Enamorarse

[CENT-CINQ]

Zayn - Promis. Je fais un petit sourire.

Aya - C'est vrai papa ? Je le regarde et il hoche la tête. Je suis fière de vous alors. Ça va ton cou ? Je regarde Zayn.

Zayn - Pu mal. Je hoche la tête et Zayan me refait un câlin, Zayn le rejoint et j'en profite parce que je sais combien ça grandit vite ces trucs, demain ils vont déjà avoir deux ans et j'avoue que je ne suis pas très chaude pour ça.

Les jumeaux se séparent de moi et ils veulent directement me montrer les constructions avec leur gros lego qu'ils ont pu faire depuis mon départ ensemble, avec Nabil voir même leur oncle, cousin et cousine. Ça me fait trop du bien d'être à la maison, de les revoir et de voir à quel point ils sont heureux de me voir pour me montrer les choses qu'ils ont fait ensemble. Je regarde Nabil qui regarde nos fils sans rien dire, je m'approche de lui doucement en étant sur les genoux, je glisse mes mains sur ses épaules et il relève la tête vers moi.

Aya - Tu as l'air usé.

Nabil - J'te jure la prochaine fois je viens avec toi, on les laisses solo ici. Je ricane. Ils sont debout depuis six heures trente du sbah à hurler ton blase là, j'en pouvais plus. Je souris.

Aya - Au moins tu as pas oublier que c'était aujourd'hui que je devais rentrer. Il me fixe et je continue de me rapprocher de lui, j'arrive un peu plus entre ses jambes.

Nabil - T'inquiète que j'ai pas oublier. Je continue de sourire en le regardant. Et tes photos là, tu m'saoules vraiment.

Aya - Tu aimes pas ?

Nabil - Eh la vie que ça reste à la maison, pas sur les réseaux. Je ricane.

Aya - C'était le but, c'était juste pour m'amuser et montrer plus tard à nos enfants combien j'étais et je suis restée une bombe. Il me choppe par les hanches et je rigole un peu plus fort, il me rapproche de lui et ses lèvres traînent dans mon cou pour laisser quelques baisers. Tu as une préférée ?

Nabil - Nan, j'en ai pas. Je pose mes mains sur sa nuque et je le regarde.

Aya - Menteur va. Je pouffe de rire et je pose mes lèvres sur les siennes, ses gros bras se resserrent autour de mes hanches, j'enroule les miens autour de sa nuque. J'ai l'impression de t'avoir manquer.

Nabil - Pas un gramme. Je lève les yeux au ciel et il sourit de coin. J't'ai manquer ?

Aya - Mon lit était plus froid que d'habitude mais sinon, non, sans plus en vrai. Je hausse les épaules et il pince ma fesse, je fais un petit sourire. Ça s'est bien passé avec eux ? Ça a pas été trop long tout seul ?

Nabil - J'ai l'impression de m'être pris vingt ans dans la tête en six jours wAllah, des machines ces gosses. Quand c'est pas l'un, c'est l'autre, le pire c'est quand ils sont coordonnées. Putain on a vraiment eu nos monstres de compétition. Je le regarde et je lâche un petit rire.

Aya - C'est ce que l'on voulait, non ? On se regarde tous les deux et on se mets à rire. Tu veux peut-être te reposer un peu ? Comme ça je m'occupe un peu des gars toute seule.