chapitre 20 : rencontre et rangement

Depuis le début
                                    

Mais à la place, mon visage restait neutre et je ne bougeais pas. Les mots qui franchirent mes lèvres à ce moment là, je ne les pensais pas. Ils étaient sorties comme s'ils essayaient de sortir depuis une éternité. Qu'ils retrouvaient enfin leur liberté après longtemps emprisonnés.

Ils étaient froids et méchant. Rien d'autre. Seulement pour la blesser, comme elle venait de le faire. Mais je me perdis dans ce que disait ma bouche, tentant plus de comprendre jusqu'où j'irais que de controler mes mots.

"Qu'est-ce que tu veux que ça me fasse ? Avec une soeur comme toi, j'avais toutes les raisons du monde de me casser. Ça m'étonne que tes parents soient encore avec toi, qu'ils ne t'ai pas abandonnée. Apres tout, quand une personne commence à le faire, tout le monde te tourne le dos, ils se rallient à ceux qui te chassent pour enfin avoir la paix, pour pouvoir se protéger eux même, en se fichant totalement de se que peut ressentir celui ou celle qu'ils abandonnent ! Ils te tournent le dos du jour au lendemain a cause d'une erreur ! Mais si tu crois que ca m'affecte, et bien tu vas être déçu. Je ne me suis jamais sentis aussi libre ! Je suis tellement heureuse de t'avoir laisse avec ces monstres..."

Je sortais enfin de ma transe tandis que Anna partait en courant. Je m'en voulue sur le champs. Comment j'ai pue lui dire ça ? Elle souffre déjà bien assez à cause de moi, comment je peux réussir à l'enfoncer encore plus ? Elle ne mérite pas ca ! La seule fautive c'est moi, et uniquement moi... pensais-je en frappant le mur avant de m'écrouler sur le sol.

Fin du flash back

J'avais finis en baissant la tête. Je m'en voulais tellement... je ne remarquais mes points serres qu'une fois qu'ils me firent mal et qu'un léger filet de sang se mit a couler. J'osais enfin relever la tête.

Le boss me regardait avec compassion. Pas avec pitié. Je me sentis tout de suite mieux, surtout lorsqu'il me proposa des gateaux.

"Et la marque sur ta joue ? Je suppose qu'elle t'a donner une bonne claque ?

- Euh... non... C'est un peu la honte... j'ai légèrement poussé une grand mère en fait, et c'est elle qui m'a calquée... avec sa canne... riais-je nerveusement."

Je détestais tellement mentir...

Pdv Jack.
Alors que nous rentrions tous dans la maison, les amis de ma soeur c'étaient présentés. Les deux filles s'appellaient Penny et Violet, tandis que les garcons se nommaient Hiro, Wilbur et Jamie.

Une fois la porte franchit, nous nous mimes au travail. On commenca par remettre les meubles à leur place, c'est à dire la table dans la cuisine et pas pendue au lustre, (MAIS COMMENT ELLE EST ARRIVER LÀ ?!?),  le canapé dans le salon et non à l'envers dans la baignoire. C'était un miracle que la télé n'est pas été touchée, tout comme l'armoire en porcelaine.

Quand tous les meubles furent à leur place, nous nous séparâmes, chacun dans une pièce différente pour ranger les objets qui traînaient. Alors que j'allais monter à l'étage, je me souviens des messages Emma :

Si tu trouves ta porte sur le sol, c'est pas ma faute !

Ni pour ton lit défoncer...

Ou ton dressing en vrac...

Je courus immédiatement dans ma chambre et restais figé, la bouche ouverte dans un énorme "o". Ma porte était effectivement au sol et mon lit avait une forme assez bizarre, enfoncé, mais tordue en même temps... J'entrais et fallis tomber dans les pommes en voyant la moitié de la pièce calcinée, non visible depuis le couloir. Ma pauvre petite chambre avait tellement souffert...

Je ressortais en enjambant la porte au sol et explorais la maison pour constater les dégâts. J'ouvrais toutes les portes et me rendis rapidement comptes que toute les pièces se portaient très bien, sauf la mienne.

Bad Girl, Good Boy, In The SchoolOù les histoires vivent. Découvrez maintenant