Chapitre 17 partie 1

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Chapitre 17 partie 1

« Alors, tu n'as rien pu obtenir du tout ? »
Le ton de quelqu'un qui était généralement toujours calme et diplomatique, aujourd'hui, il semblait tellement en colère qu'il était agité. Le thé dans la tasse devant lui avait de plus en plus refroidit parce qu'il n'était pas d'humeur à continuer à le siroter depuis qu'il avait vu son fils rentrer à la maison avec une apparence de chien de rue.

« J'ai essayé... »« Qu'as-tu obtenu quand tu as essayé ? »

Cette phrase ne ressemblait pas à une question mais plutôt une critique ou une expression de déception.

« Je ne me soucie pas que tu ais essayé beaucoup ou un peu. L'important, c'est qu'au final, as-tu réussi ou non ? »
« Je suis désolé. »« Presque dix ans...», déclara fermement l'hôte tout en regardant son fils impuissant avec une expression agacée que l'on ne voyait pas souvent, « Je te donne le temps de sortir, je te donne toute la liberté. J'ai laissé ça durer dix ans parce que je pensais que tu pouvais enfin faire ce que tu avais dis. »« ... »« Et regarde ce que tu obtiens à la fin !! »
Le son d'un coup de poing sur la table résonna dans tout l'espace de bureau. Cela surprit les subordonnés qui marchaient devant la pièce, car si ce n'était pour quelque chose de très important, le maître, toujours calme, n'aurait pas montré une telle colère. Par conséquent, on pouvait supposer que le retour de l'un de ses fils aujourd'hui n'avait pas apporté la bonne nouvelle comme prévu.

« Tu as dis que tu ne voulais pas le forcer. Tu m'as promis que tu lui ferais t'aimer. Alors pourquoi dis-tu maintenant que tu ne peux pas le faire ?! », hurla le vieil homme tandis que le fils aîné ne pouvait que regarder par terre et respirer profondément avec le sentiment de vouloir disparaître d'ici pour toujours.

Il ne voulait plus rien savoir. Le fait que sa relation avec Babe se soit effondrée sans aucun moyen de la rétablir l'avait rendu assez désespéré. Aujourd'hui, il devait encore se lever et laisser son père le gronder et le traiter comme un chien. Il pensait que ce serait une punition pour quelqu'un d'inhumain comme lui.

« Non seulement tu n'as pas réussi à lui faire concevoir ton enfant, et maintenant... il n'a plus confiance en toi. Sais-tu ce que tu as fais ?! »« ... »« Ne t'ai-je pas dis d'être prudent avec Charlie ? Ne t'ai-je pas dis de ne pas être complaisant ? Pourquoi l'oublies-tu toujours ? »
« Je ne pense plus qu'il puisse voler l'excès de qui que ce soit. Quand j'ai envoyé quelqu'un le poursuivre la dernière fois, ils n'avaient pas pu obtenir l'enfant. »« Je te l'ai dis, ne sois pas stupide ! », cria le père avec colère.

Bien qu'il pensait qu'il avait élevé ces enfants pour qu'ils soient les plus intelligents, personne ne l'était autant que ses deux là. Charlie et Babe sont des enfants intelligents et ne pensaient pas comme des gens normaux. S'ils pouvaient être apprivoisés, il en bénéficierait grandement. Mais c'était parce qu'ils sont si intelligents qu'il était difficile d'enfermer de tels enfants dans une cage.

« Penses-tu que quelqu'un comme Charlie sera stupide et te laisseras le suivre facilement ? Penses-tu qu'il ose me combattre comme ça sans aucun plan ? »
« ... »« Charlie n'est pas aussi stupide que toi. »
Way se tenait la tête baissée, ne sachant pas quoi répondre pour ne pas se faire disputer. Il serra ses mains fermement alors qu'il essayait de résister à la pression de son père et réprimait la colère qui découlait des mots insultants. En fait, il n'était généralement pas une personne qui prêtait attention à de telles insultes. Peu importe ce que son père disait quand il le grondait, il pouvait toujours laisser aller. Mais cette fois-ci était différente parce que parmi les insultes, il y avait le nom de l'enfant. L'enfant qu'il n'avait vu qu'une seule fois depuis qu'il avait emménagé dans la maison il y a plus de dix ans, où il n'avait jamais eu l'occasion de le rencontrer à nouveau. Mais au cours des dix dernières années, il avait toujours entendu son nom des centaines de fois de la part de son père qui le félicitait sans cesse.Mais les insultes n'avaient jamais fais aussi mal qu'auparavant. Cela n'avait pas fait trop mal du tout jusqu'à ce que finalement, ce n'était pas lui qui avait été choisi par la personne qu'il aimait de tout son cœur. Babe avait choisi l'enfant plutôt que lui-même. Très chanceuse que cette personne soit née spéciale.

« Je vais essayer de trouver un moyen... »« Comment ? », le coupa le grand homme avec un regard méprisant, « Il n'y a aucun moyen. Il est trop tard maintenant. Même si Babe est amoureux de toi en ce moment, c'est inutile. »« ... »« La seule chose que tu peux faire maintenant est de changer tes objectifs. »« Quoi ? », Way, qui était debout la tête baissée, releva les yeux et regarda son père, confut de ce qu'il venait de dire, « Comment puis-je changer cela ? »
« Nous devons avoir des gens utiles. Alors...tu pourras changer ta cible, n'est-ce pas ? »
« Tu veux dire Pa... »
« Charlie ! », dit lentement l'homme plus âgé comme si c'était devenu une réponse définitive. Mais cette réponse fit ouvrir les yeux de Way comme s'il avait été trompé par le diable, « Si nous ne pouvons pas avoir Babe, maintenant tu dois piéger Charlie. »
« C'est fou, je ne le ferai pas, papa ! »

Cette fois, la personne qui avait gardé le silence protesta avec une attitude solennelle.

« Tu me dis de prendre au piège et d'avoir un enfant avec Charlie ? Je préfère mourir. »« Ici, j'essaie de t'aider ! »
« Je sais, mais je ne peux vraiment pas le faire », supplia faiblement Way en jetant un coup d'œil silencieux à Kenta qui se tenait à côté du bureau de son père pour obtenir de l'aide. Mais la réponse ne fut qu'une lente secousse de tête.

« Je vais essayer de trouver quelqu'un d'autre. »
« QUI ? »« Une personne ayant des capacités spéciales. Je vais essayer de le trouver, je te le promets. »« Penses-tu vraiment pouvoir négocier avec moi comme ça ? »« Papa, même avec Babe, je ne peux pas le faire. Que penses-tu que je puisse faire à Charlie ? »

Way essaya de le persuader de toutes ses forces, parce qu'il n'aurait jamais de relations sexuelles avec Charlie. Le simple fait d'imaginer devoir enlever ses vêtements l'un devant l'autre le rendit nauséeux pour presque en vomir.

« Pa sait quelles capacités il peut faire et maintenant il sait tout sur moi. Il n'y a aucun moyen qu'il me laisse m'approcher de lui. »« Et si je te l'apportais ? »« Pa... », Way fronça les sourcils devant le refus de son père d'abandonner, « Même si tu envois quelqu'un pour l'attraper, tu ne pourras pas le faire. Sinon, comment pourrait-il rester là et se débarrasser de tous les sens de Babe comme ça ? »
« Et qui a commis une erreur. »« D'accord, j'ai fais une erreur. Je suis désolé. »« Je ne veux pas d'excuses. Je veux que mon fils soit avec lui ! »
« Mais maintenant, tout ce que tu veux est dans Charlie. Pourquoi ne le fais-tu pas toi-même ? »

Les pensées de Way rendirent son père sans voix. Bien sûr, ce n'était pas une pensée profonde, parce qu'il pensait déjà qu'un jour il devrait demander à Charlie d'avoir un enfant. Il lui était impossible de renoncer à un si grand pouvoir entre les mains d'un enfant comme Charlie qui n'avait pas du tout l'intention de l'utiliser. C'est juste qu'il avait oublié de considérer une chose simple : le fait qu'il pourrait avoir une alternative supplémentaire. C'est-à-dire que les chances de succès augmentaient également.

