𐊢һɑ𝚙ⅈ𝘵𝔯𝖊 𝒒𝗎ɑ𝔯ɑ𝖓𝘵𝖊-𝒹𝖊𝗎𝓍

2K 210 93
                                    

— Whaou, s’émerveillait-il en passant les portes d’entrée de l'appartement, avant de se retourner vers l’alpha, c’est encore plus magnifique que la dernière fois, tu as fais de la rénovation ?

— Disons que j’ai voulu changer les choses. Allez viens, allons en haut.

Il lui prit la main en lui lançant un regard coquin. Adley qui compris très vite à quoi en haut référait se mit à rire en le suivant.
Pendant ce temps, Ray coordinait les hommes de la réception qui transportaient les sacs et valise pour les poser au salon.

— Merci pour le coup de main ! Leur dit-il.

Ils acquiescèrent et s’en allèrent. Le chauffeur leva alors les yeux vers la rampe d’escaliers pour y voir son patron et son dulciné se hatant à rejoindre la chambre.

— Bon, je suppose qu’on va monter tout ceci plus tard. Jetait-il un coup d’œil sur les bagages avant de quitter l’appartement à son tour pour laisser un peu d’intimité au couple.


Une fois après avoir atteint la porte de la chambre, Karlyle embrassa l’oméga qui y était adossé et chemina dans son cou.
Depuis leur partie de sexe par téléphone, plus rien n’avait eu lieu alors ils comprenaient les envies pressantes de chacun.

— Ngh ~ Ahh... Frémit-il en fermant les paupières.

Karlyle ouvrit la porte puis, le prit dans ses bras pour l’emmener à l’intérieur. Ce sentiment d’être chéri et aimé faisait battre le cœur d’Adley à tout rompre à l’en faire rougir. L’instant d’après, il se retrouva dans les draps soyeux et confortables lit king size de son amant qu’il n’avait jamais testé auparavant.

— Je croyais que j’aurai ma propre chambre ? Trouva-t-il le moyen de le taquiner.

Le grand blond ne le regarda pas un seul instant, poursuivant ses myriades de baisers dans ce cou délicieusement à sa merci.

— J’ai dis ça ?

— C’est ce qu’on avait convenu.

— Et c’est ce que tu souhaites vraiment ? Le reprit-il au mot. Mh ?

Adley esquissa un sourire et entoura ses frêles bras autour de son cou.

— J’ai tout compris à présent, tesoro.

— Karlyle. Si tu vas me faire l’amour je veux que tu te dépêches s’il te plaît. Supplia-t-il, le regard avide de sensations fortes. Conduis-moi jusqu'à l’extase.


Très conscient de l’effet de la dernière phrase de l’oméga qui jouait maintenant sur son instinct, Karlyle se redressait en se débarrassant de sa chemise, s’attaquant ensuite au dessous de l’oméga. Il enfoui la tête entre ses jambes et le prit en bouche.
Adley s’arqua, frissonna. Le plus vieux l’avait entièrement gobé, que ce soit son sexe de taille médiocre et les boules qui vont avec.
La tension grimpa d’un cran et il laissait inconsciemment ses phéromones se propager, se mêlant dès à présent à celles d’excitation de son partenaire. Comme si cela ne suffisait pas assez pour lui faire perdre la tête, Karlyle se mit à jouer avec son cul, y faisant rentrer progressivement chaque doigt de sa main gauche en commençant par l’index pour s’arrêter à l’annulaire. Palpitant de tous côtés, le jeune comptable se mit à s’autolubrifier, se pinçant les mamelons devenant douloureux à travers son t-shirt.

— Ngh Karlyle vite ~

Ledit Karlyle levait le regard pour croiser le sien et le trouva particulièrement surexcité et impatient au point d’en pleurer.

𝖬𝖺𝗇𝗂𝖺 [𝖬𝗑𝖬]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant