contes

Par YannvanderCruyssen

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Pauvre Ymir
Lâchez la chanson du guépard
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La robe de soie rouge
Le laden sauvage
Les animaux du lac Agnès
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Ronflements
Nouvelle jeunesse
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La fée dans la couverture verte
Le petit baluchon d'herbes
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Le roi des mouches
Coup de poing, coup de poing, coup de fouet
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Au port des Yankees
Shammah au poulailler
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Ce qu'il faut pour franchir le pas
Les chats du sacristain
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Les bijoux de Tiffany
Le cygne enchanté
La vache sèche
Le dernier des marins
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Hans in luck
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Des choses qu'on aimait et des choses qu'on fréquentait
La prophétie des moineaux
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Les trois bibliothécaires
Les tamarins
Les chaussures rouges
l'oiseau de Brecon
À la recherche du château perdu
L'âne et la bite
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Le vieux Werererat
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Flora, Arslan et Ilsabill
Smidstrup et ses frères
Toutes les plumes
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Sugar Rush
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Conte de cochon
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Questions aux disparus
Ladysmith
Musée de l'histoire de la photographie
Le pot de l'amiral Blucher
Ce qu'il reste de notre maison
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La petite Harpe-Voice
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La Boutique Cigare House
Crocheteur
Kjart le fils de Kjart
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La prière à l'océan
Célébration au port de Song-fen
Les prouesses de l'arbre divin
Les fleurs de la petite Ida
Paroles d'écoliers
Laciotte
L'adolescence de la sirène
L'aiguille Darning-Needle
Snowdrop
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Paroles antiques
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Le chien sauteur
Julia et le soldat
Le grand requin blanc
La bergère et le ramoneur
Gâteau et vin
En avant l'aventure
La fille de l'homme des neiges
Le baiser

La trinité volante

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Par YannvanderCruyssen


Il était une fois un bouffon de cour, un petit gars, un ivrogne, un assez fou, et un assez pécheur ; il représentait donc le bon et le méchant. Sa scène était équipée de clowns, de jongleurs, de jongleurs, de jongleurs, On pouvait voir de ses masques de clowns s'ils étaient tombés dans n'importe lequel des jigors des pièces du jongleur ; en effet, c'était tout un triomphe ! Sur la scène se tenait une jeune princesse, une princesse ! Et tout autour, il y avait des milliers de clowns, de jongleurs, de jongleurs, de jongleurs, dont le travail était de se moquer de leurs ennemis. Ils s'en prendraient à eux, ils doivent payer pour leur folie ! Car la princesse savait très bien que si elle se battait contre vents et marées de toutes ses forces, son père serait chassé de la terre !

La gigue était lancée, et le trompettiste chantait. Tout s'est bien passé ; la princesse était la seule sur scène, et la seule sur la gigue, et c'est ainsi que ses difficultés à se cacher dans un autre pays commencèrent les ennuis qui allaient lui arriver.
Un soir, alors qu'elle et la gigue tournoyaient nerveusement leurs bouts, elle vit par leurs visages que tout n'allait pas bien, et qu'elle était trahie et forcée d'épouser un rat bon marché, qui glissa ses fils en un instant dans sa main ; et ainsi glissa dans ses fils sa dot sans prix. Elle se tenait debout sans voix, sans aucune pensée, sans rien à dire pour acclamer ses nerfs, sans rien à dire pour acclamer son cœur.

Anon. Nous irons dans les bois dans la grande ville pour voir notre vieille grand-mère ; elle est introuvable, et personne ne le sait, ni elle, ni personne que nous aimons. Ô que la grande ville était proche ! Oh, comme ça doit être affreux !

Un sentier battu menait les chevaux dans le bois, où la mère chevreuil était assise dans son jardin, et elle avait l'air si pâle que deux grandes couches de verdure devaient être posées sur elle. Ils l'oublièrent parce qu'ils regardaient la scène devant eux ; les grands boulevards étaient couverts de rosiers sauvages et de pommiers, et au milieu de la place se tenaient les jacinthes, parfumées par le parfum de la rose. La mère les regardait fixement, et les roses bourgeonnaient entre les branches, et les petites figures des roses étaient si grandes et si belles que cela durait longtemps et était un plaisir de les regarder.

"Regarde le rosier !" dit la mère, le cerf. "C'est la plus belle fleur que j'aie jamais vue."
Et les roses regardaient vers les nuages, et le soleil brillait pour éclairer la fleur, qui brillait comme le soleil sur la mer. Mais le rosier devenait de plus en plus grand, et le rosier, si joliment formé, ne semblait être fait de rien. La petite figure de la rose sur le rosier semblait tendue en l'air, et c'était magnifique.

Puis la piste a parcouru plus d'un mille en l'air, descendant la colline et longeant le ruisseau, jusqu'à arriver au château. Sur la pelouse du château se tenait la pelouse du noble, et sur la rive droite du ruisseau on avait fait un grand rocher sur lequel était écrit "LA MONTAGNE D'OR".

"Là-dessus, le hors-la-loi étendit les bras comme s'il essayait de se réjouir, et quand il baissa la tête pour embrasser les roses qui poussaient près de lui, le rocher tomba et la fille de l'autre côté du ruisseau s'éloigna." s'écria le petit poney dès qu'il sortit de la relation de la princesse, galante, belle et galante.
"J'ai perdu mes deux parents et je suis obligé de vivre dans une grotte avec des animaux sauvages. Hélas ! il n'est pas possible de faire comme la princesse, elle est si délicate et d'aspect délicat, et elle a les pieds très délicats. J'ai perdu pied, et il est impossible de revenir en arrière."

Puis le poney raconta au petit âne comment il avait été effrayé par le bruit des cornes et la vue de sept chevaliers armés autour du château. Il avait aussi vu la princesse grimper sur le toit avec une épée à la main, et comment ceux qui l'avaient vue pensaient qu'elle ne faisait que jouer.
Maintenant que le poney savait où vivait la princesse et comment l'éloigner, il s'est décidé à parler contre lui. Le petit âne savait qu'il fallait croire son opinion, et il faisait très attention de ne pas être entendu. La raison en était que le poney connaissait la princesse et qu'il ne pouvait pas écouter les paroles du hors-la-loi. Le soleil brillait très fort, et les hôtes volants des choo-choo's s'envolaient en bas, et le son des tambours et des trompettes racontait l'histoire de la noble cour.



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