« C'est sûr.», dit le général à voix basse, il semblait plus calme qu'auparavant. C'était peut-être parce qu'il commençait à voir plus de façons de traiter ce problème mais cela ne signifiait pas qu'il pouvait s'échapper facilement, « Mais cela ne signifie pas que tu n'auras rien à faire. « Pa... »« Si j'ai vraiment des ennuis, je devrais profiter de toi. »
« Pourquoi dois-tu à nouveau profiter de moi ? J'ai donné... »« Ferme ta bouche ! »

Way, qui était sur le point de commencer une dispute, se couvrit la bouche dès qu'il rencontra le regard vif de son père à cause de son impatience et de sa réticence à obéir aux ordres. Il avait accidentellement dit quelque chose qu'il n'aurait pas dû dire et cela rendit son père encore plus ennuyé.

« N'oublies pas que tu n'as pas le droit de négocier. », dit le père à voix basse tout en s'appuyant sur une chaise onéreuse avec une attitude dominante, « Je t'ai donné beaucoup d'opportunités et tu m'as déçu. Alors maintenant, je ne te donnerais pas une autre chance de voter. »« ... »« À partir d'aujourd'hui, tu dois rentrer chez toi. »
C'était la chose que Way ne voulait pas entendre du tout mais ce n'était pas un ordre inattendu. Pour être honnête, il savait qu'il n'y arriverait jamais avec le problème de Babe, il s'était déjà préparé à être définitivement rappelé chez lui.

« Laisse l'équipe de course. Tu n'as plus aucune raison d'y rester. »« Je ne peux pas quitter après la fin de la saison ? »« Es-tu sûr de vouloir y retourner et rencontrer ce salaud ? »
Le grand homme fut choqué par la question qui n'en était pas une, il voulait juste se moquer de lui. Au début, il pensait que si Way tombait vraiment amoureux de Babe, cela faciliterait les choses, mais il s'était avéré que Babe ne ressentait pas la même chose envers lui. Maintenant, ses sentiments étaient devenus très inutiles pour cette personne sans cœur.

« Non, vraiment, je te le demande, est-ce que Babe veut toujours te voir ? »

Son père adoptif sourit comme si les sentiments de Way n'étaient qu'une simple blague parce qu'il avait toujours poursuivit le pouvoir et l'argent toute sa vie sans jamais ressentir le véritable amour.

« Reviens à l'endroit où tu pourras être utile. Pourquoi veux-tu suivre toujours son cul ? »
« ... »
« Si tu veux vraiment Babe, sois patient d'abord. »
Way fronça légèrement les sourcils, ne comprenant pas de quoi il parlait. L'expression de son père semblait assez satisfaite de sa propre idée. En tant que (gardien de la chaussure) ? de cet homme, il était ici depuis de nombreuses années. Way était sûr que ce n'était certainement pas quelque chose auquel des gens ordinaires penseraient.

« Quand je pourrai m'occuper de Charlie, le problème de Babe ne sera pas difficile. »

*****Après un nombre indéterminé d'heures de sommeil, le grand jeune homme ouvrit finalement les yeux et se réveilla. Sa vision était encore floue parce que ses paupières étaient fermées, ne montrant de l'obscurité que pendant plusieurs heures d'affilées. Son corps se réveilla lentement de son état paralysé, partie par partie, à l'exception de son bras droit qui était maintenant engourdi au point de ne plus pouvoir le sentir. Charlie sourit légèrement alors qu'il se retournait pour voir ce qui avait rendu tout son bras inamovible. Babe, allongé là, la bouche grande ouverte. Trop chou.Il embrassa doucement le front rond de Babe qui était affectueusement allongé sur son bras. Ils avaient trop joué hier soir et quand ils purent vraiment dormir, la journée était déjà claire.
En fait, ce n'était pas vrai de dire que s'était juste parce qu'ils avaient eu des relations sexuelles en plusieurs rounds. Il pensait que c'était probablement à cause de la fatigue accumulée qu'ils ressentaient tous les deux. Depuis qu'ils s'étaient séparés, il n'avait plus jamais bien dormi et il était sûr que ce n'était pas non plus différent de Babe. Il n'était donc pas étrange que la première nuit qu'ils passèrent ensemble, ils dormirent ainsi.
Après s'être presque complètement réveillé, Charlie détendit doucement son corps pour en soulager la fatigue mais il ne put le faire aussi vite qu'il le voulait. Il fut un peu surprit lorsqu'il ressentit une étrange sensation sous la couverture. Charlie fronça les sourcils et souleva la couverture qui les couvrait tous les deux, un peu confus. Mais dès qu'il vit ce qui arrivait à son corps sous la couverture, il soupira et ne put s'empêcher de rire doucement.

