[SOIXANTE-TROIS]

Depuis le début
                                    

Nabil - Tu peux m'le dire wesh, j'suis ton mec, me cache rien. Je secoue la tête en souriant, il s'approche de moi et je rigole quand il m'attrape par les hanches et me tire sur ses jambes. J'veux savoir.

Aya - Non, c'est secret je t'ai dit. Il hausse les sourcils en me regardant. Secret Nabil, même Nabou ne le sait pas.

Nabil - Laisse là où elle est celle-là, pas d'secret avec moi. Je secoue la tête en le regardant.

Aya - Je te dirais rien. Je me relève de ses jambes et je remets bien mon short.

Nabil - Tes collants sont craqués. Je baisse la tête avant de poser mes yeux sur lui.

Aya - C'est toi ça. Je pointe mon doigt vers lui.

Nabil - C'est ton chat wesh, c'est aps oim. Je lui lance un regard noir et il se retient de rire, je le frappe avec un coussin.

Aya - Espèce de petit con ! Tu fais chier, c'était ma seule paire de collant... Je grogne et je le frappe une nouvelle fois avec le coussin, il me plaque sur le canapé et s'en suit une bagarre entre nous deux.

Nabil - J'peux te les enlever si tu veux. Il fait une danse des sourcils, je frappe son torse.

Aya - Bouge de là. Il effile encore plus mon collant avant de se lever rapidement. Tu m'énerves Nabil sérieux. Je me lève du canapé et je regarde mon collant. Je me trouvais jolie en plus aujourd'hui.

Nabil - J't'aurais aps laisser sortir comme aç sans moi t'façon. Je pose mes mains sur mes hanches et je le regarde.

Aya - Tu te fous de moi là ? Il secoue la tête de gauche à droite.

Nabil - Nan j'suis sérieux, j'aime bien mais c'est avec oim que tu portes ça. Je ferme doucement les yeux et je soupire.

Aya - J'ai compris. Toute façon avec la race masculine de nos jours, on doit tout s'interdire à l'heure d'aujourd'hui, la tenue ne justifie pas un viol Nabil. Il me regarde et pose ses mains sur le plan de travail.

Nabil - J'suis au courant mais dans ce genre de tenue, on viendra encore plus t'faire chier, c'est la réalité Aya, surtout à Paris et tout les gros porcs qu'il y a. Je pince mes lèvres entre elles, je vais jusqu'à notre dressing.

Je retire mes bottines, mon short et mes collants, bon à être mis à la poubelle. Je cherche un pantalon dans mon dressing et je tourne la tête quand je sens un regard dans mon dos, les yeux de Nabil sont dirigées sur l'arrière de mes cuisses et mes fesses, couverte seulement d'un tanga noir.

Aya - Pose tes yeux ailleurs Alexandre. J'attrape un de mes jeans préférés.

Nabil - Tu m'as pas encore laissé profiter d'la vue depuis que tu es là. Je pouffe de rire et je mets mon jeans, je mets une paire de chaussettes et des baskets.

Aya - Rien n'a changé.

Nabil - Y'a du muscle en plus. Je me tourne vers le miroir pour bien replacer mon haut, Nabil penche sa tête sur le côté en mangeant ses gâteau, je tourne la tête en fronçant les sourcils avant de regarder mes fesses.

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