La promotion 72

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La chambre était désormais ponctuée par les cris de Natacha Barnes. Le banquier, qui tenait dans une de ses mains un des godemichets qu'il avait sorti de l'armoire, l'enfonçait avec une certaine violence dans le cul de la jeune femme. Elle avait essayé de se retenir, de ne pas lui dévoiler la moindre faiblesse, mais la douleur était beaucoup trop insupportable. Chaque fois que le vieil homme enfonçait cet objet à l'intérieur, elle avait l'impression qu'il était sur le point de lui déchirer l'anus. Cette expérience était beaucoup plus horrible que celle qu'elle avait vécue à l'hôtel avec Herman. Lui au moins n'avait pas eu recours à ce genre d'artifice. La jeune femme avait premièrement essayé de se débattre, ensuite elle avait essayé de fuir, mais la différence de force entre les deux était beaucoup trop importante, et ce malgré l'écart d'âge entre eux.

Natacha souffrait énormément et pleurait par la même occasion. Elle suppliait encore et encore Simon de s'arrêter, mais ce dernier ne semblait pas l'écouter. Bien au contraire, chaque fois qu'elle l'implorait, elle avait l'impression que celui-ci enfonçait le godemichet plus profondément, causant ainsi une douleur plus intense que la précédente. Cet homme était sans pitié et n'avait aucun respect pour elle. Il ne cherchait plus à la briser afin qu'elle aille travailler pour lui, mais le faisait désormais par pur plaisir, et ce au détriment de la jeune femme.

De son côté, le banquier appréciait énormément ce qu'il faisait à Natacha. Il était comme en plein extase, affirmant sa position de dominant et se délectant de chacun des cris de douleur qu'elle poussait. D'ailleurs, chaque fois qu'elle venait à le faire, il sentait sa libido augmenter. De plus, il se demandait jusqu'où il pouvait introduire le godemichet. Il fallait dire qu'il était parvenu à l'insérer à moitié et était donc curieux de savoir si mademoiselle Barnes était à même de le faire rentrer dans son entièreté. De toute façon, Simon était déterminé à le découvrir et il ne s'arrêterait que lorsqu'il aurait vu cela par ses propres yeux.

Le vieil homme poursuivit donc sa petite séance de torture et enfonçait de plus en plus le godemichet à l'intérieur du cul de Natacha qui hurla davantage, qui le suppliait toujours d'arrêter, et qui pleurait désormais. C'était vraiment une agréable sensation pour Simon qui savourait chacun de ses cris de douleur. Ce n'était pas comme la fois précédente où mademoiselle Barnes était parvenue à maintenir son caractère de personne entêtée. Non ! Cette fois-ci, le banquier avait l'impression d'être parvenu à la briser. Pour lui, ce n'était qu'une question de temps avant qu'elle soit totalement soumise.

Son plaisir personnel connut cependant une petite interruption. En effet, quelques minutes après avoir enfoncé le godemichet dans les fesses de la jeune femme, quelque frappa soudainement à la porte de la chambre. Simon ignora premièrement la personne qui se trouvait derrière, néanmoins, quand cette dernière réitéra son geste, le banquier n'eut nul autre choix que d'aller ouvrir et voir qui osait venir le déranger.

- J'arrive ! s'exclama-t-il lorsqu'on cogna de nouveau à la porte.

Pendant que l'homme frustré descendait du lit et se dirigeait vers la porte de la chambre, Natacha profitait de ce moment de répit pour retirer le godemichet de son cul. La tâche n'était pas aisée, l'objet lui faisant toujours mal chaque fois qu'elle le bougeait. Elle réussit cependant, et ce avec beaucoup d'effort et de volonté, à l'enlever, marquant ainsi une légère phase de soulagement. Elle essaya ensuite de se redresser, mais ressentit alors une certaine gêne. Son cul lui faisait mal, atrocement mal. De plus, elle remarqua certaines taches de sang, ce qui l'horrifia énormément.

Le rythme cardiaque de mademoiselle Barnes s'accéléra soudainement, et ce tandis qu'elle imaginait l'état dans lequel devait se trouver son trou du cul. Natacha descendit donc du lit, ignorant ainsi la douleur, et se dirigea lentement vers la salle de bain, l'endroit où se trouvait le miroir. Il fallait impérativement qu'elle regarde, qu'elle sache dans quel état c'était.

Sensual WhispersWhere stories live. Discover now