« Même pendant que tu dors, tu ne peux toujours pas le laisser tranquille. », dit doucement Charlie avant de bouger pour lui embrasser doucement la joue. Il ne savait pas depuis quand Babe avait mis sa main sur sa bite mais à vue d'œil, il ne l'avait certainement pas fait récemment.

« Umh... », l'homme endormi détourna son visage de la caresse de Charlie et gémit doucement, agacé d'être dérangé pendant son sommeil.
« Enlèves ta main, je vais rapidement aux toilettes. », chuchota Charlie dans l'oreille de Babe avant de lui embrasser tranquillement l'oreille plusieurs fois en espérant que cela rendrait le pervers prêt à laisser partir la chose qu'il aimait.

Cependant, le résultat fut exactement le contraire. Lorsqu'il s'était rendu compte qu'il tenait quelque chose dans sa main, il avait immédiatement commencé à bouger sa main et à jouer jusqu'à ce que Charlie ne puisse l'empêcher de le masturber et de le serrer.

« Umh— P'Babe, ne plaisante pas. »« Tu es réveillé ? », demanda-t-il d'une voix rauque, toujours endormie.
« Réveille-toi. Sinon, pourrais-je parler ? »
« Je ne t'ai pas demandé à toi.», dit tranquillement Babe avant d'ouvrir lentement les yeux pour voir le visage de Charlie, « Je demandais au petit Charlie. »
Il était également réveillé.

« Tu t'es réveillé très tôt. Tu n'es pas fatigué ? »
« À qui demandes-tu ? »« Petit Charlie. », répondit l'homme plus âgé avec une expression plate.

Charlie ne pouvait que rire avec résignation du comportement de Babe. Il aimait vraiment le taquiner, surtout d'une manière que personne d'autre ne le faisait habituellement et il était très doué pour ça.

« Je voulais faire une pause ce matin. Pourquoi es-tu toujours éveillé ? »
« Alors, pourquoi joues-tu avec lui ? Tu l'as réveillé toi-même. »« Je ne peux pas jouer un peu ? »« Ce n'est pas un jouet. »
« Ah oui ? », Babe fit semblant de demander avec un visage innocent, même si sa main n'avait toujours pas cessé de serrer Charlie junior jusqu'à ce qu'il commence à s'exciter sérieusement, « Je vois que le petit Charlie a souvent l'habitude de jouer. Je pensais que c'était un jouet. »« Oh, ne me taquines pas. », dit tranquillement Charlie en tirant Babe dans ses bras plus fermement. Jusqu'à présent, ils s'étaient toujours confrontés l'un l'autre. « Si tu le réveilles, tu dois aussi le calmer. »« Quoi ? Je n'ai encore rien fais. »« P'Babe... »« Je ne fais que jouer avec le petit Charlie, tu ne dois pas être jaloux. »
« Je ne suis pas jaloux, mais ça me rend tendu. »

