ALBA

CHAPITRE 57

I'mmmmmmm BAAACKKK !

J'en ai mis du temps ? Je sais ! Mais comme promis, je suis là, on est en Septembre, le monde peut continuer à tourner. (WOW quelle modestie).

Mais soyons un peu sérieuse... Un peu. Je n'ai malheureusement pas été sélectionnée pour les Wattys 2018. Mais pas grave, je retenterais ma chance aux prochains. J'vais pas abandonner de sitôt !

EnsuiTEUH, je dois vous informer d'une chose. Pendant les vacances, j'étais censée écrire ALBA, m'avancer et tout et tout. Mais j'ai eu l'horrible, l'abominable, l'affreux, le méprisable, le vicieux... SYNDROME DE LA PAGE BLANCHE.

J'vous jure j'avais envie de chialer comme un dromadaire. Je savais ce que je devais écrire, mais IMPOSSIBLE d'écrire quoique ce soit. Mon œil il tressautait tellement j'étais énervée de ne pas réussir à écrire une ligne potable.

Mais bRRRef. J'ai réussi à sortir un chapitre, je sais pas comment. 

Du couuup, je vais recommencer à poster tous les dimanches, comme d'habitude quoi. Et j'espère de temps en temps, vous faire des petites surprises avec des chapitres supplémentaires postés en avance. 

Qu'est-ce que j'suis généreuse alors que mon syndrome de la page blanche est toujours actif.

Bon, je ne vous retarde pas plus ! Bonne lecture ! :*

***

PDV ALBA :

Je me détachais lentement d'Eliaz, reprenant un appuie plus ample sur mes jambes. Je secouais la droite discrètement. Mon corps commençait à reprendre petit à petit de la force, et cela, à une vitesse fulgurante. Encore une ou deux heures et je serais capable de courir à nouveau. Etre une Métamorphe n'avait pas que des désavantages. Et le fait d'avoir un Âme-Sœur ainsi qu'une Fusion accomplie, n'était peut-être pas irresponsable face à mon rétablissement aussi rapide qu'un impala se faisant chasser.

Je regardais brièvement ma blessure provoquée par Eliaz ainsi que celle que je lui avais faite. La mienne était désormais complètement guérie, tandis qu'il ne manquait plus que quelques minutes à la sienne pour être complètement remise.

La guérison allait à une vitesse folle.

Charles s'avança et souleva doucement le pan de tissu rouge qui servait de porte à l'immense tente. Il s'engouffra dedans. Je le suivis de près, Eliaz m'emboitant le pas. Un couloir de tissu aussi jaune que le soleil me fit face. Il y avait plusieurs morceaux de tissus sur les côtés, se détachant du jaune. Sûrement d'autres portes. Cependant Charles nous conduisit jusqu'au fond du couloir où se détachait un long morceau de tissu bleu ciel.

Le brouhaha était de plus en plus fort, je me doutais bien que la pièce de réunion se situait derrière ce beau bleu.

Charles se retourna pour capter notre regard. Dans ses yeux vibraient une seule question. Etions-nous prêt ? Je hochais la tête face à sa question silencieuse, en rythme avec Eliaz. C'est fou comme nous étions facilement synchronisés.

Il souleva alors la porte bleue nous dévoilant une grande salle faîtes de tissus rouge de toutes les nuances. Un énorme tapis de ce même jaune soleil s'étendait sur le sol, semblant aussi duveteux qu'une peluche. J'aperçu un bout du sol sans tapis dans un recoin, une bâche était disposée en dessous pour ne pas qu'il s'abîme contre la terre et l'herbe du terrain. Des énormes coussins de toutes les couleurs chaudes possibles étaient disposés en cercle, suivant les pourtours de la pièce. Et dessus, des Métamorphes transpirant l'énergie bestiale. L'atmosphère était aussi chaleureuse qu'étouffante. Il faisait une de ces chaleurs.