
-Je n'ai pas vraiment la tête à ça Napoleon. Un claquement de main et un rire grave résonna dans la pièce sombre.
-Alors c'est vrai ? Tu l'as trouvé ! Mon dieu mon frère je suis presque jaloux ! Je n'y croyais pas quand j'ai reçu ta lettre. Que du bonheur pour vous. Alors comment son ses canines ? Il ramena sa main à ses tempes en observant du coin de l'œil son jeune frère plus qu'exciter d'avoir des détails croustillants.
-Elle est humaine. Un éclat de rire moqueur brisa le silence. Raven but son verre brusquement.
-C'est encore mieux pour toi ça ! Je n'arrive pas à y croire le grand duc de Castel à  enfin retrouver son âme sœur et a peur de sa réaction. Il fit mine d'essuyer une larme.
-Je n'est pas peur. Grogna t'il.
-Oh que si, tu serre les mâchoires depuis le début de notre conversation. Napoleon versa dans un verre un même liquide que celui du Duc. Je connais un minimum mon grand frère après 1000 années en sa compagnie.
-Ne sois pas ridicule, je n'ai pas peur.
-Je te comprend parfaitement, je serais sûrement dans le même état que toi... mais je suis presque certains que mon âme sœur se trouvera dans une époque lointaine. Murmura t'il
-Tu ne peux pas en être sûr, si notre père a rencontrer mère plus de deux mille années après sa création, ce n'est pas une raison pour que tu suive le même cheminement.
-Mère était une sorcière.
-Justement, c'est elle qui nous a transmis autant de pouvoir. Ce n'est pas pour attendre si longtemps. Ils remontaient les escaliers et se dirigèrent jusqu'au salon. Un plateau en argent patientait doucement au centre de la pièce.
-La capacité à pouvoir manger et boire autre choses que du sang et de la viande crus, je ne la remercierai jamais assez. Le Duc haussa un sourcil.
-Tu adore le sang Napoléon.
-Justement. Argumenta il. Si je ne pourrai pas manger autant de chose, je deviendrai ivre et incontrôlable. Et puis, si les autres vampires n'avaient pus se nourrir que de ça l'anarchie aurait déjà dominer les rands. Je veux le sang, pour moi.
-Ton âme sœur peux te contrôler lorsque tu es incontrôlable. Il balaya sa remarque.
-Et donc, où est elle ? Il écarta les mains, et regarda autour de lui. Aucune femme ne vit dans se châteaux, sauf... Alors que sa phrase était en suspend, Raven dirigea son regard vers le point que fixait son frère.
-C'est elle ? Chuchota t'il. Son frère le questionna sur l'identité de la jeune femme. Pour toutes réponse, le duc agrippa la taille de sa femme qui sursauta puis frissonna. Elle n'était pas insensible à lui. Ça le rassurait.
-Mais n'est elle pas trop mignonne. Bonjour toi. Napoleon s'approcha comme devant une enfant avec une moue.
-Écœurent. Commenta Raven. Napoleon je te présente Houston. Houston, je te présente mon jeune frère Napoleon.
-Enchanté madame. Lorsque les présentations furent faites, Napoléon sortis de la pièce avec un gloussement de cochon non sans avoir commenter leur couple récent. Le Duc lui lança un regard noir, puis reporta son attention sur sa femme. Ils étaient assis sur le canapé, leur cuisses collés étroitement. Ses grand yeux de couleur rare était poser sur lui alors que ses mains servaient de barrière de protection entre leur corps. Elle essaya de se dégager mais renonça après plusieurs tentatives.
-Qu'est-ce que c'est, une âme sœur ?  Suite à un long silence, le Duc lui répondit le plus  doucement possible.
-Tu écoute au porte ma petite fleur ?  Le surnom la surpris plus que la question. Sournoisement, il apporta une tasse en porcelaine à ses lèvres. Déconcertée par leur soudaine proximité, elle ouvrit la bouche et balbutia une phrase incompréhensible. Haussant un sourcil devant ses joues rouges d'embarras, le Duc observa le regard de la jeune femme se confondre. Ce fut à son tour d'être surpris lorsqu'il sentit sa main toucher son cou et caresser une longue marque transparente.
-Ça a du vous faire mal. Sa main fît de long va et viens de son oreille droite jusqu'a son cou. Qui vous a fait ça ? Un long frissons emporta l'homme au yeux brillant.Serrant les mâchoires, il tourna la tête vers la forêt visible de la baie vitrée, puis reporta son regard sur les sourcils froncés de son âme sœur.
-Une querelle d'il y'a longtemps. Sans donner plus de détails, il recula pour reposer sa tasse. -Je suis désoler. Reculant à son tour, elle serra ses mains entre elles mal à l'aise. Quelle idiote. Pensa t'elle. Il marcha jusqu'à la vitre, et observa de loin l'une de ses nombreuses prairies ou plusieurs chevaux galopait. C'était un paysage fantastique.