Babe rit avec joie de cette réponse. Il déplaça son visage pour embrasser doucement le bout du menton de Charlie, tandis que sa main cachée sous la couverture se déplaçait le long de la virilité de Charlie avec un rythme alternant entre le pressage et le massage. En fait, lorsqu'il avait d'abord inconsciemment mis la main sur la virilité de l'enfant et lorsqu'il avait repris conscience, sa main ne l'avait pas laissée mais bougea plutôt de manière agile. Et quand Babe fut surpris, il ne ressemblait pas du tout à un Babe stupide. Il voulait donc trouver quelque chose pour taquiner son enfant stupide parce qu'il ne l'avait pas fait depuis longtemps.
« Sois patient. Être un adulte demande de la patience. »« La patience... », répondit Charlie d'une voix fatiguée comme s'il en avait vraiment marre de lui. Cependant, Babe détecta que la mâchoire de l'homme se resserrait de temps en temps à cause de son contact. Le chiot était vraiment patient.
« As-tu bien dormi ? »

En sachant que Charlie essayait d'être patient, Babe agissait comme s'il ne savait rien de ce que Charlie ressentait et parlait avec un visage plat, faisant soupirer fortement Charlie.

« Le lit te manquait-il ? »« Je vais bien. Je pense au lit et au propriétaire du lit. »« Ne parle pas doucement. »« Ne demandes-tu pas parce que tu veux que je réponde comme ça ? »« Oh, alors je te manquais à ce point ? »« Oh, ouais - ah... Tu m'as manqué. Tu me manquais vraiment. »

La grande figure tourna le visage quand Babe semblait utiliser accidentellement trop d'énergie sur Charlie junior. Babe vit cela et détendit rapidement sa main avant de rire à cause de l'expression drôle de Charlie.

« Désolé, ce n'était pas intentionnel... », rit Babe.
« S'il te plaît, prends soin de moi... »« Est-ce que ça n'en vaut toujours pas la peine ? »
« Fais comme quand je prends soin de toi. »
« Je n'ai toujours pas vu que tu te souciais de moi. »« ...? »« D'habitude, tu prends soin de moi. », fit semblant Babe de penser avant de lui embrasser légèrement les lèvres et de continuer, « Mais tu es impoli. Où est le traitement ? »
« Qui a dit que si je le faisais lentement, tu t'endormirais ? »

La réponse de Charlie fit immédiatement rire Babe aux éclats parce qu'il aimait vraiment lui parler comme ça. Y croyait-il vraiment ? Sérieusement, pourrait-il s'endormir si à chaque fois qu'il avait des relations sexuelles avec Charlie, son cœur battait à plus de 130 bpm ? ( battement par minute). Charlie ne pensait pas vraiment qu'il allait s'endormir, n'est-ce pas ?

« Si un jour je m'endors en ayant des relations sexuelles avec toi, seras-tu en colère ? »« Pas en colère. »« Est-ce vrai ? »
« Oui. », hocha de la tête Charlie en réponse, « Mais je vais m'entraîner davantage pour trouver quelque chose qui t'excite afin que tu ne t'endormes pas. »« Wow, tu es plus déterminé que pendant la course. », rit Babe avant de se pencher pour embrasser doucement la poitrine de Charlie puis il se leva et chevaucha son adversaire.
« Vas-tu le faire ? », demanda Charlie quand il vit Babe descendre la couverture. Il se baissa lui-même jusqu'à ce qu'il soit maintenant assit sur les pieds de Charlie et que son visage se trouvait juste au milieu de son corps.

« Je vais le faire - de toutes mes forces. », dit Babe en riant.

S'il l'aimait, Charlie aimera mais d'un autre côté, il serait désolé. Il aimait vraiment jouer avec lui, même s'il ne voulait pas le taquiner, il voulait quand même le toucher. Bien que Charlie se plaignait souvent que Charlie junior n'était pas un jouet, cela ne signifiait pas qu'il ne pouvait pas jouer avec, n'est-ce pas ?

« Umh... », gémit doucement Charlie dans sa gorge alors que le bel Alpha commençait à frotter sa langue sur la tête de son pénis. Il jouait avec sa langue en tournant pendant un moment avant de la traîner lentement jusqu'à la base, tandis que sa main la tenait, la soutenait et la serrait encore habilement.

