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〄 NABIL ANDRIEU Avril 2028
Je poursuis Zyad dans la maison pour essayer de le chopper, ses frères ne m'aident pas ils préfèrent rire tous les deux. J'l'attrape et il est mort de rire, je secoue la tête en le regardant, vraiment un monstre comme ses frères celui-là. Je nettoie sa bouche pleine de chocolat et il me donne ses mains pour que je fasse la même chose.
Nabil - Votre daronne va finir me tuer.
Zayan - C'est toi papa qui nous a donné du chocolat. Je le regarde.
Nabil - Oui mais j'ai dis de manger tout ça proprement, pas comme des cochons. Je m'approche des jumeaux pour nettoyer leur bouches et je vérifie leurs mains.
Zyad - Maman bientôt prête ?
Nabil - Je pense ouais. Tes baskets toi. Il marche jusqu'au salon pour aller mettre ses baskets, je viens l'aider pour ses lacets.
Zyad - Merci papa.
Zayn - Papa ? Je tourne la tête vers lui. On peut mettre du parfum comme toi ?
Nabil - C'est dans la salle de bain donc vous attendez. Ils hochent la tête et j'expire, toujours à faire comme oim ces trois là.
Zayan - Woah maman. Je me tourne pour regarder vers le couloir des chambres. T'es trop belle ! Aya sourit.
Aya - Merci, vous aussi mes petits monstres. J'fais un sourire de coin.
J'la regarde de haut en bas, j'avoue que Aya c'est quelque chose aujourd'hui. Elle porte une longue robe blanche un peu proche du corps, ses épaules sont découvertes mais je crois qu'c'est un col bateau son truc. J'descend mes yeux sur son ventre et j'peux pas m'empêcher de sourire comme un gros tahane, nos fils s'approchent d'elle pour lui faire un câlin au niveau de sa taille, Zayn fait un bisou sur son ventre, heureusement qu'j'lui ai nettoyé la bouche juste avant putain.
Zayn - Ça va maman ?
Aya - Je suis en forme. Elle lui fait un clin d'œil et j'les regarde faire chacun un boussah à Aya, elle s'approche de moi et je glisse mes mains sur ses hanches. J'ai pas été trop été trop longue ? Elle remets bien le col d'ma chemise d'été que j'porte ouverte avec un teeshirt blanc.
Nabil - J'ai eu le temps de réfléchir à plein de plan d'attaque contre ta tête, à toi de juger. Elle repousse mon épaule et j'glisse une de mes mains sur le devant de son ventre arrondit et je penche mon visage vers son nombril. J'espère vraiment que tu es une petite meuf donc arrête de te cacher st'eu-plaît. Elle ricane et me regarde.