-Une ame soeur. commença-t'il. C'est une personne lié à une autre. Un lien indestructible. Tout le monde en a une, c'est l'affection que seul cette personne pourra nous donner.  Que seul cette personne pourra combler. Séparer, des âmes soeur et ils deviendront maussades, tristes et irrités. Une âme soeur refoulera ses désires par amour, et parfois usera d'amour par désire.
-C'est une sorte de paire. Murmura t'elle pour elle même. Une paire de chaussure si on veut. Il sourit.
-Exactement, et aucune chaussure n'est jamais créé sans son alter ego. Murmura t'il a son tour au creux de son oreille. Elle marqua la surprise que lui avait procurer sa présence en mettant l'une de ses main sur son coeur, les yeux fermés elle se concentra sur leur deux respiration au risque de beugler de peur. Lorsque la sienne se calma peu à peu, elle se retrouva prête a faire face a son nouveau démon. Un démon diablement beau, mais un démon. Il l'analysait de près, les yeux plisser face a son silence qui était plutôt rare depuis le debut de leur rencontre. Etait elle gênée ?  Il adorait la voir gênée. Mais impossible, se dit il, car des rougeur se seraient deja installer sur ses pommette si telle avait été le cas. Alors apeurée ? C'était le cas le plus logique de tous, il n'y avait qu'a regarder sa... oh, sa lèvre était pincée ? De colère ? Il releva les yeux en direction de son regard et aperçu ses sourcils froncés de maniere désabuser.
-Pourquoi m'avez vous l'ai... Avant qu'il n'est pus finir sa phrase, elle le coupa.
-Vos yeux sont chère duc, porter sur mon corps depuis presque trop longtemps. Veillez  à ranger votre regard dans une poche loin de moi, très loin de moi. Un sourire s'installa malgré tout sur son visage. Il ne pouvait s'en empêcher, les courbes de la jeune femme était délicieuse, faites pour un homme comme lui, croquante et.. Une gifle cuisante résonna dans le manoir.

La joue rouge du Duc et son air ébahie semblaient bien plus éloquente que les mots d'un simple spectateur. S'ajouta à ce silence le bruit des talons ,frappant sur le sol au meme rythme qu'un instrument à percussion, et l'éclat de rire du jeune frère. Une course effréné s'en suivis dans les couloirs. Le visage impenetrable, l'homme attrapa la taille de sa promise à un virage sur la droite. heurtant la porte en bois derrière elle, un couinement lui échappa. Les grandes mains du duc prirent en otage les siennes, les coinçant derrière le dos de la jeune femme. Elle se débattit comme un animal essayant d'échapper a son chasseur. Le duc lui observa intensément chaque partis de son cou, jusqu'à son visage. Elle avala difficilement sa salive et ferma les yeux. Il ricana. Ses doigts se promenant sur sa peaux clair, il atteignit ses lèvres avec un sourire et lui chuchota des mots qu'elle connaissait parfaitement. Elle sursauta devant leur proximité, en écoutant seul phrase qu'il lui avait dites lors de leur première rencontre dans son bureaux. A mea.
-Finissez en. Chuchota t'elle. Haussant l'un de ses sourcils, le duc attendit patiemment qu'elle finisse sa phrase. Finir quoi ? Allez y frapper moi que l'on en finisse. Sa mère l'avait prévenue, elle n'avait aucun droit de porter affront de la sorte à son époux, un duc de plus. Elle le lui avait parfaitement bien fait comprendre. Blesser, qu'elle puisse croire ça, le duc recula, perdant toutes envie taquine.
-Jamais, au grand jamais je ne vous frapperais. Gronda t'il. Il se retourna et partis avec une colère sourde contre lui même d'avoir put lui laisser croire ça.
-Alors mon frère, notre âme soeur n'est pas a votre goût ? Installer sur le sofa au teinte marrons, le cadet détailla le visage du duc avec un amusement.
-Si, elle est parfaite. S'asseyant à son tour, il ferma les yeux l'air dépasser.
-Quoique un peu violente, je me trompe ?
-C'est son système de défense, et c'était ma faute... Il répondit, ailleurs, ses pensées dérivant vers une autre époque.
-Je ne te pensais pas masochiste, mais on en apprend tout les jours non ? Il haussa les épaules. Observant du coin de l'oeil son ainé, surpris de ne voir aucune répliques sanglante à son égard ou même de regard sombre.
-Ne vous en faites pas duc, il faut seulement qu'elle s'habitue à vous. Tout vient avec le temps. Même l'amour

La Duchesse de CastelWhere stories live. Discover now