« Est-ce amusant ? », Babe leva les yeux et regarda Charlie alors qu'il inclinait calmement la tête et traînait sa langue tout le long, « Il ne cesse de battre... »« Est-il possible d'être désagréable ? »« Oui. Si les gens ne sont pas bons dans ce domaine, ce sera ennuyeux. »« Mais tu es vraiment génial. », dit Charlie en respirant doucement. Il semblait que ce ne soit pas seulement pour lui faire plaisir car en regardant ces sourcils pointus se froncer, Charlie devait être excité en ce moment, « Ah, continues à jouer là-bas... Ah... »« Je sais, je le ferai. », rit Babe du mauvais garçon qui essayait d'agir comme un bon garçon pour lui.

Charlie semblait vouloir qu'il le mette dans sa bouche mais il n'osa pas mettre sa main sur la tête de Babe. Par conséquent, sa grande paume ne pouvait que le tenir au-dessus de sa tête, mais il refusa de la descendre et de la toucher.

« Si tu veux la tenir, tiens-la. Qui te l'interdit ? »

Une fois la permission reçue, sa grande main descendit lentement et la plaça immédiatement sur la tête de Babe. Mais Charlie n'eut même pas besoin d'utiliser la pression de sa main pour faire faire à Babe ce qu'il voulait, parce que le bel Alpha savait déjà ce que son garçon stupide aimait.
Babe ouvrit la bouche avant de sentir le bâton chaud de Charlie et approcha lentement sa tête jusqu'à ce qu'elle entre complètement et pénètre sa gorge. Babe répondit en suçant doucement sa joue tandis que sa langue bougeait en jouant avec tout ce qui était dans sa bouche sans arrêt. Puis, il commença à bouger sa tête de haut en bas rythmiquement, ni trop lentement, ni trop vite, afin de ne pas laisser Charlie finir trop rapidement, mais en même temps empêcher ses émotions de s'estomper rapidement.

« Mmm - ta bouche est incroyable. », murmura doucement Charlie en fermant les yeux et appréciant les caresses que Babe lui donnait. Ses sourcils pointus se fronçèrent pendant un moment lorsque la sensation le frappa à cause de l'habileté de Babe. À chaque fois Babe l'impressionnait.

« Quand on se sépare, tu me manques toujours, tu le sais ? »« Oui... »« Dans le vestiaire, je voulais le faire pour toi... », haleta Charlie alors que sa grande main serrait doucement une douce mèche de cheveux de Babe.

Quand Charlie répondit, Babe suça la tête de sa bite si fort qu'il tressaillit,

« Mais à ce moment-là, tu étais en colère. Je n'ai donc pas osé demander.»« Umh... »

Il ne savait pas si s'était une réponse ou non. Ou peut-être que Babe n'avait pas du tout écouté car maintenant il aimait vraiment jouer avec son petit Charlie bien-aimé. La scène de Babe qui caressait rythmiquement sa virilité avec sa main, tout en penchant ses joues avait vraiment l'air obscène, mais Charlie ne pouvait s'empêcher de trouver drôle que Babe agisse comme s'il aimait vraiment cette partie de lui.

« Aimes-tu ça ? »« Umh... », répondit immédiatement Babe avant de donner un autre baiser au petit Charlie, en confirmation, « Il est doux. »« Tu ne m'as jamais félicité et dis que j'étais gentil auparavant. Mais pourquoi admires-tu le petit Charlie ? »
« Il est doux »« Je ne suis donc pas gentil ? »
« Tu mérites d'être frappé ! »« Toujours comme ça ! », Charlie se pinça les lèvres avec un air maussade.

À bien y penser, c'était vraiment décevant parce que Babe le louait rarement comme une personne douce. En fait, il était toujours gentil avec lui et il savait que Babe l'aimait vraiment mais il voulait que Babe lui dise qu'il était gentil.

« Pourquoi ? Es-tu contrarié ? »
« NON. »« Si tu dis que tu n'es pas contrarié, je suis sûr que tu ne l'es pas. Si tu veux faire la paix, tu dois le dire directement. »« D'accord. », répondit doucement le garçon lorsqu'il fut surpris en train de râler, il était contrarié, mais il ne voulait pas dire : « Je suis un peu contrarié. »

« Veux-tu que je te fasse l'éloge ? »« Je le veux vraiment. », répondit Charlie avec paresse, « Mais je ne veux pas que tu me loues parce que je suis contrarié. Je veux que tu le fasse par toi-même. »« Je te loue toujours tout le temps, n'est-ce pas ? Très intelligent, Charlie. Si tu parles beaucoup, tu mourras. »
« Mais tu ne dis jamais que je suis gentil. Ne suis-je pas gentil ? »

Babe sourit jusqu'à ce que ses joues se fendent presque. Charlie regarda le vilain garçon qui était allongé et fronça les sourcils alors qu'il faisait quelque chose comme ça entre ses jambes. Charlie semblait actuellement ennuyé que Babe ne dise pas qu'il était vraiment doux, ce qui n'était en fait pas du tout difficile à dire.
Babe ne le disait tout simplement pas parce qu'il pensait qu'il se battait souvent avec l'enfant, et cela lui avait toujours fait réaliser à quel point il était mignon et doux à ses yeux. Mais en l'occurence, les chiens stupides resteront probablement des chiens stupides tout le temps. Si Babe ne disait rien, alors il ne le saurait probablement pas, n'est-ce pas ? Ou alors, il le savait déjà mais il était juste pointilleux parce qu'il voulait vraiment que Babe le dise.

« Doux... », répondit Babe en clignant des yeux comme pour dire que c'était une chose facile à dire et ce n'était pas parce qu'il ne parlait pas beaucoup qu'il ne pouvait pas parler.

« Est-ce vrai ? »
« C'est vrai, tu es gentil. », affirma l'homme plus âgé avec une expression détendue avant de donner un baiser au bassin du garçon une fois de plus, comme pour justifier à nouveau ses propres mots, « Sinon, voudrais-je l'embrasser et t'embrasser ? Eh bien, tu es gentil, c'est pour ça que tu as des crocs. »

Charlie était une personne bavarde qui voulait toujours écouter des mots doux qui sortaient de la bouche de Babe. Mais quand il l'entendit, Charlie se repentit et son cœur battait comme s'il venait de courir sur un kilomètre. Il leva la tête en regardant le visage de Babe comme pour s'assurer une fois de plus que Babe avait dit cela avec de vrais sentiments, pas seulement parce qu'il voulait faire la paix avec lui. Quand il vit Babe le regarder en faisant un clin d'œil comme ça, Charlie se sentit immédiatement sûr qu'il ne faisait pas semblant de le rendre heureux.

« Oh, es-tu heureux ? », rit Babe quand il ressentit certaines des réactions physiques de Charlie. Il ne l'avait pas seulement regardé avec une expression étrange, ses oreilles rougissaient d'embarras et le petit Charlie dans sa main était devenu plus grand.
« P'Babe... » dit Charlie d'une voix faible, gêné d'être séduit par lui.
« D'accord, je sais que tu aimes. », dit Babe avec un sourire avant de traîner lentement sa langue en bas du petit Charlie dans sa main et en levant les yeux pour le regarder, comme s'il avait l'intention de se séduire l'un l'autre pour perdre, « Nous devrons beaucoup parler à partir de maintenant. »
« Plus besoin de le dire. Ne parles pas beaucoup ! »
« Tu m'as commandé ? »« Oui, ne parles pas trop. »

C'était peut-être parce que Charlie était toujours obéissant et doux avec lui, alors quand il allait trop avec lui, cela ne mettait pas Babe en colère. D'un autre côté, il le trouvait quand même très doux.

« Je ne peux pas en dire un peu plus ? »« Que veux- dire d'autre ? Tu as beaucoup trop parlé aujourd'hui.« Charlie... »« Ne dis rien, je ne veux pas entendre. », Charlie leva ses mains pour fermer ses oreilles en disant : « Je n'entends rien. », à plusieurs reprises comme un enfant taquinant sa mère ainsi.« Ne sois pas ennuyeux. »
« Je n'écouterai pas. »
« Charlie... »« P'Babe, tu parles trop !! »« Je t'aime ! »



Pitbabe ( traduction française) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant